Il s'agit pour les pays du pourtour méditerranéen de poursuivre les efforts de régularisation des eaux de surface pour faire face à la variabilité qui caractérise la disponibilité de l'eau dans ces pays, de bien cerner les données hydrologiques qui sont à la base du dimensionnement optimal des barrages, de donner plus de soin à la réalisation de l'analyse économique précédant la construction des barrages.
En matière d'impact sur l'environnement naturel et socio-économique, l'atelier a recommandé aux pays concernés de prendre en compte les problèmes liés à l'environnement dès le début des études de l'avant-projet en accordant beaucoup de soin au déplacement des populations. L'atelier régional a également demandé a ce que les pays portent un plus grand intérêt à la gestion des barrages pour préserver les ressources en eau qui sont de plus en plus limitées ou pratiquement difficiles d'accès et ce en améliorant l'utilisation de l'eau dans l'irrigation, l'alimentation en eau potable et industrielle et la production de l'énergie.
Parmi les recommandations retenues, il y a aussi celle incitant les pays à renforcer les mesures de lutte contre l'érosion, de poursuivre les actions de réhabilitation et de maintenance des ouvrages hydrauliques et d'accélérer enfin la résorption du décalage existant entre les superficies dominées par les barrages existants et les superficies équipées pour profiter des eaux régularisées au niveau des barrages construits qui continuent à se perdre en mer.
Dans ce mot de clôture, Abdelkbir Zahoud, secrétaire d'Etat chargé de l'eau a expliqué pourquoi le Maroc n'optait pas pour le moment pour le dessalement de l'eau de mer et des eaux saumâtres, indiquant que les études ont démontré que cette technique demeure encore très coûteuse pour être utilisée en agriculture.
Pour l'alimentation en eau potable, cette technique n'est envisageable que dans les zones désertiques ne disposant d'eau douce. Abdelkbir Zahoud a attiré l'attention quant à la surexploitation des nappes souterraines qui sont au Maroc d'accès facile, de bonne qualité et assez bien réparties géographiquement. Il a rappelé que le potentiel en eau de surface encore mobilisable s'élève à 30 %.
En matière d'impact sur l'environnement naturel et socio-économique, l'atelier a recommandé aux pays concernés de prendre en compte les problèmes liés à l'environnement dès le début des études de l'avant-projet en accordant beaucoup de soin au déplacement des populations. L'atelier régional a également demandé a ce que les pays portent un plus grand intérêt à la gestion des barrages pour préserver les ressources en eau qui sont de plus en plus limitées ou pratiquement difficiles d'accès et ce en améliorant l'utilisation de l'eau dans l'irrigation, l'alimentation en eau potable et industrielle et la production de l'énergie.
Parmi les recommandations retenues, il y a aussi celle incitant les pays à renforcer les mesures de lutte contre l'érosion, de poursuivre les actions de réhabilitation et de maintenance des ouvrages hydrauliques et d'accélérer enfin la résorption du décalage existant entre les superficies dominées par les barrages existants et les superficies équipées pour profiter des eaux régularisées au niveau des barrages construits qui continuent à se perdre en mer.
Dans ce mot de clôture, Abdelkbir Zahoud, secrétaire d'Etat chargé de l'eau a expliqué pourquoi le Maroc n'optait pas pour le moment pour le dessalement de l'eau de mer et des eaux saumâtres, indiquant que les études ont démontré que cette technique demeure encore très coûteuse pour être utilisée en agriculture.
Pour l'alimentation en eau potable, cette technique n'est envisageable que dans les zones désertiques ne disposant d'eau douce. Abdelkbir Zahoud a attiré l'attention quant à la surexploitation des nappes souterraines qui sont au Maroc d'accès facile, de bonne qualité et assez bien réparties géographiquement. Il a rappelé que le potentiel en eau de surface encore mobilisable s'élève à 30 %.