Le long métrage «Mon père n’est pas mort» de son réalisateur Adil El Fadili a été projeté mardi soir en avant-première à Casablanca, devant un parterre d’artistes et autres cinéphiles. Ce film de 100 minutes raconte l’histoire de Malik, un jeune garçon vivant avec son père Mehdi dans une fête foraine. Leur quotidien est bouleversé lorsque Mehdi offre à son fils cinq toiles mystérieuses et fascinantes. Mais leur vie bascule tragiquement à la disparition soudaine et inexpliquée du père. Face à cela, Malik se lance dans une quête effrénée pour retrouver son papa, aidé par la communauté des forains.
«Mon père n’est pas mort», premier long métrage de Adil El Fadili, réunit des valeurs sûres et de nouveaux talents, entre autres, feu Aziz El Fadili, Mohamed Khouyi, Omar Lotfi, Fatima Atif, Nadia Kounda, Faouzi Bensaïdi, Didier Bénureau, Abdenbi El Beniwi et le jeune Adam Raghal.
Dans une déclaration à la «MAP», Adil El Fadili a tenu d’emblée à préciser que son film est totalement dépolitisé et qu’il s’agit tout simplement d’une histoire humaine sur les tribulations d’un enfant à la recherche de son père disparu.
Pour sa part, l’actrice Fatima Atif a noté qu’il s’agit d’une comédie divertissante évoquant des événements sous le prisme d’un enfant, alors que l’acteur Abdenbi El Beniwi s’est dit heureux d’avoir eu la chance de participer dans ce film.
Récompensé dans plusieurs festivals, «Mon père n’est pas mort» a décroché notamment six Prix lors du Festival national du film de Tanger 2023, dont le Grand Prix et celui de la Meilleure réalisation. Né en 1970 et formé au Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) à Paris, Adil El Fadili a construit son parcours avec des téléfilms et des séries, signant son premier court métrage intitulé «Courte vie» en 2010.
«Mon père n’est pas mort», premier long métrage de Adil El Fadili, réunit des valeurs sûres et de nouveaux talents, entre autres, feu Aziz El Fadili, Mohamed Khouyi, Omar Lotfi, Fatima Atif, Nadia Kounda, Faouzi Bensaïdi, Didier Bénureau, Abdenbi El Beniwi et le jeune Adam Raghal.
Dans une déclaration à la «MAP», Adil El Fadili a tenu d’emblée à préciser que son film est totalement dépolitisé et qu’il s’agit tout simplement d’une histoire humaine sur les tribulations d’un enfant à la recherche de son père disparu.
Pour sa part, l’actrice Fatima Atif a noté qu’il s’agit d’une comédie divertissante évoquant des événements sous le prisme d’un enfant, alors que l’acteur Abdenbi El Beniwi s’est dit heureux d’avoir eu la chance de participer dans ce film.
Récompensé dans plusieurs festivals, «Mon père n’est pas mort» a décroché notamment six Prix lors du Festival national du film de Tanger 2023, dont le Grand Prix et celui de la Meilleure réalisation. Né en 1970 et formé au Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) à Paris, Adil El Fadili a construit son parcours avec des téléfilms et des séries, signant son premier court métrage intitulé «Courte vie» en 2010.