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Le nouveau Ford Ranger Raptor débarque au Maroc avec une promesse claire : repousser les limites du tout-terrain. Pour cette deuxième génération, Ford annonce un pick-up encore plus affûté, pensé pour les terrains les plus hostiles comme pour les amateurs de sensations fortes. Motorisation renforcée, suspension intelligente, look brutal et héritage de la compétition : voici ce qu’il faut retenir de ce Raptor nouvelle formule, selon les arguments avancés par la marque.
Sous le capot, le Ranger Raptor est animé par un bloc diesel 2.0 litres, baptisé « Panther » par Ford. Un moteur qui, selon le constructeur, a été conçu pour encaisser les pires conditions sans sourciller. Pas forcément le plus explosif de sa catégorie, mais un choix assumé pour sa robustesse, son endurance et son équilibre entre puissance et sobriété. L’objectif est clair : offrir un compagnon fiable, que ce soit pour une virée en montagne ou pour traverser les dunes du sud marocain.
Le moteur est couplé à une boîte automatique à dix vitesses, ce qui laisse entrevoir une gestion fine de la puissance, notamment en franchissement. Ford met en avant un calibrage sur-mesure pour chaque rapport, censé garantir une réponse rapide et une conduite souple quelles que soient les conditions. Ce choix mécanique place le Raptor dans une logique de polyvalence, plus que de brutalité pure.
C’est du côté des trains roulants que le Raptor entend faire la différence. Ford insiste beaucoup sur la qualité de la suspension, avec une architecture à long débattement montée sur des bras en aluminium, et surtout des amortisseurs Fox 2.5 pouces à dérivation interne. Particularité de ces éléments : ils sont dotés d’un système électronique « Live Valve » qui adapte en temps réel la réponse en fonction des sollicitations. D’après la marque, ces capteurs analysent le comportement du châssis jusqu’à 500 fois par seconde pour ajuster les réglages en continu. Résultat annoncé : un confort de roulage inédit, même sur terrain cassant, et une tenue de route stable même à haute vitesse sur piste.
Que vous soyez sur route, sur sable, dans la boue ou sur piste caillouteuse, Ford promet une adaptabilité totale grâce aux sept modes de conduite proposés. Le Raptor ajuste automatiquement la cartographie moteur, la boîte, la direction, le freinage, la stabilité ou encore l’affichage à bord. Mention spéciale pour le mode « Baja », inspiré des célèbres courses américaines, qui pousse les réglages dans leur configuration la plus extrême. À basse vitesse, le système Trail Control permet aussi de garder le cap sans toucher aux pédales, façon régulateur de vitesse pour le franchissement. Des assistances bien pensées sur le papier... à condition de bien connaître leurs limites.
Physiquement, le Ranger Raptor en impose. Garde au sol relevée, ailes élargies, pneus BFGoodrich KO3 de 33 pouces, jantes de 17 pouces, et une calandre noire avec le fameux lettrage F-O-R-D qui occupe toute la largeur. C’est massif, assumé, et clairement orienté baroudeur. Le pare-chocs avant est en acier, équipé de crochets de remorquage, et tout l’ensemble est protégé par des plaques sous le châssis, du sabot moteur au réservoir de carburant. Le style n’est donc pas qu’un effet de manche : Ford revendique une vraie capacité de protection sur le terrain.
Enfin, Ford aime rappeler que son Ranger Raptor ne se contente pas de faire joli en concession. Selon la marque, une version quasi d’origine a terminé — et remporté — la Baja 1000 en 2022 dans sa catégorie. Même chose en 2023 au Finke Desert Race. De quoi renforcer le discours de fiabilité et de résistance que Ford souhaite associer à son pick-up phare.
Avec ce Ranger Raptor, Ford vise clairement une clientèle passionnée, exigeante, et adepte des sorties hors bitume. La fiche technique impressionne, les promesses sont nombreuses, et le bagage en compétition vient compléter une offre déjà musclée. Reste à voir comment ce pick-up de caractère se comportera au quotidien dans les conditions marocaines. Une chose est sûre : il ne passera pas inaperçu.
Sous le capot, le Ranger Raptor est animé par un bloc diesel 2.0 litres, baptisé « Panther » par Ford. Un moteur qui, selon le constructeur, a été conçu pour encaisser les pires conditions sans sourciller. Pas forcément le plus explosif de sa catégorie, mais un choix assumé pour sa robustesse, son endurance et son équilibre entre puissance et sobriété. L’objectif est clair : offrir un compagnon fiable, que ce soit pour une virée en montagne ou pour traverser les dunes du sud marocain.
Le moteur est couplé à une boîte automatique à dix vitesses, ce qui laisse entrevoir une gestion fine de la puissance, notamment en franchissement. Ford met en avant un calibrage sur-mesure pour chaque rapport, censé garantir une réponse rapide et une conduite souple quelles que soient les conditions. Ce choix mécanique place le Raptor dans une logique de polyvalence, plus que de brutalité pure.
C’est du côté des trains roulants que le Raptor entend faire la différence. Ford insiste beaucoup sur la qualité de la suspension, avec une architecture à long débattement montée sur des bras en aluminium, et surtout des amortisseurs Fox 2.5 pouces à dérivation interne. Particularité de ces éléments : ils sont dotés d’un système électronique « Live Valve » qui adapte en temps réel la réponse en fonction des sollicitations. D’après la marque, ces capteurs analysent le comportement du châssis jusqu’à 500 fois par seconde pour ajuster les réglages en continu. Résultat annoncé : un confort de roulage inédit, même sur terrain cassant, et une tenue de route stable même à haute vitesse sur piste.
Que vous soyez sur route, sur sable, dans la boue ou sur piste caillouteuse, Ford promet une adaptabilité totale grâce aux sept modes de conduite proposés. Le Raptor ajuste automatiquement la cartographie moteur, la boîte, la direction, le freinage, la stabilité ou encore l’affichage à bord. Mention spéciale pour le mode « Baja », inspiré des célèbres courses américaines, qui pousse les réglages dans leur configuration la plus extrême. À basse vitesse, le système Trail Control permet aussi de garder le cap sans toucher aux pédales, façon régulateur de vitesse pour le franchissement. Des assistances bien pensées sur le papier... à condition de bien connaître leurs limites.
Physiquement, le Ranger Raptor en impose. Garde au sol relevée, ailes élargies, pneus BFGoodrich KO3 de 33 pouces, jantes de 17 pouces, et une calandre noire avec le fameux lettrage F-O-R-D qui occupe toute la largeur. C’est massif, assumé, et clairement orienté baroudeur. Le pare-chocs avant est en acier, équipé de crochets de remorquage, et tout l’ensemble est protégé par des plaques sous le châssis, du sabot moteur au réservoir de carburant. Le style n’est donc pas qu’un effet de manche : Ford revendique une vraie capacité de protection sur le terrain.
Enfin, Ford aime rappeler que son Ranger Raptor ne se contente pas de faire joli en concession. Selon la marque, une version quasi d’origine a terminé — et remporté — la Baja 1000 en 2022 dans sa catégorie. Même chose en 2023 au Finke Desert Race. De quoi renforcer le discours de fiabilité et de résistance que Ford souhaite associer à son pick-up phare.
Avec ce Ranger Raptor, Ford vise clairement une clientèle passionnée, exigeante, et adepte des sorties hors bitume. La fiche technique impressionne, les promesses sont nombreuses, et le bagage en compétition vient compléter une offre déjà musclée. Reste à voir comment ce pick-up de caractère se comportera au quotidien dans les conditions marocaines. Une chose est sûre : il ne passera pas inaperçu.
