L'année 2011 s'annonce sous de moins bons auspices que 2010. Aussi bien en termes de performances (le Masi affiche une perte de l'ordre de 10% au terme de la séance du mercredi 17 août) qu'en termes de volumétrie. En effet, le volume global échangé sur le marché central au deuxième trimestre s'élève à 6,98 milliards de dirhams, soit une baisse de 40,8% par rapport au niveau enregistré durant le premier trimestre de l'année 2011. Aussi, le niveau des échanges durant le premier semestre 2011 est en forte baisse de 41,3% comparativement à celui réalisé durant la même période de l'année précédente.
Maintenant qui se positionne le plus à l'achat et quel est le profil des investisseurs qui animent le mouvement de vente ? Le CDVM apporte quelques éléments de réponse à travers ses statistiques trimestrielles relatives à la ventilation des transactions par catégorie d'investisseurs. Ainsi, à l'exception des opérations réalisées par les entreprises (personnes morales) étrangères, pour toutes les catégories d'investisseurs, les achats sont en recul durant le deuxième trimestre 2011, principalement ceux réalisés par les gestionnaires de l'épargne collective (OPCVM), qui affichent une forte régression de 70% par rapport au premier trimestre de l'année. Les opérations d'achat par les investisseurs physiques étrangers affichent également une baisse de 56% durant la même période.
Les opérations d'achat initiées par les entreprises domestiques représentent 46% du volume global, en baisse de 20 points en glissement trimestriel. La part des opérations d'achat domestiques (hors opérations réseaux) est également en baisse, passant de 88 à 78% d'un trimestre à l'autre. Quant aux institutionnels, la part de leurs achats affiche une légère hausse, représentant 88% du volume global, contre 85% au premier trimestre.
Les mêmes tendances restent valables pour une comparaison à base semestrielle. Ainsi, les achats réalisés par les investisseurs physiques étrangers sont en forte baisse (-58%) durant le premier semestre 2011. De leur côté, les opérations d'achat des entreprises marocaines et des personnes physiques locaux accusent une baisse de 44% et 53% respectivement. Contrairement aux opérations transitant par le réseau bancaire, en hausse de 7%.
Dans le sens de la vente cette fois, les opérations réalisées au cours du deuxième trimestre sont également en baisse, et ce pour toutes les catégories d'investisseurs, notamment les opérations réalisées par les entreprises domestiques qui ont enregistré une baisse des ventes de 58% par rapport au premier trimestre. Les ventes cumulées du premier semestre pour la même catégorie d'investisseurs sont aussi en recul de 60% par rapport à la même période de 2010. Pour les entreprises étrangères, le volume de leurs ventes sont en repli de 26% en glissement trimestriel et de 15% par rapport au volume réalisé durant le premier semestre 2010.
Chez les OPCVM par contre, si leurs ventes sont en baisse par rapport au premier trimestre (-17%), elles sont en hausse au cours du premier semestre de l'année en cours, 8% de plus que le volume échangé sur le marché central une année auparavant. Les opérations de vente réalisées par les OPCVM représentent 42% du volume global, en hausse par rapport à leur niveau cumulé à fin mars dernier où ils ne représentaient que 30%. En un an, leur part a pratiquement doublé. Les ventes émanant des entreprises marocaines sont en baisse, passant de 37% du volume global à fin mars dernier à 26% au terme du mois de juin.Le marché reste globalement dominé par les investisseurs domestiques, la part de ces derniers dans le total des vente (hors opérations réseaux) se situant aux alentours de 80%, contre 83% durant le premier trimestre. La part cumulée pour l'année 2011 est quant à elle en légère baisse par rapport à la même période de 2010. Le marché reste tout de même guidé par les institutionnels dont la part dans le volume des ventes représente 85% du volume global, en hausse comparativement au premier trimestre où elle était de 80%.
L'analyse par le CDVM des comportements des différentes catégories fait ressortir qu'à l'exception des personnes morales, les autres investisseurs se sont positionnés en tant que vendeurs durant le deuxième trimestre 2011.
Maintenant qui se positionne le plus à l'achat et quel est le profil des investisseurs qui animent le mouvement de vente ? Le CDVM apporte quelques éléments de réponse à travers ses statistiques trimestrielles relatives à la ventilation des transactions par catégorie d'investisseurs. Ainsi, à l'exception des opérations réalisées par les entreprises (personnes morales) étrangères, pour toutes les catégories d'investisseurs, les achats sont en recul durant le deuxième trimestre 2011, principalement ceux réalisés par les gestionnaires de l'épargne collective (OPCVM), qui affichent une forte régression de 70% par rapport au premier trimestre de l'année. Les opérations d'achat par les investisseurs physiques étrangers affichent également une baisse de 56% durant la même période.
Les opérations d'achat initiées par les entreprises domestiques représentent 46% du volume global, en baisse de 20 points en glissement trimestriel. La part des opérations d'achat domestiques (hors opérations réseaux) est également en baisse, passant de 88 à 78% d'un trimestre à l'autre. Quant aux institutionnels, la part de leurs achats affiche une légère hausse, représentant 88% du volume global, contre 85% au premier trimestre.
Les mêmes tendances restent valables pour une comparaison à base semestrielle. Ainsi, les achats réalisés par les investisseurs physiques étrangers sont en forte baisse (-58%) durant le premier semestre 2011. De leur côté, les opérations d'achat des entreprises marocaines et des personnes physiques locaux accusent une baisse de 44% et 53% respectivement. Contrairement aux opérations transitant par le réseau bancaire, en hausse de 7%.
Dans le sens de la vente cette fois, les opérations réalisées au cours du deuxième trimestre sont également en baisse, et ce pour toutes les catégories d'investisseurs, notamment les opérations réalisées par les entreprises domestiques qui ont enregistré une baisse des ventes de 58% par rapport au premier trimestre. Les ventes cumulées du premier semestre pour la même catégorie d'investisseurs sont aussi en recul de 60% par rapport à la même période de 2010. Pour les entreprises étrangères, le volume de leurs ventes sont en repli de 26% en glissement trimestriel et de 15% par rapport au volume réalisé durant le premier semestre 2010.
Chez les OPCVM par contre, si leurs ventes sont en baisse par rapport au premier trimestre (-17%), elles sont en hausse au cours du premier semestre de l'année en cours, 8% de plus que le volume échangé sur le marché central une année auparavant. Les opérations de vente réalisées par les OPCVM représentent 42% du volume global, en hausse par rapport à leur niveau cumulé à fin mars dernier où ils ne représentaient que 30%. En un an, leur part a pratiquement doublé. Les ventes émanant des entreprises marocaines sont en baisse, passant de 37% du volume global à fin mars dernier à 26% au terme du mois de juin.Le marché reste globalement dominé par les investisseurs domestiques, la part de ces derniers dans le total des vente (hors opérations réseaux) se situant aux alentours de 80%, contre 83% durant le premier trimestre. La part cumulée pour l'année 2011 est quant à elle en légère baisse par rapport à la même période de 2010. Le marché reste tout de même guidé par les institutionnels dont la part dans le volume des ventes représente 85% du volume global, en hausse comparativement au premier trimestre où elle était de 80%.
L'analyse par le CDVM des comportements des différentes catégories fait ressortir qu'à l'exception des personnes morales, les autres investisseurs se sont positionnés en tant que vendeurs durant le deuxième trimestre 2011.