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Audi repositionne son offre de milieu de gamme avec une A5 profondément refondue, présentée comme «le mariage de la sportivité moderne et de proportions premium». Plus longue de 67 mm que le précédent modèle, la carrosserie atteint 4,82 mètres et s’appuie sur un empattement de 2,90 mètres, gage d’une habitabilité améliorée.
Vue de profil, la nouvelle A5 affiche un capot long et nerveux qui plonge vers l’avant, souligné par deux nervures centrales accentuant la puissance visuelle du bloc moteur. La calandre Singleframe, plus large et plus plate qu’auparavant, adopte un motif nid-d’abeilles tridimensionnel qui capte la lumière différemment selon l’angle, tandis que le pare-chocs intègre de grandes prises d’air latérales creusées, encadrées d’ailettes verticales pour canaliser le flux vers les roues. Les projecteurs Matrix LED effilés tirent un trait lumineux acéré jusqu’au bord des ailes ; leur signature, configurable au MMI, permet de choisir entre huit animations d’accueil et de départ.
Sur les flancs, l’arête dite Tornado Line part de l’aile avant, traverse les poignées affleurantes à ouverture capacitive et se prolonge jusqu’aux feux arrière, créant un jeu d’ombre qui allège visuellement la ceinture de caisse. Sous cette ligne, un léger creux sculpte la portière et fait ressortir les passages de roue, assez musclés pour loger des jantes de 18 à 20 pouces. Le bas de caisse, peint en contraste sur la finition S line, accentue la posture athlétique tout en améliorant l’écoulement aérodynamique.
La ligne de toit, plus basse de 15 mm, s’étire en une courbe continue façon fastback et se fond dans une lunette arrière très inclinée, terminée par un becquet de hayon à double arête. À l’arrière, une bande LED en relief relie deux blocs optiques boomerang, chacun doté d’un clignotant dynamique. Le diffuseur intégré, peint en noir brillant ou en gris platine selon la finition, encadre des sorties d’échappement trapézoïdales réelles, tandis qu’un discret becquet supérieur complète la panoplie aérodynamique. Résultat : un Cx de 0,24 qui place la berline parmi les meilleures de sa catégorie en pénétration dans l’air.
La nouvelle plate-forme électrique 48 volts permet des mises à jour logicielles à distance et la connexion d’assistants de conduite évolutifs. Un affichage tête haute de nouvelle génération est proposé : image agrandie de 85%, contenu personnalisable et pilotage direct de certaines fonctions sans quitter la route des yeux. Côté aides, la caméra de recul, le limiteur adaptatif et l’alerte de franchissement de ligne figurent dans la dotation de base ; la conduite semi-autonome «Traffic Jam Assist» reste optionnelle.
Direction progressive, répartition active du couple de freinage et amortisseurs adaptatifs (option) composent un cocktail dynamique, mais civilisé. Les clients peuvent choisir entre suspension conventionnelle et suspension sport abaissée de 20 mm ; cette dernière est montée d’office sur la finition S line. Audi annonce un 0-100 km/h en 7,3 secondes et une vitesse de pointe autolimitée à 240 km/h.
Par rapport à la précédente génération, l’équipement progresse d’un cran : hayon motorisé, banquette 40/20/40, chargeurs USB-C avant/arrière et sellerie mi-Similicuir, mi-tissu sont inclus. Les phares Matrix LED, la vision nocturne et l’assistant stationnement télécommandé restent réservés aux niveaux supérieurs ou aux packs.
L’importateur confirme une arrivée en concessions courant juin 2025, au tarif d’appel de 580.000 DH pour la finition Advanced. Les versions S line et Competition suivront avant la fin de l’année, avec jantes 19 pouces, sièges sport à surpiqûres contrastées et ensemble audio Bang & Olufsen. Audi table sur un volume modeste, mais régulier, la clientèle locale plébiscitant encore le diesel sobre et coupleux sur ce segment. nSous le cuir, l’économie circulaire
Derrière le design athlétique de la nouvelle A5 se cache un chantier moins visible : l’allègement de son empreinte environnementale dès la ligne d’assemblage d’Ingolstadt. Les garnitures Softwrap des contre-portes mélangent 45% de polyester recyclé issu de filets de pêche repêchés en Méditerranée ; la mousse des assises utilise une huile végétale certifiée ISCC à la place du pétrole, et les moquettes contiennent 80% de nylon régénéré. Même l’aluminium des supports de tableau de bord provient du programme «Closed Loop» d’Audi : chutes triées, refondues, réinjectées. Résultat : près de 26 kg de matière vierge évités par voiture. L’usine, déjà neutre en CO₂ scope 1 & 2, vise maintenant le «net-zéro eau» : toutes les eaux de process seront filtrées et réutilisées d’ici 2027. Autant d’efforts discrets qui montrent que la sportivité premium peut aussi rouler pour l’économie circulaire.
Vue de profil, la nouvelle A5 affiche un capot long et nerveux qui plonge vers l’avant, souligné par deux nervures centrales accentuant la puissance visuelle du bloc moteur. La calandre Singleframe, plus large et plus plate qu’auparavant, adopte un motif nid-d’abeilles tridimensionnel qui capte la lumière différemment selon l’angle, tandis que le pare-chocs intègre de grandes prises d’air latérales creusées, encadrées d’ailettes verticales pour canaliser le flux vers les roues. Les projecteurs Matrix LED effilés tirent un trait lumineux acéré jusqu’au bord des ailes ; leur signature, configurable au MMI, permet de choisir entre huit animations d’accueil et de départ.
