Le Maroc s'est employé à affranchir la femme de toutes les formes d'injustice qu'elle a subie et lui a restitué sa pleine dimension à tous points de vue en la rétablissant dans la plénitude de ses droits, a souligné le diplomate marocain, Omar Hilale.
Il a signalé, à cet égard, que les réformes lancées, depuis 1999, par S.M. le Roi Mohammed VI, viennent d'être couronnées par la Nouvelle Constitution du 1er juillet 2011, ayant consacré la justice sociale et l'épanouissement de la femme et son autonomisation, à travers la reconnaissance des droits des femmes sur un pied d'égalité avec les hommes.
Les acquis de cette Constitution s'inscrivent dans la continuité du processus de réformes globales et des avancées spectaculaires dans la promotion de la femme et dont le Maroc peut se prévaloir, en particulier dans le domaine législatif, a-t-il dit, citant particulièrement, le Code de la famille reconnu comme étant le plus révolutionnaire de son genre dans le monde arabo-musulman.
La nouvelle Constitution consacre également l'égalité entre l'homme et la femme dans les droits et libertés à caractère civil, politique, économique, social, culturel et environnemental et préconise des mesures d'action telles que la discrimination positive en matière d'accès aux fonctions publique et électives, ainsi que des mécanismes, notamment, l'instauration de l'«Autorité pour la parité et la lutte contre toutes formes de discrimination», a plaidé Hilale.
L'ambassadeur marocain a signalé, dans ce même ordre d'idées, que la politique de mise en œuvre des droits économiques, sociaux et culturels de la femme marocaine repose, en outre, sur l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) et sur un programme spécifique, appelé stratégie nationale de l'équité et de l'égalité par l'intégration de l'approche genre dans les politiques publiques.
Hilale a, d'autre part, rappelé, que les femmes africaines ont mené des combats sur tous les fronts, d'abord pour la liberté et l'indépendance, puis pour la reconnaissance des droits et enfin pour le développement politique, économique et social de leurs pays, et ont toujours pris leur destin en main pour atteindre leur propre émancipation, celle de leurs familles et, in fine, la prospérité de leurs sociétés.
Il a estimé que la condition de la femme en Afrique a connu des progrès remarquables avec une extension sans précédent de la reconnaissance de leurs droits économiques et politiques, soulignant que ces réalisations significatives découlent d'une prise de conscience universelle, incarnée par une série de Conférences internationales organisées par l'Onu, ayant toutes rappelé les objectifs d'égalité entre femmes et hommes.
Quatre de ces Conférences -Mexico 1975, Copenhague 1980, Nairobi 1985 et Pékin 1995- ont spécifiquement traité du statut des femmes comme fondement des droits humains et de développement, en mettant constamment l'accent sur les droits économiques, sociaux et culturels, a-t-il rappelé.
Parallèlement, l'arsenal juridique international des droits de l'Homme s'est développé de manière significative, en plaçant systématiquement la femme au cœur de ses préoccupations parmi les groupes vulnérables, a poursuivi Hilale, ajoutant que le Pacte international, des droits économiques sociaux et culturels, illustre cette tendance en engageant les Etats à «assurer le droit égal qu'ont l'Homme et la Femme au bénéfice de tous les droits économiques, sociaux et culturels».
Il a fait observer qu'en dépit des acquis considérables tant au niveau national qu'international, la vulnérabilité des femmes persiste encore presque partout dans le monde, car, a-t-il expliqué, le problème réside réellement dans la mise en œuvre inachevée des instruments et des mécanismes existants.
C'est pourquoi en Afrique ou ailleurs, a-t-il prôné, l'attention devrait être axée sur ce front, en ce sens qu'il conditionne largement la réalisation des droits économiques sociaux et culturels de la femme.
Il a considéré, à cet égard, que l'application intégrale de tous les instruments internationaux relatifs aux droits de l'Homme, particulièrement la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, constitue un impératif juridique à effet social.
De même la mise en œuvre effective des objectifs stratégiques que les Etats se sont engagés à traduire dans leurs politiques nationales lors de la Conférence de Pékin, est une condition sine qua none pour une transformation profonde de la condition de la femme.
Hilale a indiqué que le parrainage du Maroc et sa participation à ce forum procède de son soutien constant à la cause de la Femme dans les instances internationales et de son encouragement de la réflexion, le développement et la promotion des droits économiques sociaux et culturels des femmes en Afrique et partout dans le monde.
Prennent part à la troisième édition de ce Forum international, organisé jusqu'au 9 septembre au Palais des Nations, avec le parrainage du Maroc, des diplomates, des directeurs, des académiciens, ainsi que des représentants de la société civile et d'ONG internationales.
