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Le film retrace l’histoire d’un homme qui n’a pas réussi à accepter la mort de son épouse et choisit de s’isoler jusqu’à ce qu’il trouve la lumière en lui. Vingt ans plus tard, Jalal Eddine devient un maître soufi vivant entouré de ses disciples, dans un parcours spirituel et méditatif qui le conduit à une réconciliation avec son âme et avec le monde environnant.
Inspirée de l’expérience mystique de Jalal Eddine Rumi, cette œuvre dramatique, portée par l’artiste Yassin Ahjam dans le rôle principal, soulève des interrogations existentielles liées à la foi, à l’identité et à la quête soufie dans un contexte marocain contemporain.
M. Benjelloun affirme que la réalisation de ce film à caractère spirituel et soufi s’inscrit dans la continuité de son parcours cinématographique, marqué par la diversité des thèmes et des approches. Selon lui, il s’agit d’une invitation à la méditation et à l’écoute intérieure à travers une histoire humaine simple et universelle.
S’agissant du Festival Ciné Plage, le réalisateur a souligné que cet événement cinématographique d’envergure connaît une évolution d’une édition à l’autre et se distingue par son ambiance familiale et conviviale sur la plage de l’océan Atlantique, où un large public se réunit dans un espace ouvert.
Organisée par l’Association marocaine des arts sans frontières, en partenariat avec la commune de Harhoura et le ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, et avec le concours du Centre cinématographique marocain, la 6ᵉ édition du Festival Ciné Plage Harhoura se poursuit jusqu’au 30 août courant.
Le programme prévoit la projection de six films marocains en lice pour les prix «Sirènes de Harhoura», dans le cadre d’une sélection officielle placée sous la supervision du réalisateur et producteur Mohamed Abderrahman Tazi, président du jury.
Le festival propose également des activités parallèles, notamment des ateliers artistiques, des master classes et des rencontres avec des professionnels du secteur, consolidant ainsi son identité en tant qu’espace interactif rapprochant le cinéma de son public dans un cadre balnéaire unique.
Inspirée de l’expérience mystique de Jalal Eddine Rumi, cette œuvre dramatique, portée par l’artiste Yassin Ahjam dans le rôle principal, soulève des interrogations existentielles liées à la foi, à l’identité et à la quête soufie dans un contexte marocain contemporain.
M. Benjelloun affirme que la réalisation de ce film à caractère spirituel et soufi s’inscrit dans la continuité de son parcours cinématographique, marqué par la diversité des thèmes et des approches. Selon lui, il s’agit d’une invitation à la méditation et à l’écoute intérieure à travers une histoire humaine simple et universelle.
S’agissant du Festival Ciné Plage, le réalisateur a souligné que cet événement cinématographique d’envergure connaît une évolution d’une édition à l’autre et se distingue par son ambiance familiale et conviviale sur la plage de l’océan Atlantique, où un large public se réunit dans un espace ouvert.
Organisée par l’Association marocaine des arts sans frontières, en partenariat avec la commune de Harhoura et le ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, et avec le concours du Centre cinématographique marocain, la 6ᵉ édition du Festival Ciné Plage Harhoura se poursuit jusqu’au 30 août courant.
Le programme prévoit la projection de six films marocains en lice pour les prix «Sirènes de Harhoura», dans le cadre d’une sélection officielle placée sous la supervision du réalisateur et producteur Mohamed Abderrahman Tazi, président du jury.
Le festival propose également des activités parallèles, notamment des ateliers artistiques, des master classes et des rencontres avec des professionnels du secteur, consolidant ainsi son identité en tant qu’espace interactif rapprochant le cinéma de son public dans un cadre balnéaire unique.
