Le Festival international de cinéma d’animation (FICAM-2024) a captivé le public dès son ouverture, offrant un éventail d’activités aussi diversifiées que passionnantes.
Entre projections envoûtantes, ateliers inspirants et initiatives de médiation culturelle, le Festival séduit un public de tout âge et de tout horizon.
Une exploration cinématographique fascinante
Parmi les moments forts de cette édition, la brillante performance de l’artiste polyvalent et cinéaste d’animation Theodore Ushev, nous entraînant dans une exploration cinématographique fascinante. Entre Making of, Work in Progress et Thés à la menthe, il a partagé avec maîtrise ses secrets pour réinventer les techniques animées, offrant une expérience cinématographique inoubliable.
Le Festival a également mis en lumière le cinéma d’animation italien en collaboration avec l’Institut culturel italien du Maroc. Des artistes renommés tels que le storyboarder Christian De Vita et le réalisateur de films d’animation Alessandro Rak ont enchanté les visiteurs, offrant un aperçu de la richesse créative de la scène italienne.
Les compétitions internationales, avec des films venant des quatre coins du globe, promettent également des moments de suspense et de découverte.
La «Long Compèt’» propose cette année 6 films de pays différents alors que la «Court Compèt’» a reçu cette année encore plus de 250 courts métrages de réalisateurs du monde entier. Les gagnants de ces deux compétitions seront annoncés lors de la cérémonie de clôture du Festival.
Le Festival a également mis en lumière le cinéma d’animation italien en collaboration avec l’Institut culturel italien du Maroc. Des artistes renommés tels que le storyboarder Christian De Vita et le réalisateur de films d’animation Alessandro Rak ont enchanté les visiteurs, offrant un aperçu de la richesse créative de la scène italienne.
Les compétitions internationales, avec des films venant des quatre coins du globe, promettent également des moments de suspense et de découverte.
La «Long Compèt’» propose cette année 6 films de pays différents alors que la «Court Compèt’» a reçu cette année encore plus de 250 courts métrages de réalisateurs du monde entier. Les gagnants de ces deux compétitions seront annoncés lors de la cérémonie de clôture du Festival.
Des moments conviviaux
Le point d’orgue familial du Festival, le Pique-Nique FICAM, a une fois de plus été un succès retentissant, proposant des films en 3D pour le plus grand plaisir de tous. Cette année, le Pique-Nique FICAM a proposé «Migration» et «Kung Fu Panda», deux films en 3D.
Cette année marque également une première historique, avec le festival investissant l’espace magnifique de Dar Lakbira grâce à un partenariat avec la Commune du Mechouar Stinia, renforçant ainsi sa présence au cœur de la médina de Meknès.Ce partenariat englobe plusieurs aspects, dont une programmation cinématographique familiale comprenant des projections en soirée et la participation exceptionnelle du réalisateur français Michel Ocelot. Celui-ci a offert une expérience inoubliable dimanche soir, sous le ciel étoilé de Meknès, en présentant la version Darija des «Contes de la nuit», suscitant un vif enthousiasme parmi le jeune public de la médina. Lors de la soirée de clôture, il présentera également «Ivan Tsarévitch et la princesse changeante».
En parallèle, deux ateliers d’initiation et de découverte des techniques du film d’animation ont été animés par Aziz Oumoussa et Anass Dou, artistes marocains qui ont bénéficié, par le passé, du volet Formation du FICAM. Ces ateliers étaient destinés aux enfants du quartier.
En s’appuyant sur l’expertise de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’action culturelle (Isadac), le FICAM a également établi des liens précieux avec la jeunesse locale, assurant ainsi une connexion authentique avec la communauté.
Les derniers jours du Festival promettent encore des moments de magie, avec une programmation scolaire palpitante, des activités de médiation culturelle et des compétitions palpitantes. Le Festival international de cinéma d’animation de Meknès continue de briller dans le paysage culturel mondial, offrant une célébration inoubliable de l’art animé sous toutes ses formes.
Cette année marque également une première historique, avec le festival investissant l’espace magnifique de Dar Lakbira grâce à un partenariat avec la Commune du Mechouar Stinia, renforçant ainsi sa présence au cœur de la médina de Meknès.Ce partenariat englobe plusieurs aspects, dont une programmation cinématographique familiale comprenant des projections en soirée et la participation exceptionnelle du réalisateur français Michel Ocelot. Celui-ci a offert une expérience inoubliable dimanche soir, sous le ciel étoilé de Meknès, en présentant la version Darija des «Contes de la nuit», suscitant un vif enthousiasme parmi le jeune public de la médina. Lors de la soirée de clôture, il présentera également «Ivan Tsarévitch et la princesse changeante».
En parallèle, deux ateliers d’initiation et de découverte des techniques du film d’animation ont été animés par Aziz Oumoussa et Anass Dou, artistes marocains qui ont bénéficié, par le passé, du volet Formation du FICAM. Ces ateliers étaient destinés aux enfants du quartier.
En s’appuyant sur l’expertise de l’Institut supérieur d’art dramatique et d’action culturelle (Isadac), le FICAM a également établi des liens précieux avec la jeunesse locale, assurant ainsi une connexion authentique avec la communauté.
Les derniers jours du Festival promettent encore des moments de magie, avec une programmation scolaire palpitante, des activités de médiation culturelle et des compétitions palpitantes. Le Festival international de cinéma d’animation de Meknès continue de briller dans le paysage culturel mondial, offrant une célébration inoubliable de l’art animé sous toutes ses formes.