Sur les flancs, l’arête dite Tornado Line part de l’aile avant, traverse les poignées affleurantes à ouverture capacitive et se prolonge jusqu’aux feux arrière, créant un jeu d’ombre qui allège visuellement la ceinture de caisse. Sous cette ligne, un léger creux sculpte la portière et fait ressortir les passages de roue, assez musclés pour loger des jantes de 18 à 20 pouces. Le bas de caisse, peint en contraste sur la finition S line, accentue la posture athlétique tout en améliorant l’écoulement aérodynamique.
La ligne de toit, plus basse de 15 mm, s’étire en une courbe continue façon fastback et se fond dans une lunette arrière très inclinée, terminée par un becquet de hayon à double arête. À l’arrière, une bande LED en relief relie deux blocs optiques boomerang, chacun doté d’un clignotant dynamique. Le diffuseur intégré, peint en noir brillant ou en gris platine selon la finition, encadre des sorties d’échappement trapézoïdales réelles, tandis qu’un discret becquet supérieur complète la panoplie aérodynamique. Résultat : un Cx de 0,24 qui place la berline parmi les meilleures de sa catégorie en pénétration dans l’air.
Habitacle centré sur le Digital Stage
À bord, la marque mise sur une planche de bord épurée qui s’efface au profit d’un double écran incurvé : Virtual Cockpit de 11,9 pouces devant le conducteur et MMI tactile de 14,5 pouces au centre. Le passager peut, en option, disposer d’un troisième afficheur de 10,9 pouces doté d’un filtre actif empêchant le conducteur de voir un contenu distrayant. Navigation GPS, recharge téléphone par induction et hayon électrique passent désormais en série ; Bang & Olufsen 3D, toit panoramique à occultation segmentée ou réglage électrique de la colonne de direction figurent au catalogue des options. Une atmosphère valorisée par le Softwrap : une bande textile tendue sur toute la largeur qui réchauffe l’ambiance high tech.La nouvelle plate-forme électrique 48 volts permet des mises à jour logicielles à distance et la connexion d’assistants de conduite évolutifs. Un affichage tête haute de nouvelle génération est proposé : image agrandie de 85%, contenu personnalisable et pilotage direct de certaines fonctions sans quitter la route des yeux. Côté aides, la caméra de recul, le limiteur adaptatif et l’alerte de franchissement de ligne figurent dans la dotation de base ; la conduite semi-autonome «Traffic Jam Assist» reste optionnelle.
Diesel MHEV+ : sobriété sans renoncer au couple
Sous le capot, Audi inaugure un 2.0 litres TDI de 204 ch (400 Nm) épaulé par un système MHEV plus 48 volts. L’alterno-démarreur peut fournir 18 kilowatts (kW) d’appoint ou récupérer 25 kW lors des phases de décélération, l’énergie étant stockée dans une batterie LFP refroidie à eau. La berline peut ainsi évoluer en pur électrique lors des manœuvres, des embouteillages ou des fins de roue libre, abaissant la consommation combinée à 4,8-5,4 litres/100 km. La boîte S tronic à sept rapports et la traction avant sont de série ; la variante quattro n’est pas encore confirmée pour le Maroc.Direction progressive, répartition active du couple de freinage et amortisseurs adaptatifs (option) composent un cocktail dynamique, mais civilisé. Les clients peuvent choisir entre suspension conventionnelle et suspension sport abaissée de 20 mm ; cette dernière est montée d’office sur la finition S line. Audi annonce un 0-100 km/h en 7,3 secondes et une vitesse de pointe autolimitée à 240 km/h.
Par rapport à la précédente génération, l’équipement progresse d’un cran : hayon motorisé, banquette 40/20/40, chargeurs USB-C avant/arrière et sellerie mi-Similicuir, mi-tissu sont inclus. Les phares Matrix LED, la vision nocturne et l’assistant stationnement télécommandé restent réservés aux niveaux supérieurs ou aux packs.
L’importateur confirme une arrivée en concessions courant juin 2025, au tarif d’appel de 580.000 DH pour la finition Advanced. Les versions S line et Competition suivront avant la fin de l’année, avec jantes 19 pouces, sièges sport à surpiqûres contrastées et ensemble audio Bang & Olufsen. Audi table sur un volume modeste, mais régulier, la clientèle locale plébiscitant encore le diesel sobre et coupleux sur ce segment. nSous le cuir, l’économie circulaire
Derrière le design athlétique de la nouvelle A5 se cache un chantier moins visible : l’allègement de son empreinte environnementale dès la ligne d’assemblage d’Ingolstadt. Les garnitures Softwrap des contre-portes mélangent 45% de polyester recyclé issu de filets de pêche repêchés en Méditerranée ; la mousse des assises utilise une huile végétale certifiée ISCC à la place du pétrole, et les moquettes contiennent 80% de nylon régénéré. Même l’aluminium des supports de tableau de bord provient du programme «Closed Loop» d’Audi : chutes triées, refondues, réinjectées. Résultat : près de 26 kg de matière vierge évités par voiture. L’usine, déjà neutre en CO₂ scope 1 & 2, vise maintenant le «net-zéro eau» : toutes les eaux de process seront filtrées et réutilisées d’ici 2027. Autant d’efforts discrets qui montrent que la sportivité premium peut aussi rouler pour l’économie circulaire.
