Le chercheur marocain a été choisi pour sa traduction, de l'arabe vers le français, du livre "Nakt al-Mahsoul fi'Ilm al-Usul" ("Langage et théologie chez Abu bakr Ibn al- Arabi").
Le lauréat du Prix Ibn Khaldoun-Senghor de traduction en littérature et sciences humaines et sociales, initié par l’Organisation arabe pour l'éducation, la culture et les sciences (ALECSO) en collaboration avec l’Organisation internationale de la Francophonie, sera annoncé le 3 décembre prochain lors d’une cérémonie à l’Institut du Monde Arabe à Paris.
L’ALECSO a annoncé sur son site web que les délibérations tenues par le jury par visioconférence le 5 novembre ont permis de sélectionner quatre finalistes pour la 17ᵉ édition du prix.
Outre Ilyass Amharar (université d'Aix-Marseille), la liste des nominés comprend Sarah Rolfo pour sa traduction française du roman "Khubz ala tawilat al-khal Milad" du Libyen Mohamed Alnaas.
On y retrouve aussi Souad Labbize pour sa traduction française du roman de la Tunisienne Amira Ghenim, "Nazilat dar al-akabir", ainsi que Marie Touk pour sa traduction arabe du livre "La guerre insaisissable" de Jean-Marc Moura.
Selon la même source, le jury évaluera les œuvres nominées sur la base des critères de compatibilité avec les objectifs du prix et de conciliation entre l'universalité et la diversité culturelle, que ce soit en littérature ou en sciences humaines. Il fondera aussi son évaluation sur la fidélité de la traduction au texte original et sur la qualité de la traduction en termes de fluidité et de style.
La traduction française du livre "Nakt al-Mahsoul fi 'Ilm al-Usul" s'inscrit dans le cadre d'une thèse de doctorat présentée par le chercheur Ilyass Amharar, comprenant la traduction et l'analyse de l'œuvre d'Abu Bakr Ibn Al-Arabi, un jurisconsulte andalou malékite né à Séville en 1076 et mort à Fès en 1148.
Le lauréat du Prix Ibn Khaldoun-Senghor de traduction en littérature et sciences humaines et sociales, initié par l’Organisation arabe pour l'éducation, la culture et les sciences (ALECSO) en collaboration avec l’Organisation internationale de la Francophonie, sera annoncé le 3 décembre prochain lors d’une cérémonie à l’Institut du Monde Arabe à Paris.
L’ALECSO a annoncé sur son site web que les délibérations tenues par le jury par visioconférence le 5 novembre ont permis de sélectionner quatre finalistes pour la 17ᵉ édition du prix.
Outre Ilyass Amharar (université d'Aix-Marseille), la liste des nominés comprend Sarah Rolfo pour sa traduction française du roman "Khubz ala tawilat al-khal Milad" du Libyen Mohamed Alnaas.
On y retrouve aussi Souad Labbize pour sa traduction française du roman de la Tunisienne Amira Ghenim, "Nazilat dar al-akabir", ainsi que Marie Touk pour sa traduction arabe du livre "La guerre insaisissable" de Jean-Marc Moura.
Selon la même source, le jury évaluera les œuvres nominées sur la base des critères de compatibilité avec les objectifs du prix et de conciliation entre l'universalité et la diversité culturelle, que ce soit en littérature ou en sciences humaines. Il fondera aussi son évaluation sur la fidélité de la traduction au texte original et sur la qualité de la traduction en termes de fluidité et de style.
La traduction française du livre "Nakt al-Mahsoul fi 'Ilm al-Usul" s'inscrit dans le cadre d'une thèse de doctorat présentée par le chercheur Ilyass Amharar, comprenant la traduction et l'analyse de l'œuvre d'Abu Bakr Ibn Al-Arabi, un jurisconsulte andalou malékite né à Séville en 1076 et mort à Fès en 1148.