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Le film «Moi capitaine» raconte l’histoire de Seydou et Moussa, deux jeunes Sénégalais de 16 ans, qui décident de quitter leur terre natale pour rejoindre l’Europe. Mais sur leur chemin, les rêves et les espoirs d’une vie meilleure sont très vite anéantis par les dangers de ce périple.
Le jury du Festival, organisé du 28 au 31 août dernier, a décerné le Prix de la meilleure interprétation féminine à l’actrice Khady Mane pour son rôle dans «Banel et Adama» de la réalisatrice sénégalaise Ramata-Toulaye Sy, alors que le Prix de la meilleure interprétation masculine a été remis ex æquo à l’acteur Adil Abatourab pour son rôle dans le film marocain «Le verre de l’amitié» et Seydou Sarr dans «Moi capitaine».
Le long métrage «Sayfoun fi Bejaâd» (Un été à Bejaâd) du réalisateur marocain Omar Moul Douira a raflé, quant à lui, le Prix du jury, tandis que le Prix du meilleur scénario est revenu à Abdelilah Hamdouchi pour «Les divorcées de Casablanca» de Mohammed Ahed Bensouda, qui a décroché, lui, le Prix de la meilleure réalisation.
Le jeune artiste Yasser Kazzouz a, de son côté, reçu, un hommage spécial pour sa belle performance dans le film «Un été à Bejaâd».Dans la catégorie des courts métrages, le «Prix de l’Orange» est allé à «Mémoire de l’oubli» de son réalisateur El Houari Ghoubari (Maroc), tandis que «Diyanat Al-maâ» de Haitham Sulaiman (Oman) a obtenu le Prix du meilleur scénario, et «Silence» de Mazinka Parice (Sénégal) a reçu le Prix de la meilleure réalisation.
Le jury de cette édition a été présidé par le réalisateur et producteur marocain Saâd Chraïbi, et composé du réalisateur égyptien Saad Hendawi, du journaliste-animateur Ali Hassan et de l’écrivaine marocaine Latifa Baka.
Initié par l’Association Al Amal pour la cohabitation et le développement, le Festival «Cinéma sans frontières de Saïdia» a connu la participation de 17 films en compétition officielle (6 longs métrages et 11 courts métrages) représentant le Maroc et d’autres pays arabes, africains et européens.
Lors de cette édition, le Festival a rendu un vibrant hommage au réalisateur Saâd Chraïbi, à l’actrice Saâdia Azgoun et à l’écrivain et scénariste Abdelilah Hamdouchi.
Cet événement dédié au septième art est organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, du Centre cinématographique marocain (CCM), de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger, de la préfecture de la province de Berkane, ainsi que d’autres partenaires.
Il a pour objectifs de promouvoir les valeurs de tolérance, de cohabitation et d’ouverture sur l’autre, de mettre en avant la créativité marocaine, de contribuer au rayonnement de la culture et de l’art dans la ville de Saïdia et de conforter son attractivité touristique.
Le jury du Festival, organisé du 28 au 31 août dernier, a décerné le Prix de la meilleure interprétation féminine à l’actrice Khady Mane pour son rôle dans «Banel et Adama» de la réalisatrice sénégalaise Ramata-Toulaye Sy, alors que le Prix de la meilleure interprétation masculine a été remis ex æquo à l’acteur Adil Abatourab pour son rôle dans le film marocain «Le verre de l’amitié» et Seydou Sarr dans «Moi capitaine».
Le long métrage «Sayfoun fi Bejaâd» (Un été à Bejaâd) du réalisateur marocain Omar Moul Douira a raflé, quant à lui, le Prix du jury, tandis que le Prix du meilleur scénario est revenu à Abdelilah Hamdouchi pour «Les divorcées de Casablanca» de Mohammed Ahed Bensouda, qui a décroché, lui, le Prix de la meilleure réalisation.
Le jeune artiste Yasser Kazzouz a, de son côté, reçu, un hommage spécial pour sa belle performance dans le film «Un été à Bejaâd».Dans la catégorie des courts métrages, le «Prix de l’Orange» est allé à «Mémoire de l’oubli» de son réalisateur El Houari Ghoubari (Maroc), tandis que «Diyanat Al-maâ» de Haitham Sulaiman (Oman) a obtenu le Prix du meilleur scénario, et «Silence» de Mazinka Parice (Sénégal) a reçu le Prix de la meilleure réalisation.
Le jury de cette édition a été présidé par le réalisateur et producteur marocain Saâd Chraïbi, et composé du réalisateur égyptien Saad Hendawi, du journaliste-animateur Ali Hassan et de l’écrivaine marocaine Latifa Baka.
Initié par l’Association Al Amal pour la cohabitation et le développement, le Festival «Cinéma sans frontières de Saïdia» a connu la participation de 17 films en compétition officielle (6 longs métrages et 11 courts métrages) représentant le Maroc et d’autres pays arabes, africains et européens.
Lors de cette édition, le Festival a rendu un vibrant hommage au réalisateur Saâd Chraïbi, à l’actrice Saâdia Azgoun et à l’écrivain et scénariste Abdelilah Hamdouchi.
Cet événement dédié au septième art est organisé avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, du Centre cinématographique marocain (CCM), de la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger, de la préfecture de la province de Berkane, ainsi que d’autres partenaires.
Il a pour objectifs de promouvoir les valeurs de tolérance, de cohabitation et d’ouverture sur l’autre, de mettre en avant la créativité marocaine, de contribuer au rayonnement de la culture et de l’art dans la ville de Saïdia et de conforter son attractivité touristique.
