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En effet, cette marche, initiée d'une main de maître et avec un génie politique incomparable par feu S.M. Hassan II, exprimait la volonté et l'engagement unanimes du peuple marocain et inscrivait en lettres d'or une nouvelle page de gloire dans l'histoire de la nation.
Les Marocains se souviendront longtemps de cette épopée glorieuse menée par quelque 350.000 volontaires issus de différentes couches sociales et représentant toutes les régions du Royaume, qui ont répondu à l'appel d'entreprendre cette Marche pour libérer le Sahara du joug de l'occupant espagnol avec des "armes" pacifiques que sont le drapeau national, le Coran et l'attachement aux vertus de paix pour défendre leurs droits spoliés.
De l'avis de plusieurs observateurs, la Marche Verte fut un événement historique unique en son genre et dans sa philosophie, un moyen de libération et d'unité et une référence en matière de lutte pacifique des nations et des peuples pour le recouvrement de leurs droits.
Cette œuvre originale a réussi grâce à l'ingéniosité de son initiateur et au talent d'un peuple qui a marqué ce rendez-vous historique par une adhésion spontanée à un processus libérateur dicté par une volonté d'unir les fils d'une même nation.
Fidèle aux valeurs ayant présidé à cette épopée, en l'occurrence ceux d'une communion osmotique entre le peuple et le Trône, d'une unanimité fermement scellée autour de la nation unie, d'une mobilisation populaire constamment en veille et d'une adhésion franche, totale et sincère aux valeurs de paix et aux vertus du dialogue, le Maroc n'a eu de cesse d'œuvrer pour une issue politique au conflit artificiel autour de son Sahara.
Aussi, demeurant attaché au principe de règlement pacifique des différends, le Royaume, comme l'a souligné S.M. le Roi Mohammed VI, a invariablement fait preuve d'une collaboration constante avec les Nations unies, souscrivant pleinement aux résolutions du Conseil de sécurité, en particulier celles adoptées depuis l'année 2001, qui insistent toutes sur la recherche d'une solution politique, dite de troisième voie, après que la communauté internationale ait conclu à l'inapplicabilité de toutes les démarches entreprises à ce jour.
"De fait, le Maroc a constamment réitéré sa détermination à persévérer dans la voie pacifique, notamment dans le cadre du processus onusien en cours, processus pour le succès duquel nous ne ménagerons aucun effort et auquel nous contribuerons avec sincérité et esprit de pleine coopération", a indiqué le Souverain.
Toutefois, a encore relevé S.M. le Roi, cette volonté de paix et la recherche d'une solution négociée ne doivent, en aucune manière, être perçues comme une quelconque faiblesse de la part du Royaume car, plus que jamais, "Nous demeurons déterminé à défendre légitimement notre souveraineté nationale, notre intégrité territoriale, la dignité des citoyens marocains et notre identité".
Ainsi, les provinces du sud du Royaume, dotées en 2006 d'un Conseil Royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), ont vu leurs populations activement associées à la conception et à la finalisation du projet d'autonomie présenté au Conseil de sécurité des Nations unies et qui a suscité une large adhésion et un franc appui des grandes puissances internationales.
Ces mêmes provinces, devenues aujourd'hui de grandes cités et des agglomérations urbaines jouissant de la sécurité, de la stabilité et de la prospérité, sont partie prenante, à part entière, à la dynamique engagée sur l'ensemble du territoire national, dans le cadre d'une société démocratique moderniste, pour assurer au citoyen un avenir plus prospère et plus radieux.
Cette implication des fils du Sahara dans le projet sociétal national, de même que leur participation massive aux dernières élections législatives sont autant de preuves de leur pleine citoyenneté et de leur indéfectible attachement à leur marocanité. Cette participation, libre et spontanée, a valeur de vote confirmatif de leur marocanité et des liens séculaires qui les lient au Glorieux Trône Alaouite, dans un climat de sécurité, de sérénité, de stabilité et d'exercice effectif de la démocratie.
Les populations des Provinces du Sud sont aujourd'hui parfaitement conscientes qu'elles vivent au sein d'une société sereine, paisible et organisée. Elles savent aussi qu'elles vivent dans une société démocratique et jouissant de leurs droits et de la sécurité qui leur garantit la protection de leurs personnes, de leurs biens et de leur dignité.
Elles savent surtout qu'en plus de la garantie de tous ces droits, le Royaume est soucieux de préserver l'identité, les qualités et le génie propres à chaque tribu sur l'ensemble du territoire marocain.
La question du Sahara a franchi bien des étapes. Elle se trouve aujourd'hui à un tournant fort favorable au Maroc qui est resté fidèle à l'esprit de la Marche Verte, tout en continuant à défendre son intégrité territoriale et sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire.
Le Maroc demeure également attaché à la paix et au dialogue afin de mettre un terme à un conflit artificiel monté de toutes pièces dans le but d'entraver le développement de la région et de créer un foyer de tension dans un continent africain qui ne peut supporter davantage de divisions et de facteurs de morcellement.
