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Il faut induire le changement maintenant avec plus de détermination.
A titre d'exemple, le Code du travail qui a été arrêté et pour lequel il fallait revoir un certain nombre de points, notamment concernant le droit de grève et les contrats à durée déterminée, est toujours en suspens à la fin de l'année 2005. Nous souhaitons que 2006, soit l'année véritablement des réformes avec surtout plus de pragmatisme et de réactivité.
L'année 2006 doit aussi être celle de la transparence, une année de changement par rapport à 2005. Rappelons que la Loi de finances proposée pour 2006 a inclus des bouleversements notamment en matière fiscale et qui ont des conséquences très lourdes.
Or, ces changements des règles du jeu doivent faire l'objet d'une loi à part.
Cette modification déséquilibre en effet les rapports entre les entreprises et l'administration fiscale. Plus de dialogue et plus de transparence, sont les deux souhaits de 2006. Dialogue évidemment sous entend une véritable communication et non un dialogue de sourds. Plus de visibilité pour tirer les conséquences. Prenons exemple sur le tourisme où une bonne visibilité et l'évaluation sont facteurs de succès.
Il faut répéter cet exemple pour l'ensemble du secteur. Pour intégrer, l'économie mondiale et parvenir à ce 6% de PIB.
Les deux points manquants peuvent être atteint juste avec plus de dialogue et plus de transparence.
(FM)
A titre d'exemple, le Code du travail qui a été arrêté et pour lequel il fallait revoir un certain nombre de points, notamment concernant le droit de grève et les contrats à durée déterminée, est toujours en suspens à la fin de l'année 2005. Nous souhaitons que 2006, soit l'année véritablement des réformes avec surtout plus de pragmatisme et de réactivité.
L'année 2006 doit aussi être celle de la transparence, une année de changement par rapport à 2005. Rappelons que la Loi de finances proposée pour 2006 a inclus des bouleversements notamment en matière fiscale et qui ont des conséquences très lourdes.
Or, ces changements des règles du jeu doivent faire l'objet d'une loi à part.
Cette modification déséquilibre en effet les rapports entre les entreprises et l'administration fiscale. Plus de dialogue et plus de transparence, sont les deux souhaits de 2006. Dialogue évidemment sous entend une véritable communication et non un dialogue de sourds. Plus de visibilité pour tirer les conséquences. Prenons exemple sur le tourisme où une bonne visibilité et l'évaluation sont facteurs de succès.
Il faut répéter cet exemple pour l'ensemble du secteur. Pour intégrer, l'économie mondiale et parvenir à ce 6% de PIB.
Les deux points manquants peuvent être atteint juste avec plus de dialogue et plus de transparence.
(FM)
