Créé par le Groupe Le Matin, Book Club Le Matin se veut un espace de dialogue entre auteurs, penseurs et passionnés de culture. À Paris, il s’offre une dimension internationale, en réunissant neuf figures majeures des lettres marocaines autour de thématiques aussi variées que puissantes.
Le samedi après-midi est marqué par la présence emblématique de Tahar Ben Jelloun, qui revient sur Ils se sont tant aimés, entre mémoire collective et histoire d’amour. Le dimanche, Rahal Boubrik aborde avec rigueur la question du Sahara à travers une étude historique pointue, Aux origines d’une invention coloniale (1884-1945). La poésie n’est pas en reste avec Patch-words II de Kaisse Ben Yahya et Je me regarderai dans les yeux de Rim Battal, deux performances poétiques portées par la sensibilité et la force du verbe.
Animées par des modératrices telles que Fedwa Misk, Myriam Ezzaikhrajy et Mouna Hachim, les rencontres du Book Club Le Matin permettent un échange profond entre les auteurs et le public. Elles créent une dynamique où chaque voix résonne et fait écho à un Maroc pluriel, ouvert, en dialogue permanent avec le monde.
En donnant à voir cette scène littéraire foisonnante, le Book Club Le Matin offre au public français et international une plongée dans les imaginaires marocains, et une occasion rare de dialoguer avec ceux qui les façonnent. Une belle vitrine du renouveau littéraire marocain, portée par une initiative éditoriale audacieuse et engagée.
Une constellation d’écrivains aux voix singulières
Le programme, minutieusement élaboré, reflète la diversité et la profondeur de la création littéraire marocaine contemporaine. Myriam Jebbor ouvre le bal avec La trahison, un roman intense sur les fractures humaines. Asma Lamrabet poursuit avec une réflexion engagée sur Islam et libertés fondamentales, prônant une éthique universelle. Kebir Mustapha Ammi plonge quant à lui dans l’univers romanesque avec Le coiffeur aux mains rouges, tandis que Driss Jaydane invite à la déambulation littéraire à travers Moïse de Casa.Le samedi après-midi est marqué par la présence emblématique de Tahar Ben Jelloun, qui revient sur Ils se sont tant aimés, entre mémoire collective et histoire d’amour. Le dimanche, Rahal Boubrik aborde avec rigueur la question du Sahara à travers une étude historique pointue, Aux origines d’une invention coloniale (1884-1945). La poésie n’est pas en reste avec Patch-words II de Kaisse Ben Yahya et Je me regarderai dans les yeux de Rim Battal, deux performances poétiques portées par la sensibilité et la force du verbe.
Animées par des modératrices telles que Fedwa Misk, Myriam Ezzaikhrajy et Mouna Hachim, les rencontres du Book Club Le Matin permettent un échange profond entre les auteurs et le public. Elles créent une dynamique où chaque voix résonne et fait écho à un Maroc pluriel, ouvert, en dialogue permanent avec le monde.
En donnant à voir cette scène littéraire foisonnante, le Book Club Le Matin offre au public français et international une plongée dans les imaginaires marocains, et une occasion rare de dialoguer avec ceux qui les façonnent. Une belle vitrine du renouveau littéraire marocain, portée par une initiative éditoriale audacieuse et engagée.
