Connexion
Si le cinéma est, depuis toujours, une échappatoire exquise vers le rêve et l’utopie, il est également le miroir d’une société en mouvement. Dans la pénombre d’une salle de cinéma, combien de lumières ont été jetées sur les luttes, les espoirs et les fractures des peuples. C’est dans cette optique que l’Association des rencontres méditerranéennes du cinéma et des droits de l’Homme (ARMCDH) organise ses «Nuits blanches du cinéma et des droits de l’Homme». Cette édition place la citoyenneté active au cœur de sa réflexion, avec pour mission de souligner l’engagement conscient et responsable des individus dans la construction d’une société plus juste et inclusive.
L’événement est soutenu par de nombreux partenaires nationaux et internationaux, parmi lesquels ONU Femmes Maroc, l’Institut français et la Fondation Heinrich Böll, soulignant la reconnaissance du cinéma comme vecteur culturel et social.
Entre images et idées
En amont de la veillée cinématographique, un débat se tiendra à la Faculté des lettres de Rabat, réunissant des figures engagées du monde institutionnel et associatif telles que Driss El Yazami, Leila Rhiwi et Abderrazzak El Hannouchi. Autour de la sociologue Khadija Berady, ces personnalités importantes de la société civile feront du cinéma le plat de résistance pour nourrir la réflexion citoyenne, notamment à l’ère du numérique qui transforme les modes d’engagement et de communication.
Le débat portera sur plusieurs sujets fondateurs de l’histoire contemporaine du Maroc. Il reviendra sur le bilan des acquis et des limites de l’Instance Équité et Réconciliation (IER), ainsi que sur l’adoption de la Constitution de 2011, en gardant comme fil conducteur la place du cinéma comme outil de sensibilisation aux droits fondamentaux et gardien de la mémoire collective.
Une veillée engagée
La veillée cinématographique commencera au coucher du soleil sur l’esplanade de la Bibliothèque nationale du Royaume. Neuf films, documentaires et fictions venus de huit pays, donneront à voir des récits personnels et des combats universels autour des droits humains, de la justice sociale, de la mémoire et de la dignité.
Parmi les œuvres projetées figurent «Rabia Fattouh» (Maroc), «La Fabrique du citoyen» (France), «The Faces of Solidarity : UK Protesters for Palestine» (Grande-Bretagne), «Thank You for Banking with Us» (Palestine), «Le chant des bêtes» (France), «À contretemps» (Espagne), «La Hoyada» (Pérou), «We Never Left» (Liban) et «I’m Not Lakit» (Liban).
À travers cette programmation, le public sera confronté à des réalités multiples, tantôt familières, tantôt méconnues. À travers ces histoires de résistance face aux injustices, de revendications de droits et de luttes porteuses d’espoir, le cinéma devient un véritable outil pédagogique, capable de susciter l’empathie, d’éveiller les consciences et d’aiguiser la fibre citoyenne chez le grand public.
L’événement est soutenu par de nombreux partenaires nationaux et internationaux, parmi lesquels ONU Femmes Maroc, l’Institut français et la Fondation Heinrich Böll, soulignant la reconnaissance du cinéma comme vecteur culturel et social.
Entre images et idées
En amont de la veillée cinématographique, un débat se tiendra à la Faculté des lettres de Rabat, réunissant des figures engagées du monde institutionnel et associatif telles que Driss El Yazami, Leila Rhiwi et Abderrazzak El Hannouchi. Autour de la sociologue Khadija Berady, ces personnalités importantes de la société civile feront du cinéma le plat de résistance pour nourrir la réflexion citoyenne, notamment à l’ère du numérique qui transforme les modes d’engagement et de communication.
Le débat portera sur plusieurs sujets fondateurs de l’histoire contemporaine du Maroc. Il reviendra sur le bilan des acquis et des limites de l’Instance Équité et Réconciliation (IER), ainsi que sur l’adoption de la Constitution de 2011, en gardant comme fil conducteur la place du cinéma comme outil de sensibilisation aux droits fondamentaux et gardien de la mémoire collective.
Une veillée engagée
La veillée cinématographique commencera au coucher du soleil sur l’esplanade de la Bibliothèque nationale du Royaume. Neuf films, documentaires et fictions venus de huit pays, donneront à voir des récits personnels et des combats universels autour des droits humains, de la justice sociale, de la mémoire et de la dignité.
Parmi les œuvres projetées figurent «Rabia Fattouh» (Maroc), «La Fabrique du citoyen» (France), «The Faces of Solidarity : UK Protesters for Palestine» (Grande-Bretagne), «Thank You for Banking with Us» (Palestine), «Le chant des bêtes» (France), «À contretemps» (Espagne), «La Hoyada» (Pérou), «We Never Left» (Liban) et «I’m Not Lakit» (Liban).
À travers cette programmation, le public sera confronté à des réalités multiples, tantôt familières, tantôt méconnues. À travers ces histoires de résistance face aux injustices, de revendications de droits et de luttes porteuses d’espoir, le cinéma devient un véritable outil pédagogique, capable de susciter l’empathie, d’éveiller les consciences et d’aiguiser la fibre citoyenne chez le grand public.
