L'Institut arabe de développement des villes et la commune urbaine de Kénitra se sont mis d'accord sur une série de mesures pratiques pour mettre en place un observatoire urbain de la ville de Kénitra, a-t-on appris lundi auprès du Conseil municipal de la ville.
Ces mesures ont été définies à l'issue d'une rencontre d'étude de deux jours qui a suivi la signature d'un mémorandum d'entente, vendredi à Kénitra, entre le président de la commune urbaine de Kénitra, Aziz Rebbah, et Abdallah Ben Mohamed Essabil, directeur général adjoint de l'Institut arabe du développement des villes.
Des représentants des autorités locales, les chefs de services extérieurs et des services communaux et des associations de la société civile ont participé à cette rencontre au cours de laquelle plusieurs exposés ont été faits sur les expériences nationales et internationales en matière des observatoires urbains, leurs objectifs et leurs missions, des indicateurs urbains, leur intérêt et les critères de leur choix.
Parmi les mesures convenues, la détermination de la structure de l'observatoire et sa mission, la nomination du responsable et de l'équipe qui seront chargés d'assurer le fonctionnement de l'observatoire, la création d'un Conseil de l'Observatoire avec la participation des chefs des services extérieurs et des acteurs de la société civile, la mise en place d'une banque de données de l'observatoire.
Les participants ont, également, convenu de l'organisation de sessions de formation au profit des cadres de l'Observatoire et la conclusion de conventions de partenariat avec des institutions relevant de l'organisation des villes arabes en vue d'un soutien financier et technique.
Ils ont, aussi, sollicité le concours de l'Institut arabe pour le développement des villes pour établir des contacts avec des communes locales dans les pays du golfe en vue d'une coopération et d'un partenariat avec la commune urbaine de Kénitra.
Aux termes du mémorandum signé entre les deux parties, rappelle-t-on, l'Institut arabe du développement des villes s'était engagé à apporter le soutien technique nécessaire à la commune de Kénitra pour la création et le fonctionnement de l'Observatoire et la promotion des capacités de la ville dans le domaine urbanistique.
L'Observatoire contribuera également à la préparation du rapport sur les indicateurs urbains et l'amélioration des indices du développement urbain durable.
La commune urbaine de Kénitra s'était engagée, de son côté, à prendre les dispositions nécessaires pour la création de l'Observatoire et mettre en place les outils logistiques, administratifs et les cadres techniques pour son fonctionnement.
Le président de la commune, Aziz Rebbah avait souhaité, lors de la signature du mémorandum, que l'Observatoire contribue à l'élaboration d'une vision prospective des opportunités de développement de la ville, ses points de force et de faiblesse pour aider à la préparation des plans, programmes et projets de développement urbanistiques.
La ville de Kénitra, avait-il dit, dispose d'un patrimoine historique qui a besoin être géré selon une vision intégrée.
Ces mesures ont été définies à l'issue d'une rencontre d'étude de deux jours qui a suivi la signature d'un mémorandum d'entente, vendredi à Kénitra, entre le président de la commune urbaine de Kénitra, Aziz Rebbah, et Abdallah Ben Mohamed Essabil, directeur général adjoint de l'Institut arabe du développement des villes.
Des représentants des autorités locales, les chefs de services extérieurs et des services communaux et des associations de la société civile ont participé à cette rencontre au cours de laquelle plusieurs exposés ont été faits sur les expériences nationales et internationales en matière des observatoires urbains, leurs objectifs et leurs missions, des indicateurs urbains, leur intérêt et les critères de leur choix.
Parmi les mesures convenues, la détermination de la structure de l'observatoire et sa mission, la nomination du responsable et de l'équipe qui seront chargés d'assurer le fonctionnement de l'observatoire, la création d'un Conseil de l'Observatoire avec la participation des chefs des services extérieurs et des acteurs de la société civile, la mise en place d'une banque de données de l'observatoire.
Les participants ont, également, convenu de l'organisation de sessions de formation au profit des cadres de l'Observatoire et la conclusion de conventions de partenariat avec des institutions relevant de l'organisation des villes arabes en vue d'un soutien financier et technique.
Ils ont, aussi, sollicité le concours de l'Institut arabe pour le développement des villes pour établir des contacts avec des communes locales dans les pays du golfe en vue d'une coopération et d'un partenariat avec la commune urbaine de Kénitra.
Aux termes du mémorandum signé entre les deux parties, rappelle-t-on, l'Institut arabe du développement des villes s'était engagé à apporter le soutien technique nécessaire à la commune de Kénitra pour la création et le fonctionnement de l'Observatoire et la promotion des capacités de la ville dans le domaine urbanistique.
L'Observatoire contribuera également à la préparation du rapport sur les indicateurs urbains et l'amélioration des indices du développement urbain durable.
La commune urbaine de Kénitra s'était engagée, de son côté, à prendre les dispositions nécessaires pour la création de l'Observatoire et mettre en place les outils logistiques, administratifs et les cadres techniques pour son fonctionnement.
Le président de la commune, Aziz Rebbah avait souhaité, lors de la signature du mémorandum, que l'Observatoire contribue à l'élaboration d'une vision prospective des opportunités de développement de la ville, ses points de force et de faiblesse pour aider à la préparation des plans, programmes et projets de développement urbanistiques.
La ville de Kénitra, avait-il dit, dispose d'un patrimoine historique qui a besoin être géré selon une vision intégrée.