"Ce sera du 50-50 contre l'Allemagne", a expliqué le joueur du Bayern Munich, né en 1982 à Gelsenkirchen (ouest de l'Allemagne).
"Bien entendu, les Allemands seront favoris, mais il n'y a aucune raison qu'on ne puisse pas se qualifier pour la finale", a-t-il ajouté, lors d'un point presse improvisé en fin d'après-midi au bord du terrain d'entraînement de la sélection.
"Même si on a plein de joueurs blessés et suspendus (5 et 4 respectivement, ndlr), a-t-il continué, d'autres sont prêts et ils ont tous très envie de jouer".
Même si les milieux "Tuncay Sanli et Arda Turan vont nous manquer, c'est sûr", a ajouté Altintop, "notre force, c'est le collectif".
Auteur de trois passes décisives depuis le début de la compétition, le joueur a par ailleurs estimé que l'Allemagne et la Turquie n'allaient "pas jouer offensif et plutôt attendre, au moins en début de rencontre".
"On n'est pas inquiets pour la suite. On peut aller en finale", a-t-il insisté.
La demi-finale constituera "une des plus grandes (confrontations) de l'histoire de la Turquie", a pour sa part souligné l'attaquant d'origine anglaise Kazim Kazim.
"C'est la première fois que la Turquie atteint les demi-finales d'un Euro, mais nous ne pensons pas à toutes ces blessures et ces suspensions, a-t-il poursuivi. Cela ne ferait que nous mettre de la pression supplémentaire".
"Je suis sûr que n'importe quelle équipe voudrait échanger sa place avec la nôtre, même avec 14 joueurs valides seulement", a ajouté le joueur de Fenerbahçe.
L'entraînement des Turcs a débuté sous le soleil, vers 16h00 GMT, au Franz-Horr Stadion, situé au sud de Vienne.
Plusieurs centaines de supporteurs turcs, venus encourager leur équipe, sont quant à eux demeurés à la porte de l'enceinte. Déçus, ils n'ont pourtant pas ménagé les encouragements et les chants à la gloire de leur sélection.
"Bien entendu, les Allemands seront favoris, mais il n'y a aucune raison qu'on ne puisse pas se qualifier pour la finale", a-t-il ajouté, lors d'un point presse improvisé en fin d'après-midi au bord du terrain d'entraînement de la sélection.
"Même si on a plein de joueurs blessés et suspendus (5 et 4 respectivement, ndlr), a-t-il continué, d'autres sont prêts et ils ont tous très envie de jouer".
Même si les milieux "Tuncay Sanli et Arda Turan vont nous manquer, c'est sûr", a ajouté Altintop, "notre force, c'est le collectif".
Auteur de trois passes décisives depuis le début de la compétition, le joueur a par ailleurs estimé que l'Allemagne et la Turquie n'allaient "pas jouer offensif et plutôt attendre, au moins en début de rencontre".
"On n'est pas inquiets pour la suite. On peut aller en finale", a-t-il insisté.
La demi-finale constituera "une des plus grandes (confrontations) de l'histoire de la Turquie", a pour sa part souligné l'attaquant d'origine anglaise Kazim Kazim.
"C'est la première fois que la Turquie atteint les demi-finales d'un Euro, mais nous ne pensons pas à toutes ces blessures et ces suspensions, a-t-il poursuivi. Cela ne ferait que nous mettre de la pression supplémentaire".
"Je suis sûr que n'importe quelle équipe voudrait échanger sa place avec la nôtre, même avec 14 joueurs valides seulement", a ajouté le joueur de Fenerbahçe.
L'entraînement des Turcs a débuté sous le soleil, vers 16h00 GMT, au Franz-Horr Stadion, situé au sud de Vienne.
Plusieurs centaines de supporteurs turcs, venus encourager leur équipe, sont quant à eux demeurés à la porte de l'enceinte. Déçus, ils n'ont pourtant pas ménagé les encouragements et les chants à la gloire de leur sélection.