Les Marocains se souviendront longtemps de cette épopée glorieuse menée par quelque 350.000 volontaires issus de différentes couches sociales et représentant toutes les régions du Royaume, qui ont répondu à l'appel d'entreprendre cette Marche pour libérer le Sahara du joug de l'occupant espagnol avec des "armes" pacifiques que sont le drapeau national, le Coran et l'attachement aux vertus de paix pour défendre leurs droits spoliés.
De l'avis de plusieurs observateurs, la Marche Verte fut un événement historique unique en son genre et dans sa philosophie, un moyen de libération et d'unité et une référence en matière de lutte pacifique des nations et des peuples pour le recouvrement de leurs droits.
Cette œuvre originale a réussi grâce à l'ingéniosité de son initiateur et au talent d'un peuple qui a marqué ce rendez-vous historique par une adhésion spontanée à un processus libérateur dicté par une volonté d'unir les fils d'une même nation.
Fidèle aux valeurs ayant présidé à cette épopée, en l'occurrence ceux d'une communion osmotique entre le peuple et le Trône, d'une unanimité fermement scellée autour de la nation unie, d'une mobilisation populaire constamment en veille et d'une adhésion franche, totale et sincère aux valeurs de paix et aux vertus du dialogue, le Maroc n'a eu de cesse d'œuvrer pour une issue politique au conflit artificiel autour de son Sahara.
Aussi, demeurant attaché au principe de règlement pacifique des différends, le Royaume, comme l'a souligné S.M. le Roi Mohammed VI, a invariablement fait preuve d'une collaboration constante avec les Nations unies, souscrivant pleinement aux résolutions du Conseil de sécurité, en particulier celles adoptées depuis l'année 2001, qui insistent toutes sur la recherche d'une solution politique, dite de troisième voie, après que la communauté internationale ait conclu à l'inapplicabilité de toutes les démarches entreprises à ce jour.
"De fait, le Maroc a constamment réitéré sa détermination à persévérer dans la voie pacifique, notamment dans le cadre du processus onusien en cours, processus pour le succès duquel nous ne ménagerons aucun effort et auquel nous contribuerons avec sincérité et esprit de pleine coopération", a indiqué le Souverain.
Toutefois, a encore relevé S.M. le Roi, cette volonté de paix et la recherche d'une solution négociée ne doivent, en aucune manière, être perçues comme une quelconque faiblesse de la part du Royaume car, plus que jamais, "Nous demeurons déterminé à défendre légitimement notre souveraineté nationale, notre intégrité territoriale, la dignité des citoyens marocains et notre identité".
Ainsi, les provinces du sud du Royaume, dotées en 2006 d'un Conseil Royal consultatif pour les affaires sahariennes (CORCAS), ont vu leurs populations activement associées à la conception et à la finalisation du projet d'autonomie présenté au Conseil de sécurité des Nations unies et qui a suscité une large adhésion et un franc appui des grandes puissances internationales.
Ces mêmes provinces, devenues aujourd'hui de grandes cités et des agglomérations urbaines jouissant de la sécurité, de la stabilité et de la prospérité, sont partie prenante, à part entière, à la dynamique engagée sur l'ensemble du territoire national, dans le cadre d'une société démocratique moderniste, pour assurer au citoyen un avenir plus prospère et plus radieux.
Cette implication des fils du Sahara dans le projet sociétal national, de même que leur participation massive aux dernières élections législatives sont autant de preuves de leur pleine citoyenneté et de leur indéfectible attachement à leur marocanité. Cette participation, libre et spontanée, a valeur de vote confirmatif de leur marocanité et des liens séculaires qui les lient au Glorieux Trône Alaouite, dans un climat de sécurité, de sérénité, de stabilité et d'exercice effectif de la démocratie.
Les populations des Provinces du Sud sont aujourd'hui parfaitement conscientes qu'elles vivent au sein d'une société sereine, paisible et organisée. Elles savent aussi qu'elles vivent dans une société démocratique et jouissant de leurs droits et de la sécurité qui leur garantit la protection de leurs personnes, de leurs biens et de leur dignité.
Elles savent surtout qu'en plus de la garantie de tous ces droits, le Royaume est soucieux de préserver l'identité, les qualités et le génie propres à chaque tribu sur l'ensemble du territoire marocain.
La question du Sahara a franchi bien des étapes. Elle se trouve aujourd'hui à un tournant fort favorable au Maroc qui est resté fidèle à l'esprit de la Marche Verte, tout en continuant à défendre son intégrité territoriale et sa souveraineté sur l'ensemble de son territoire.
Le Maroc demeure également attaché à la paix et au dialogue afin de mettre un terme à un conflit artificiel monté de toutes pièces dans le but d'entraver le développement de la région et de créer un foyer de tension dans un continent africain qui ne peut supporter davantage de divisions et de facteurs de morcellement.