Organisée par Ocaproce International (Organisation pour la Communication en Afrique et de promotion de la coopération économique internationale), cette importante réunion annuelle, se focalisera sur la question des Droits économiques, sociaux et culturels de la femme en Afrique.
Il a signalé, à cet égard, que les réformes lancées, depuis 1999, par S.M. le Roi Mohammed VI, viennent d'être couronnées par la Nouvelle Constitution du 1er juillet 2011, ayant consacré la justice sociale et l'épanouissement de la femme et son autonomisation, à travers la reconnaissance des droits des femmes sur un pied d'égalité avec les hommes.
Les acquis de cette Constitution s'inscrivent dans la continuité du processus de réformes globales et des avancées spectaculaires dans la promotion de la femme et dont le Maroc peut se prévaloir, en particulier dans le domaine législatif, a-t-il dit, citant particulièrement, le Code de la famille reconnu comme étant le plus révolutionnaire de son genre dans le monde arabo-musulman.
La nouvelle Constitution consacre également l'égalité entre l'homme et la femme dans les droits et libertés à caractère civil, politique, économique, social, culturel et environnemental et préconise des mesures d'action telles que la discrimination positive en matière d'accès aux fonctions publique et électives, ainsi que des mécanismes, notamment, l'instauration de l'«Autorité pour la parité et la lutte contre toutes formes de discrimination», a plaidé Hilale.
L'ambassadeur marocain a signalé, dans ce même ordre d'idées, que la politique de mise en œuvre des droits économiques, sociaux et culturels de la femme marocaine repose, en outre, sur l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) et sur un programme spécifique, appelé stratégie nationale de l'équité et de l'égalité par l'intégration de l'approche genre dans les politiques publiques.
Hilale a, d'autre part, rappelé, que les femmes africaines ont mené des combats sur tous les fronts, d'abord pour la liberté et l'indépendance, puis pour la reconnaissance des droits et enfin pour le développement politique, économique et social de leurs pays, et ont toujours pris leur destin en main pour atteindre leur propre émancipation, celle de leurs familles et, in fine, la prospérité de leurs sociétés.
Il a estimé que la condition de la femme en Afrique a connu des progrès remarquables avec une extension sans précédent de la reconnaissance de leurs droits économiques et politiques, soulignant que ces réalisations significatives découlent d'une prise de conscience universelle, incarnée par une série de Conférences internationales organisées par l'Onu, ayant toutes rappelé les objectifs d'égalité entre femmes et hommes.
Quatre de ces Conférences -Mexico 1975, Copenhague 1980, Nairobi 1985 et Pékin 1995- ont spécifiquement traité du statut des femmes comme fondement des droits humains et de développement, en mettant constamment l'accent sur les droits économiques, sociaux et culturels, a-t-il rappelé.
Parallèlement, l'arsenal juridique international des droits de l'Homme s'est développé de manière significative, en plaçant systématiquement la femme au cœur de ses préoccupations parmi les groupes vulnérables, a poursuivi Hilale, ajoutant que le Pacte international, des droits économiques sociaux et culturels, illustre cette tendance en engageant les Etats à «assurer le droit égal qu'ont l'Homme et la Femme au bénéfice de tous les droits économiques, sociaux et culturels».
Il a fait observer qu'en dépit des acquis considérables tant au niveau national qu'international, la vulnérabilité des femmes persiste encore presque partout dans le monde, car, a-t-il expliqué, le problème réside réellement dans la mise en œuvre inachevée des instruments et des mécanismes existants.
C'est pourquoi en Afrique ou ailleurs, a-t-il prôné, l'attention devrait être axée sur ce front, en ce sens qu'il conditionne largement la réalisation des droits économiques sociaux et culturels de la femme.
Il a considéré, à cet égard, que l'application intégrale de tous les instruments internationaux relatifs aux droits de l'Homme, particulièrement la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, constitue un impératif juridique à effet social.
De même la mise en œuvre effective des objectifs stratégiques que les Etats se sont engagés à traduire dans leurs politiques nationales lors de la Conférence de Pékin, est une condition sine qua none pour une transformation profonde de la condition de la femme.
Hilale a indiqué que le parrainage du Maroc et sa participation à ce forum procède de son soutien constant à la cause de la Femme dans les instances internationales et de son encouragement de la réflexion, le développement et la promotion des droits économiques sociaux et culturels des femmes en Afrique et partout dans le monde.
Prennent part à la troisième édition de ce Forum international, organisé jusqu'au 9 septembre au Palais des Nations, avec le parrainage du Maroc, des diplomates, des directeurs, des académiciens, ainsi que des représentants de la société civile et d'ONG internationales.
Organisée par Ocaproce International (Organisation pour la Communication en Afrique et de promotion de la coopération économique internationale), cette importante réunion annuelle, se focalisera sur la question des Droits économiques, sociaux et culturels de la femme en Afrique.