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Cela fait des années que la Fondation TGCC endosse fièrement son rôle de mécène et d’ambassadeur de l’art contemporain marocain. Parmi ses nombreuses activités et manifestations, le partenariat avec la foire d’art africain s’est établi naturellement dès les débuts de cette dernière, en 2018 déjà. Bronze sponsor de la 1-54 de Marrakech, La Fondation TGCC s’engage à la fois à promouvoir les talents locaux et à soutenir une manifestation continentale.
C’est une nouvelle étape que la fondation franchit cette année, en campant au cœur de l’emblématique hôtel La Mamounia, afin de montrer les œuvres de Khadija El Abyad, Mouad El Bissaoui, Malek Sordo, Yassine Sellame, Rida Tabit, Mehdi Aït El Mallali et Kamil Bouzoubaa-Grivel. Ces artistes, qui ont brillé au Prix Mustaqbal, vont avoir pour voisins les talents et les noms les plus illustres du jeune continent.
En outre, la Fondation apporte son soutien au projet «Nostalgies du présent» qui prendra place à l’Hôtel El Hamra, mettant en lumière les œuvres de certains finalistes du Prix : Mehdi Largo, Mehdi Aït El Mallali et Inès Abergel.
Si la Fondation TGCC a l’objectif de promouvoir de l’art contemporain marocain sur cette plateforme internationale, la dimension africaine est omniprésente, car «l’Histoire du Maroc ne peut être racontée sans évoquer ses racines sur le continent africain». Connecter les artistes émergents avec leurs pairs issus des pays africains et de la diaspora africaine est en mesure de renforcer les ponts entre les différentes cultures du continent et d’établir des projets Sud-Sud, d’importance capitale pour l’art africain.Un écosystème à construire
Mécène historique de l’art, la Fondation franchit un pas supplémentaire en 2017, en créant l’espace Artorium, aujourd’hui incontournable pour les amoureux de l’art. L’espace accueille des expositions, des conférences et même des rencontres littéraires, au sein de son club de lecture le «Kitab Club», afin de démocratiser l’accès à l’art et à la culture.
Fer de lance de cette mission, le Prix Mustaqbal s’impose comme révélateur de talents et «lanceur de carrières» crédible auprès de la communauté de l’art.
C’est là un exemple éloquent de l’engagement possible des entreprises en faveur de la jeunesse et de la promotion de l’art dans la société. À travers des initiatives similaires, les entreprises marocaines pourraient jouer un rôle clé dans le développement de l’écosystème culturel du pays. En investissant dans la création artistique, elles contribueraient non seulement à l’épanouissement des jeunes talents, mais aussi à renforcer l’identité culturelle marocaine sur les scènes nationales et internationales. Ce type d’engagement offre également une opportunité unique de bâtir des ponts entre le secteur privé et le milieu artistique, tout en démontrant que la responsabilité sociale des entreprises peut aller au-delà des domaines traditionnels, pour inclure la préservation et la valorisation du patrimoine culture.En attendant que d’autres structures s’engagent à construire un écosystème riche d’opportunités et favorable à l’émergence de talent, la Fondation s’implique un peu plus, chaque année, avec pour mantra «Tout est mieux ensemble», illustrant sa vision et son désir d’exporter l’art marocain et même africain.
Briller en Afrique
L’année dernière, les lauréats de son prestigieux Prix Mustaqbal ont eu la chance d’être présentés à l’espace DaDa, en plus d’une conférence en collaboration avec la Fondation Montresso, mettant en lumière l’initiative de soutien aux artistes émergents et attirant amateurs d’art, professionnels et grand public.C’est une nouvelle étape que la fondation franchit cette année, en campant au cœur de l’emblématique hôtel La Mamounia, afin de montrer les œuvres de Khadija El Abyad, Mouad El Bissaoui, Malek Sordo, Yassine Sellame, Rida Tabit, Mehdi Aït El Mallali et Kamil Bouzoubaa-Grivel. Ces artistes, qui ont brillé au Prix Mustaqbal, vont avoir pour voisins les talents et les noms les plus illustres du jeune continent.
En outre, la Fondation apporte son soutien au projet «Nostalgies du présent» qui prendra place à l’Hôtel El Hamra, mettant en lumière les œuvres de certains finalistes du Prix : Mehdi Largo, Mehdi Aït El Mallali et Inès Abergel.
Si la Fondation TGCC a l’objectif de promouvoir de l’art contemporain marocain sur cette plateforme internationale, la dimension africaine est omniprésente, car «l’Histoire du Maroc ne peut être racontée sans évoquer ses racines sur le continent africain». Connecter les artistes émergents avec leurs pairs issus des pays africains et de la diaspora africaine est en mesure de renforcer les ponts entre les différentes cultures du continent et d’établir des projets Sud-Sud, d’importance capitale pour l’art africain.Un écosystème à construire
Mécène historique de l’art, la Fondation franchit un pas supplémentaire en 2017, en créant l’espace Artorium, aujourd’hui incontournable pour les amoureux de l’art. L’espace accueille des expositions, des conférences et même des rencontres littéraires, au sein de son club de lecture le «Kitab Club», afin de démocratiser l’accès à l’art et à la culture.
Fer de lance de cette mission, le Prix Mustaqbal s’impose comme révélateur de talents et «lanceur de carrières» crédible auprès de la communauté de l’art.
C’est là un exemple éloquent de l’engagement possible des entreprises en faveur de la jeunesse et de la promotion de l’art dans la société. À travers des initiatives similaires, les entreprises marocaines pourraient jouer un rôle clé dans le développement de l’écosystème culturel du pays. En investissant dans la création artistique, elles contribueraient non seulement à l’épanouissement des jeunes talents, mais aussi à renforcer l’identité culturelle marocaine sur les scènes nationales et internationales. Ce type d’engagement offre également une opportunité unique de bâtir des ponts entre le secteur privé et le milieu artistique, tout en démontrant que la responsabilité sociale des entreprises peut aller au-delà des domaines traditionnels, pour inclure la préservation et la valorisation du patrimoine culture.En attendant que d’autres structures s’engagent à construire un écosystème riche d’opportunités et favorable à l’émergence de talent, la Fondation s’implique un peu plus, chaque année, avec pour mantra «Tout est mieux ensemble», illustrant sa vision et son désir d’exporter l’art marocain et même africain.
