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Pari culturel audacieux et geste de mémoire historique, la Fondation Docteur Leila Mezian a officialisé, mardi 17 juin à Casablanca, la création d’un Espace Amazigh au sein de l’Alhambra de Grenade, en Espagne. Installé dans le bâtiment emblématique Carmen de los Porcel, ce musée présentera une collection exceptionnelle d’objets berbères réunis durant plus de cinquante ans par la défunte Docteure Leila Mezian Benjelloun.
Cette initiative d’envergure a été scellée par la signature d’une convention entre Dounia Benjelloun, vice-présidente de la Fondation, et Rodrigo Ruiz Jimenez Carrera, directeur général du Patronat de l’Alhambra et du Generalife. Elle s’inscrit dans la continuité d’une coopération culturelle maroco-espagnole, saluée par la présence de nombreuses personnalités des deux pays, dont André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et Enrique Ojeda Vila, ambassadeur d’Espagne au Maroc.
Prévu pour ouvrir au public en décembre 2025, l’Espace Amazigh occupera 250 m², dont 200 m² consacrés à l’exposition permanente. Il présentera une collection inédite d’objets amazighs, témoins d’une richesse patrimoniale multiséculaire. Plus qu’un musée, ce nouvel espace se veut un lieu vivant de transmission culturelle, en résonance avec les échanges historiques entre l’Andalousie médiévale et le monde berbère.
Ce projet trouve son inspiration dans l’exposition "La Granada Zirí del siglo XI y el universo Bereber", inaugurée en 2019 par la Reine Letizia d’Espagne au Palais de Carlos V — un événement auquel la docteure Leila Mezian avait déjà apporté son empreinte visionnaire.
En initiant ce projet, la Fondation entend perpétuer l’engagement humaniste et culturel de Leila Mezian Benjelloun, saluée en 2016 par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui lui avait remis le Wissam Alaouite pour son action en faveur de l’éducation et de la culture. Ce nouvel espace muséal, au cœur de l’un des sites les plus visités au monde, devient un symbole fort du dialogue interculturel et de la diversité méditerranéenne.
L’Espace Amazigh de l’Alhambra se positionne ainsi comme un pont entre les rives sud et nord de la Méditerranée, une invitation à mieux comprendre les racines communes et la richesse plurielle des civilisations. Il confirme également le rôle croissant de la société civile marocaine dans la diplomatie culturelle.
Cette initiative d’envergure a été scellée par la signature d’une convention entre Dounia Benjelloun, vice-présidente de la Fondation, et Rodrigo Ruiz Jimenez Carrera, directeur général du Patronat de l’Alhambra et du Generalife. Elle s’inscrit dans la continuité d’une coopération culturelle maroco-espagnole, saluée par la présence de nombreuses personnalités des deux pays, dont André Azoulay, Conseiller de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et Enrique Ojeda Vila, ambassadeur d’Espagne au Maroc.
Prévu pour ouvrir au public en décembre 2025, l’Espace Amazigh occupera 250 m², dont 200 m² consacrés à l’exposition permanente. Il présentera une collection inédite d’objets amazighs, témoins d’une richesse patrimoniale multiséculaire. Plus qu’un musée, ce nouvel espace se veut un lieu vivant de transmission culturelle, en résonance avec les échanges historiques entre l’Andalousie médiévale et le monde berbère.
Ce projet trouve son inspiration dans l’exposition "La Granada Zirí del siglo XI y el universo Bereber", inaugurée en 2019 par la Reine Letizia d’Espagne au Palais de Carlos V — un événement auquel la docteure Leila Mezian avait déjà apporté son empreinte visionnaire.
En initiant ce projet, la Fondation entend perpétuer l’engagement humaniste et culturel de Leila Mezian Benjelloun, saluée en 2016 par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui lui avait remis le Wissam Alaouite pour son action en faveur de l’éducation et de la culture. Ce nouvel espace muséal, au cœur de l’un des sites les plus visités au monde, devient un symbole fort du dialogue interculturel et de la diversité méditerranéenne.
L’Espace Amazigh de l’Alhambra se positionne ainsi comme un pont entre les rives sud et nord de la Méditerranée, une invitation à mieux comprendre les racines communes et la richesse plurielle des civilisations. Il confirme également le rôle croissant de la société civile marocaine dans la diplomatie culturelle.
