Sur les scènes du Festival Gnaoua et Musiques du monde, 350 artistes issus d’une douzaine de pays – du Sénégal à Cuba, en passant par la France et l’Irak – ont offert des fusions inédites, entre spiritualité, groove et innovation. De la parade d’ouverture aux concerts de Cimafunk, CKay ou Dhafer Youssef, la programmation a tenu ses promesses avec des moments forts, à la croisée des cultures et des générations.
Le Festival s’est aussi illustré par ses espaces de réflexion. Le Forum des droits humains, sur le thème des mobilités culturelles, a réuni penseurs, artistes et chercheurs autour de la migration comme vecteur de création.
Parmi les moments forts : les interventions de Véronique Tadjo, poétesse franco-ivoirienne, de Pascal Blanchard, historien spécialiste de la colonisation, du cinéaste Faouzi Bensaïdi, de l’écrivain Elgas, ou encore du réalisateur palestinien Elia Suleiman, dont le témoignage très personnel et sincère a marqué les esprits.
Les participants ont notamment relevé l’impérieuse nécessité pour l’Homme de bouger et de migrer, malgré les barrières et les restrictions. Une mobilité aux motivations diverses, en tête desquelles figure la recherche d’une vie digne.
Une mobilité souvent vécue dans la douleur et la souffrance, mais presque toujours accompagnée de dynamiques culturelles puissantes, hybrides, et porteuses de messages politiques et identitaires forts. Dans le contexte migratoire, la production culturelle est un acte de résistance, d’intégration et d’affirmation de soi.
Dans le cadre de la Chaire Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) des Croisements culturels et Globalisation, deux tables rondes inédites ont offert un moment rare et précieux : celui d’un dialogue direct entre chercheurs, penseurs et Mâalems gnaoua. Dans un échange profond, sans filtre, les savoirs universitaires ont rencontré les savoirs du corps, de la transe, de la transmission orale. C'était une conversation à hauteur d’homme, nourrie par l’écoute, la curiosité mutuelle et le respect des héritages. Un temps suspendu, où les mots savants se sont mêlés aux mots du vécu pour interroger ensemble la place du patrimoine vivant dans le monde d’aujourd’hui – non comme une archive, mais comme une force en mouvement, ancrée dans le présent et tournée vers l’avenir.
Essaouira s’est transformée en scène à ciel ouvert, du Borj Bab Marrakech à Bayt Dakira, en passant par les ruelles de la médina. Le programme «Berklee at Gnaoua» a réuni 74 jeunes musiciens de 23 nationalités pour une résidence unique, affirmant la place du festival dans la transmission et la formation.
Avec une couverture médiatique internationale assurée par plus de 250 journalistes, cette édition confirme le rayonnement d’un événement devenu essentiel. Rendez-vous est donné du 25 au 27 juin 2026 pour une 27ᵉ édition fidèle à l’esprit du Festival : Faire de la musique un langage universel.
Le Festival s’est aussi illustré par ses espaces de réflexion. Le Forum des droits humains, sur le thème des mobilités culturelles, a réuni penseurs, artistes et chercheurs autour de la migration comme vecteur de création.
Parmi les moments forts : les interventions de Véronique Tadjo, poétesse franco-ivoirienne, de Pascal Blanchard, historien spécialiste de la colonisation, du cinéaste Faouzi Bensaïdi, de l’écrivain Elgas, ou encore du réalisateur palestinien Elia Suleiman, dont le témoignage très personnel et sincère a marqué les esprits.
Les participants ont notamment relevé l’impérieuse nécessité pour l’Homme de bouger et de migrer, malgré les barrières et les restrictions. Une mobilité aux motivations diverses, en tête desquelles figure la recherche d’une vie digne.
Une mobilité souvent vécue dans la douleur et la souffrance, mais presque toujours accompagnée de dynamiques culturelles puissantes, hybrides, et porteuses de messages politiques et identitaires forts. Dans le contexte migratoire, la production culturelle est un acte de résistance, d’intégration et d’affirmation de soi.
Dans le cadre de la Chaire Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) des Croisements culturels et Globalisation, deux tables rondes inédites ont offert un moment rare et précieux : celui d’un dialogue direct entre chercheurs, penseurs et Mâalems gnaoua. Dans un échange profond, sans filtre, les savoirs universitaires ont rencontré les savoirs du corps, de la transe, de la transmission orale. C'était une conversation à hauteur d’homme, nourrie par l’écoute, la curiosité mutuelle et le respect des héritages. Un temps suspendu, où les mots savants se sont mêlés aux mots du vécu pour interroger ensemble la place du patrimoine vivant dans le monde d’aujourd’hui – non comme une archive, mais comme une force en mouvement, ancrée dans le présent et tournée vers l’avenir.
Essaouira s’est transformée en scène à ciel ouvert, du Borj Bab Marrakech à Bayt Dakira, en passant par les ruelles de la médina. Le programme «Berklee at Gnaoua» a réuni 74 jeunes musiciens de 23 nationalités pour une résidence unique, affirmant la place du festival dans la transmission et la formation.
Avec une couverture médiatique internationale assurée par plus de 250 journalistes, cette édition confirme le rayonnement d’un événement devenu essentiel. Rendez-vous est donné du 25 au 27 juin 2026 pour une 27ᵉ édition fidèle à l’esprit du Festival : Faire de la musique un langage universel.