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Les peintures exposées font une place particulière à la femme et embrassent le thème du mouvement et de l’émotion à travers des activités particulièrement chargées de sensations intenses telles que la musique, la danse, le sport, les actes festifs... Lesquelles sensations incitent à les vivre intensément, voire créent chez le peintre l‘envie de se les approprier par la magie de la peinture.
Selon l’artiste, Abderrahim Labyad, le choix du moment de l’exposition n’est pas fortuit. «Les activités culturelles sont hautement souhaitables en ce moment ou notre région connaît des horreurs insoutenables.»
Labyad précise que cette exposition est le fruit d’une longue pratique artistique favorisée par un lieu de naissance stimulant et une passion précoce pour le dessin. «Je suis en effet né en 1951 à Salé, ville au passé mythique et au riche héritage culturel. Mon rapport à l’art, en particulier au dessin, naquit dès la prime enfance.»
C’est à partir des années 1990 que l’artiste a fini par réaliser un vœu ancien, passer du dessin à la peinture. «Je me suis ainsi confronté aux exigences de la peinture : acquérir les techniques, développer l’observation minutieuse de l’objet d’une peinture, faire émerger la couleur recherchée à travers le mélange, maîtriser le geste et la touche, appréhender la tonalité, l’ombre et la lumière, donner corps à l’impression, s’armer de patience et résister au sentiment d’échec face à la difficulté.
La pratique du dessin est toutefois restée très présente dans mes travaux, ayant toujours cherché à en asservir les techniques aux nécessités de l’art pictural.»
Abderrahim Labyad travaille sur d’autres thèmes pour des expositions en 2025, tout en collaborant à d’autres projets dans le cadre d’un collectif de six peintres.Le vernissage de l’exposition «Gestuelle, mouvement et émotion» aura lieu à la Galerie de la FOL (Fédération des œuvres laïques) le lundi 14 octobre à 19 h. L’exposition durera jusqu’au samedi 20 octobre. Elle sera ensuite accueillie par l’École supérieur des beaux-arts de Casablanca entre le 22 octobre et le 2 novembre.
Selon l’artiste, Abderrahim Labyad, le choix du moment de l’exposition n’est pas fortuit. «Les activités culturelles sont hautement souhaitables en ce moment ou notre région connaît des horreurs insoutenables.»
Labyad précise que cette exposition est le fruit d’une longue pratique artistique favorisée par un lieu de naissance stimulant et une passion précoce pour le dessin. «Je suis en effet né en 1951 à Salé, ville au passé mythique et au riche héritage culturel. Mon rapport à l’art, en particulier au dessin, naquit dès la prime enfance.»
C’est à partir des années 1990 que l’artiste a fini par réaliser un vœu ancien, passer du dessin à la peinture. «Je me suis ainsi confronté aux exigences de la peinture : acquérir les techniques, développer l’observation minutieuse de l’objet d’une peinture, faire émerger la couleur recherchée à travers le mélange, maîtriser le geste et la touche, appréhender la tonalité, l’ombre et la lumière, donner corps à l’impression, s’armer de patience et résister au sentiment d’échec face à la difficulté.
La pratique du dessin est toutefois restée très présente dans mes travaux, ayant toujours cherché à en asservir les techniques aux nécessités de l’art pictural.»
Abderrahim Labyad travaille sur d’autres thèmes pour des expositions en 2025, tout en collaborant à d’autres projets dans le cadre d’un collectif de six peintres.Le vernissage de l’exposition «Gestuelle, mouvement et émotion» aura lieu à la Galerie de la FOL (Fédération des œuvres laïques) le lundi 14 octobre à 19 h. L’exposition durera jusqu’au samedi 20 octobre. Elle sera ensuite accueillie par l’École supérieur des beaux-arts de Casablanca entre le 22 octobre et le 2 novembre.
