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Le Matin : Vous avez déjà donné des concerts réussis au Maroc. Quel impact a eu votre retour et comment votre parcours artistique a-t-il évolué depuis votre dernière visite ?
Nai Barghouti : Lors de ma première visite en février dernier, j’ai vécu des moments incroyables avec le public et une ambiance exceptionnelle. L’accueil chaleureux et la participation active du public marocain ont rendu ces performances inoubliables. Depuis lors, j’ai eu la chance de me produire en Europe, en Tunisie la semaine dernière, et j’ai d’autres projets au Canada, en Europe et en Amérique à venir. Je suis très enthousiaste à l’idée de retrouver le public marocain pour partager à nouveau mes chansons plus anciennes ainsi que de nouvelles compositions.
Quels sont les thèmes que vous abordez à travers votre musique et comment se rapportent-ils à vos luttes personnelles ?
Ma musique explore de nombreux sentiments profonds, notamment l’amour pour la situation palestinienne et notre résilience collective. C’est un moyen pour moi de partager notre réalité avec le monde, en abordant également des thèmes comme l’amour, la douleur et la folie. La musique est pour moi une façon de refléter nos vies, les moments difficiles et les moments de bonheur. Je souhaite que mes chansons touchent le cœur de mon public et transmettent un message de compréhension et d’espoir.
Comment souhaitez-vous que votre musique reflète vos expériences personnelles ainsi que les expériences générales des habitants de Gaza, en tenant compte des événements actuels ?
Mes performances sont souvent intitulées «Performances de la douleur et de l’espoir». Je veux que ma musique soit un reflet authentique de la vie à Gaza et des luttes que nous traversons tous. Nous commençons souvent par des chansons qui expriment la douleur, mais nous terminons toujours sur une note d’espoir et de joie. C’est ma façon de partager notre histoire et de sensibiliser le public à ce qui se passe actuellement à Gaza. Nous aspirons tous à la justice et à la paix.
Pour conclure, pouvez-vous adresser un dernier message aux Marocains qui vous regardent aujourd’hui à travers la chaîne du journal du matin ?
Je souhaite transmettre mes plus sincères salutations au public marocain et exprimer ma profonde gratitude pour leur soutien. Je suis très heureuse de partager cette soirée magique avec vous et j’espère que ma musique pourra toucher vos cœurs et inspirer un dialogue sur les questions qui nous tiennent à cœur.
Entretien réalisé par Atar Aregabi, journaliste stagiaire
Nai Barghouti : Lors de ma première visite en février dernier, j’ai vécu des moments incroyables avec le public et une ambiance exceptionnelle. L’accueil chaleureux et la participation active du public marocain ont rendu ces performances inoubliables. Depuis lors, j’ai eu la chance de me produire en Europe, en Tunisie la semaine dernière, et j’ai d’autres projets au Canada, en Europe et en Amérique à venir. Je suis très enthousiaste à l’idée de retrouver le public marocain pour partager à nouveau mes chansons plus anciennes ainsi que de nouvelles compositions.
Quels sont les thèmes que vous abordez à travers votre musique et comment se rapportent-ils à vos luttes personnelles ?
Ma musique explore de nombreux sentiments profonds, notamment l’amour pour la situation palestinienne et notre résilience collective. C’est un moyen pour moi de partager notre réalité avec le monde, en abordant également des thèmes comme l’amour, la douleur et la folie. La musique est pour moi une façon de refléter nos vies, les moments difficiles et les moments de bonheur. Je souhaite que mes chansons touchent le cœur de mon public et transmettent un message de compréhension et d’espoir.
Comment souhaitez-vous que votre musique reflète vos expériences personnelles ainsi que les expériences générales des habitants de Gaza, en tenant compte des événements actuels ?
Mes performances sont souvent intitulées «Performances de la douleur et de l’espoir». Je veux que ma musique soit un reflet authentique de la vie à Gaza et des luttes que nous traversons tous. Nous commençons souvent par des chansons qui expriment la douleur, mais nous terminons toujours sur une note d’espoir et de joie. C’est ma façon de partager notre histoire et de sensibiliser le public à ce qui se passe actuellement à Gaza. Nous aspirons tous à la justice et à la paix.
Pour conclure, pouvez-vous adresser un dernier message aux Marocains qui vous regardent aujourd’hui à travers la chaîne du journal du matin ?
Je souhaite transmettre mes plus sincères salutations au public marocain et exprimer ma profonde gratitude pour leur soutien. Je suis très heureuse de partager cette soirée magique avec vous et j’espère que ma musique pourra toucher vos cœurs et inspirer un dialogue sur les questions qui nous tiennent à cœur.
Entretien réalisé par Atar Aregabi, journaliste stagiaire
