Les hommes de Jean-François Jodar ont eux réussi leur entrée dans la compétition en battant les "Ecureuils" du Bénin (1-0). "Même en cas de nul, on reste en bonne position, explique le sélectionneur français du Mali. Il suffit qu'on ne perde plus (3e match du groupe contre la Côte d'Ivoire, mardi) et on passe (en quarts de finale)".
Le plan de jeu du Nigeria n'a pas fonctionné contre les "Eléphants", mais la sortie du capitaine, Nwankwo Kanu (incertain contre le Mali), et le petit match des attaquant, Obafemi Martins et Yakubu Ayegbeni, ont contrarié les schémas du sélectionneur allemand Berti Vogts. Il pourrait faire monter au feu Ikechukwu Uche ou Obinna Nsofor à leur place.
"Nous n'avons pas d'autre choix que de battre le Mali, explique le défenseur de Nice (FRA), Onyekachi Apam. Nous sommes aussi condamnés à gagner notre dernier match contre le Bénin (mardi). Nous avons les qualités pour gagner cette Coupe, mais il faut le prouver sur le terrain."
Mahamadou Diarra (Real Madrid/ESP), le capitaine malien, se méfie "du jeu physique pour lequel les Nigérians sont réputés" et "s'attend à une bataille" contre les doubles vainqueurs de la Can (1980, 1994), qui restent un des favoris du tournoi.
Ascendant psychologique
"Nous n'avons rien fait contre la Côte d'Ivoire, regrette le défenseur Danny Shittu (Watford/ENG), voilà pourquoi nous devons absolument faire mieux."
Le Mali n'a pas brillé non plus contre le Bénin, mais a réussi l'essentiel en marquant 3 points. Les "Aigles" savent toutefois que les Nigérians sont d'une autre trempe que les "Ecureuils". Si le Bénin n'a encore marqué qu'un seul point en deux Can, le Nigeria est arrivé 12 fois sur 14 dans le dernier carré.
"On a une belle équipe, admet le défenseur central Cédric Kanté, mais le Nigeria, ça va être dur. Ils ont perdu contre la Côte d'Ivoire, mais ils méritaient le succès au nombre d'occasions."
"Le Nigeria est très fort individuellement, ajoute son coéquipier de la charnière, Adama Coulibaly. Il faudra qu'on soit deux fois plus concentré que contre le Bénin."
Le grand défenseur lensois rappelle également que les Nigérians ont peut-être un petit ascendant psychologique pour avoir battu deux fois les Maliens pour la 3e place des Can 2002 et 2004. "Je ne sais pas si eux ils y pensent, mais nous on pense à ça."
+Couli+ ne trouve pas que la pression soit sur les épaules du Nigeria. "Si on perd, c'est nous qui seront en difficulté dans le groupe", explique-t-il.
Le plan de jeu du Nigeria n'a pas fonctionné contre les "Eléphants", mais la sortie du capitaine, Nwankwo Kanu (incertain contre le Mali), et le petit match des attaquant, Obafemi Martins et Yakubu Ayegbeni, ont contrarié les schémas du sélectionneur allemand Berti Vogts. Il pourrait faire monter au feu Ikechukwu Uche ou Obinna Nsofor à leur place.
"Nous n'avons pas d'autre choix que de battre le Mali, explique le défenseur de Nice (FRA), Onyekachi Apam. Nous sommes aussi condamnés à gagner notre dernier match contre le Bénin (mardi). Nous avons les qualités pour gagner cette Coupe, mais il faut le prouver sur le terrain."
Mahamadou Diarra (Real Madrid/ESP), le capitaine malien, se méfie "du jeu physique pour lequel les Nigérians sont réputés" et "s'attend à une bataille" contre les doubles vainqueurs de la Can (1980, 1994), qui restent un des favoris du tournoi.
Ascendant psychologique
"Nous n'avons rien fait contre la Côte d'Ivoire, regrette le défenseur Danny Shittu (Watford/ENG), voilà pourquoi nous devons absolument faire mieux."
Le Mali n'a pas brillé non plus contre le Bénin, mais a réussi l'essentiel en marquant 3 points. Les "Aigles" savent toutefois que les Nigérians sont d'une autre trempe que les "Ecureuils". Si le Bénin n'a encore marqué qu'un seul point en deux Can, le Nigeria est arrivé 12 fois sur 14 dans le dernier carré.
"On a une belle équipe, admet le défenseur central Cédric Kanté, mais le Nigeria, ça va être dur. Ils ont perdu contre la Côte d'Ivoire, mais ils méritaient le succès au nombre d'occasions."
"Le Nigeria est très fort individuellement, ajoute son coéquipier de la charnière, Adama Coulibaly. Il faudra qu'on soit deux fois plus concentré que contre le Bénin."
Le grand défenseur lensois rappelle également que les Nigérians ont peut-être un petit ascendant psychologique pour avoir battu deux fois les Maliens pour la 3e place des Can 2002 et 2004. "Je ne sais pas si eux ils y pensent, mais nous on pense à ça."
+Couli+ ne trouve pas que la pression soit sur les épaules du Nigeria. "Si on perd, c'est nous qui seront en difficulté dans le groupe", explique-t-il.
