Main dans la main, les yeux dans les yeux, un vieux couple valse au rythme des airs de trompette joués par le grand Roy Hargrove. Eux sont venus de France. Lui de New York. Ils se rencontrent le temps d'un spectacle sur l'une des scènes de Tanjazz. Les deux amoureux ne sont pas là pour la première fois, contrairement à Roy, la star de la douzième édition de Tanjazz. «Nous sommes des habitués et nous venons chaque année de Montpellier pour vivre l'ambiance unique de ce festival que nous apprécions énormément», explique Nicole. Le même bonheur est partagé par la star de Tanjazz 2011. Mister Hargove déclare : «Je suis heureux d'être là, surtout que c'est ma première participation à ce festival réputé.»
Programmé pour la première nuit du week-end, Roy met le feu à la scène du Palais des Institutions italiennes. Le public l'apprécie et lui réserve des ovations après chaque morceau joué. Avec ses 13 albums et ses multiples concerts à travers le monde, Roy est l'un des jazzmen américains les plus estimés de la place. Il compose et joue de la musique au gré de ses humeurs et surtout de ses feelings. «J'ose dans la composition et rien ne me dérange», explique-t-il. Même s'il mélange jazz, funk, hip hop, soul et gospel, Roy se contente de jouer un jazz purement classique à Tanger. Accompagné de son quintet, il emmène les centaines de mélomanes présents dans des balades interminables en Louisiane pou revisiter le jazz, le vrai, le pur.
Plus tôt dans la journée, les Tangérois avaient rendez-vous avec des concerts gratuits, tenus dans les quatre coins de la ville. Plus animés et moins élitistes, ces moments de fête ont rassemblé grands et petits qui sont venus découvrir la programmation du festival. Une programmation riche et variée. Cette ambiance chaleureuse et festive demeure assurée par les nombreux artistes qui se succèdent à Tanjazz. Du 21 au 25 septembre, les musiciens venus des quatre coins du monde ont offert au public un show haut en couleurs. Chacun, selon ses tendances et ses inspirations, dévoile au public un style nouveau et différent. Du blues, du manouche, de l'afro beat et surtout plein de superbes voix. Il y en a eu pour tous les goûts.
Du jazz gitano-manouche par les Pommes de ma douche ou celui venu de la Nouvelle-Orléans chanté par Lillial Bouttlé & The gigolos, un autre beaucoup plus animé par Whitchcraft puis un autre propre à la grande Roberta Gabarini. c'est une balade à travers le jazz classiquement américain, le jazz chaleureusement latino et afro-cubain, en plus des surprenantes fusions, fruit de mélanges inédits de sonorités internationales.
Que ce soit dans les endroits intimistes ou sur les places publiques, le festival a encore une fois assuré.
«Cette douzième édition confirme la place importante qu'occupe Tanjazz dans l'agenda culturel de la ville, chez ses habitants mais également chez ses visiteurs. Car figurez-vous qu'il y a des spectateurs fidèles qui viennent de l'étranger assister à Tanjazz», explique un grand fidèle de Tanjazz. Durant cinq jours, les festivaliers, qu'ils soient des connaisseurs ou tout simplement des mélomanes à la recherche de nouveaux sons, ont pu découvrir un jazz au goût relevé de mille épices, servi en grands shows étincelants ou en lounge décontracté.
Programmé pour la première nuit du week-end, Roy met le feu à la scène du Palais des Institutions italiennes. Le public l'apprécie et lui réserve des ovations après chaque morceau joué. Avec ses 13 albums et ses multiples concerts à travers le monde, Roy est l'un des jazzmen américains les plus estimés de la place. Il compose et joue de la musique au gré de ses humeurs et surtout de ses feelings. «J'ose dans la composition et rien ne me dérange», explique-t-il. Même s'il mélange jazz, funk, hip hop, soul et gospel, Roy se contente de jouer un jazz purement classique à Tanger. Accompagné de son quintet, il emmène les centaines de mélomanes présents dans des balades interminables en Louisiane pou revisiter le jazz, le vrai, le pur.
Plus tôt dans la journée, les Tangérois avaient rendez-vous avec des concerts gratuits, tenus dans les quatre coins de la ville. Plus animés et moins élitistes, ces moments de fête ont rassemblé grands et petits qui sont venus découvrir la programmation du festival. Une programmation riche et variée. Cette ambiance chaleureuse et festive demeure assurée par les nombreux artistes qui se succèdent à Tanjazz. Du 21 au 25 septembre, les musiciens venus des quatre coins du monde ont offert au public un show haut en couleurs. Chacun, selon ses tendances et ses inspirations, dévoile au public un style nouveau et différent. Du blues, du manouche, de l'afro beat et surtout plein de superbes voix. Il y en a eu pour tous les goûts.
Du jazz gitano-manouche par les Pommes de ma douche ou celui venu de la Nouvelle-Orléans chanté par Lillial Bouttlé & The gigolos, un autre beaucoup plus animé par Whitchcraft puis un autre propre à la grande Roberta Gabarini. c'est une balade à travers le jazz classiquement américain, le jazz chaleureusement latino et afro-cubain, en plus des surprenantes fusions, fruit de mélanges inédits de sonorités internationales.
Que ce soit dans les endroits intimistes ou sur les places publiques, le festival a encore une fois assuré.
«Cette douzième édition confirme la place importante qu'occupe Tanjazz dans l'agenda culturel de la ville, chez ses habitants mais également chez ses visiteurs. Car figurez-vous qu'il y a des spectateurs fidèles qui viennent de l'étranger assister à Tanjazz», explique un grand fidèle de Tanjazz. Durant cinq jours, les festivaliers, qu'ils soient des connaisseurs ou tout simplement des mélomanes à la recherche de nouveaux sons, ont pu découvrir un jazz au goût relevé de mille épices, servi en grands shows étincelants ou en lounge décontracté.