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Initié en collaboration avec l'Institut royal de la culture amazighe (IRCAM), cette rencontre s'inscrit dans le cadre des préparatifs pour l'ouverture d'une filière des études amazighes à Fès dès la prochaine rentrée universitaire.
Selon les organisateurs, l'intérêt porté à la culture amazighe n'est pas nouveau du fait que "l'université marocaine s'est engagée, depuis sa création au lendemain de l'indépendance, dans un processus de réhabilitation du patrimoine culturel national, dont l'amazighe est l'un des constituants fondamentaux".
Réunissant une pléiade de chercheurs marocains et étrangers spécialisés, ce colloque se propose, dans un cadre de concertation et de confrontation des savoirs et des disciplines, d'examiner aussi bien l'état des recherches univrsitaires dans le domaine de la langue et la culture amazighes, que leur devenir "à un moment où l'enseignement de l'amazighe connaît un formidable regain d'intérêt grâce aux travaux de l'RCAM et initiatives d'universitaires qui ont mis en place des filières et des masters d'études amazighes".
Les participants à cette rencontre, qui sera couronnée par la signature d'une convention de partenariat entre l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah et l'Ircam, débattront de plusieurs thèmes portant sur l'"Héritage culturel et enseignement de la langue amazighe", la "Pluridisciplinarité des études amazighes", les "Mécanismes de mise en œuvre de l'enseignement de la culture amazighe" et "Les études amazighes à l'université : contraintes et défis".
Le colloque abordera aussi "L'amazighe à l'université : quels horizons ?", "Tradition orale et enseignement au Maroc", "La littérature amazighisante au service de l'enseignement de l'amazighe à l'université", "Impact de la dialectologie sur les études amazighes", "L'enseignement du patrimoine oral amazigh à l'université", "La langue berbère et le traitement automatique des langues" et "L'enseignement de l'amazighe entre la grammaire et la linguistique".
Selon les organisateurs, l'intérêt porté à la culture amazighe n'est pas nouveau du fait que "l'université marocaine s'est engagée, depuis sa création au lendemain de l'indépendance, dans un processus de réhabilitation du patrimoine culturel national, dont l'amazighe est l'un des constituants fondamentaux".
Réunissant une pléiade de chercheurs marocains et étrangers spécialisés, ce colloque se propose, dans un cadre de concertation et de confrontation des savoirs et des disciplines, d'examiner aussi bien l'état des recherches univrsitaires dans le domaine de la langue et la culture amazighes, que leur devenir "à un moment où l'enseignement de l'amazighe connaît un formidable regain d'intérêt grâce aux travaux de l'RCAM et initiatives d'universitaires qui ont mis en place des filières et des masters d'études amazighes".
Les participants à cette rencontre, qui sera couronnée par la signature d'une convention de partenariat entre l'Université Sidi Mohamed Ben Abdellah et l'Ircam, débattront de plusieurs thèmes portant sur l'"Héritage culturel et enseignement de la langue amazighe", la "Pluridisciplinarité des études amazighes", les "Mécanismes de mise en œuvre de l'enseignement de la culture amazighe" et "Les études amazighes à l'université : contraintes et défis".
Le colloque abordera aussi "L'amazighe à l'université : quels horizons ?", "Tradition orale et enseignement au Maroc", "La littérature amazighisante au service de l'enseignement de l'amazighe à l'université", "Impact de la dialectologie sur les études amazighes", "L'enseignement du patrimoine oral amazigh à l'université", "La langue berbère et le traitement automatique des langues" et "L'enseignement de l'amazighe entre la grammaire et la linguistique".
