Au cœur du succès : une organisation fluide, une sécurité bien assurée et une logistique sans faille, qui ont permis aux Casablancais et aux visiteurs de profiter pleinement de chaque moment. Jusqu’à 2 h du matin, on pouvait voir les festivaliers flâner paisiblement dans le centre-ville, dans une atmosphère conviviale et rassurante. Casablanca respirait la vie, la musique, la fête, et cela en toute tranquillité. Pour une ville souvent critiquée pour sa froideur nocturne, le festival a été un véritable souffle de fraîcheur culturelle et sociale.
Clap de fin magistral : le dimanche 29 juin, les icônes du R’n’B En Vogue ont offert un concert nostalgique et puissant, suivi d’un final en feu d’artifice musical avec les sets explosifs de DJ Abdel et Big Ali, à La Casablancaise, transformée en dancefloor géant.
Les festivaliers ont également pu profiter d’un cinéma en plein cœur du festival, grâce à un partenariat avec Cinerji Cinemas, et d’un dimanche sportif organisé avec Passage Fitness, offrant des activités bien-être et forme au grand air. Une programmation pluridisciplinaire pensée pour tous les publics, du mélomane au flâneur, du gastronome au sportif du dimanche.
Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour juin 2026, avec la promesse d’une édition encore plus ambitieuse. En attendant, Casablanca se souviendra de ces dix jours où, la nuit tombée, elle était plus vivante que jamais.
Une programmation de haut vol
Dès ses premiers jours, le CMW a affiché ses ambitions avec un line-up international impressionnant : Jason Derulo, Mary J. Blige, Shaggy, Gims, Wyclef Jean, Mo Ali, DJ Abdel, Big Ali ou encore Djibril Cissé. À leurs côtés, les artistes marocains ont brillé : Hoba Hoba Spirit a électrisé le public avec son rock gnawa, tandis que Fehd Benchemsi a touché par son énergie engagée. Le crooner Hussain Al Jassmi a ému les spectateurs par la profondeur de son interprétation, et Rahma Riad a confirmé son statut de révélation arabe.Clap de fin magistral : le dimanche 29 juin, les icônes du R’n’B En Vogue ont offert un concert nostalgique et puissant, suivi d’un final en feu d’artifice musical avec les sets explosifs de DJ Abdel et Big Ali, à La Casablancaise, transformée en dancefloor géant.
Un festival au-delà de la musique
Le CMW n’était pas qu’une série de concerts : c’était une expérience culturelle globale. Le village du festival, véritable cœur battant de l’événement, proposait chaque soir une offre food variée, avec une vingtaine de stands gastronomiques ouverts jusqu’à 2 h du matin. Un espace idéal pour se retrouver, échanger, reprendre son souffle entre deux concerts.Les festivaliers ont également pu profiter d’un cinéma en plein cœur du festival, grâce à un partenariat avec Cinerji Cinemas, et d’un dimanche sportif organisé avec Passage Fitness, offrant des activités bien-être et forme au grand air. Une programmation pluridisciplinaire pensée pour tous les publics, du mélomane au flâneur, du gastronome au sportif du dimanche.
Une première édition qui en appelle d’autres
Avec cette organisation impeccable, une ambiance bienveillante et un public conquis, le pari de NRJ Maroc est réussi. «Nous sommes particulièrement fiers de cette première édition», a confié Hakim Chagraoui, PDG de NRJ Maroc et fondateur du festival. «Le CMW a su créer une alchimie unique entre artistes internationaux et talents locaux, entre tradition et modernité».Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour juin 2026, avec la promesse d’une édition encore plus ambitieuse. En attendant, Casablanca se souviendra de ces dix jours où, la nuit tombée, elle était plus vivante que jamais.