«Caftan Khadija» est centré sur le caftan traditionnel pour illustrer la richesse du patrimoine immatériel national. Ce drame social démontre que cet élément est un pilier essentiel du développement économique et souligne le rôle de l’héritage culturel dans le maintien de l’identité nationale, en assurant sa transmission aux générations futures.
La série, produite par «Image Factory», se compose de 30 épisodes tournés dans les anciens quartiers de Casablanca. Il raconte l’histoire de «Leïla», une jeune femme poussée par une crise financière sévère qui frappe sa riche famille à retourner au métier de sa grand-mère, la confection de caftans marocains. Son amour pour le caftan, qui lui rappelle un passé idyllique, s’épanouit et l’aide à découvrir son côté créatif, la poussant à réaliser ses ambitions. Cependant, ce rêve est semé d’embûches que «Leïla» doit surmonter. Les crises, obstacles et nouvelles conditions difficiles auxquelles «Leïla» fait face révéleront son caractère intrinsèque et sa force de volonté.
La famille aisée de Leïla, habituée à une vie de luxe, s’adaptera-t-elle à la nouvelle réalité ? Ses proches parviendront-ils à retrouver la joie et le bonheur ?
Les événements du feuilleton démontrent que l’intérêt des pays pour leur patrimoine culturel dépasse la simple nostalgie du passé, constituant un pilier fondamental de leur développement économique. «Personne ne doute que le patrimoine culturel est un élément central du développement économique, direct et indirect, des nations et communautés, intégrant harmonieusement le patrimoine matériel et immatériel», indique un communiqué de Image Factory.
Parmi les gains socio-économiques liés à l’héritage culturel, on note le développement social, créant des emplois pour les artisans et détenteurs de savoir-faire patrimonial. De nombreuses personnes se consacrent à des métiers traditionnels, et l’intérêt renouvelé pour le patrimoine a revitalisé leurs professions, amélioré leurs revenus et ravivé leurs compétences. Ces métiers sont désormais vus comme des garants de la continuité et de la conservation du patrimoine.
La série, produite par «Image Factory», est dirigée par Lamisse Khairat et met en vedette la talentueuse actrice marocaine Mahassine Merabet, connue pour ses rôles dans les drames turcs. Elle fera sa première apparition à la télévision marocaine dans le rôle de «Leïla». Le casting comprend également des acteurs renommés comme Sahar Seddiki, Salwa Zerhane, Rawia, Nada Haddioui, Rajaa Latifine, Rachida Manar, Nadia Cowan, Ouenza, Nasser Akebbab, Yassine Ahajjam, Tarik Boukhari, et bien d’autres.
La série, produite par «Image Factory», se compose de 30 épisodes tournés dans les anciens quartiers de Casablanca. Il raconte l’histoire de «Leïla», une jeune femme poussée par une crise financière sévère qui frappe sa riche famille à retourner au métier de sa grand-mère, la confection de caftans marocains. Son amour pour le caftan, qui lui rappelle un passé idyllique, s’épanouit et l’aide à découvrir son côté créatif, la poussant à réaliser ses ambitions. Cependant, ce rêve est semé d’embûches que «Leïla» doit surmonter. Les crises, obstacles et nouvelles conditions difficiles auxquelles «Leïla» fait face révéleront son caractère intrinsèque et sa force de volonté.
La famille aisée de Leïla, habituée à une vie de luxe, s’adaptera-t-elle à la nouvelle réalité ? Ses proches parviendront-ils à retrouver la joie et le bonheur ?
Les événements du feuilleton démontrent que l’intérêt des pays pour leur patrimoine culturel dépasse la simple nostalgie du passé, constituant un pilier fondamental de leur développement économique. «Personne ne doute que le patrimoine culturel est un élément central du développement économique, direct et indirect, des nations et communautés, intégrant harmonieusement le patrimoine matériel et immatériel», indique un communiqué de Image Factory.
Parmi les gains socio-économiques liés à l’héritage culturel, on note le développement social, créant des emplois pour les artisans et détenteurs de savoir-faire patrimonial. De nombreuses personnes se consacrent à des métiers traditionnels, et l’intérêt renouvelé pour le patrimoine a revitalisé leurs professions, amélioré leurs revenus et ravivé leurs compétences. Ces métiers sont désormais vus comme des garants de la continuité et de la conservation du patrimoine.
La série, produite par «Image Factory», est dirigée par Lamisse Khairat et met en vedette la talentueuse actrice marocaine Mahassine Merabet, connue pour ses rôles dans les drames turcs. Elle fera sa première apparition à la télévision marocaine dans le rôle de «Leïla». Le casting comprend également des acteurs renommés comme Sahar Seddiki, Salwa Zerhane, Rawia, Nada Haddioui, Rajaa Latifine, Rachida Manar, Nadia Cowan, Ouenza, Nasser Akebbab, Yassine Ahajjam, Tarik Boukhari, et bien d’autres.