Le film marocain «La mère de tous les mensonges» retrace le parcours intime de la réalisatrice Asmae El Moudir en quête de son identité et de la vérité sur son passé. Pour ce faire, elle crée un monde miniature avec l'aide de sa famille et de ses amis, ravivant ses souvenirs d’enfance à Casablanca. À travers des figurines en argile, Asmae cherche à déchiffrer les mystères du passé tout en explorant ses souvenirs et les secrets enfouis de sa famille.
Le Festival sera aussi marqué par la projection d'une sélection de films narratifs et de courts métrages explorant divers thèmes liés à la société, la culture et l’environnement, à l’instar du film indonésien «Avant, maintenant et après» de la réalisatrice Kamila Andini, qui raconte l'histoire de Nana, une femme des années 1960 qui s'efforce de surmonter un passé douloureux marqué par la perte de sa famille en raison de la guerre. Malgré son mariage avec un homme riche, la solitude ne la quitte pas, jusqu’au jour où sa rencontre avec l'une des maîtresses de son mari bouleverse sa vie.
La clôture du Festival sera marquée par la projection de deux films palestiniens, «Rêves d'exil» de sa réalisatrice Mai Masri, qui raconte l'histoire de deux jeunes filles palestiniennes vivant dans des camps de réfugiés, l'une à Beyrouth, l'autre à Bethléem, et qui parviennent à nouer une amitié solide en dépit des obstacles qui les séparent, grâce aux rencontres émouvantes aux frontières palestino-libanaises.
Le second film, «Raconte ton histoire, petit oiseau» de Arab Loutfi, narre l'histoire de sept résistantes palestiniennes de la génération des années 1970, qui relatent l'histoire de la Palestine.
En plus des projections cinématographiques, un atelier de deux semaines sur les fondamentaux de la réalisation du film créatif sera animé par la réalisatrice égypto-espagnole Amal Ramses et la directrice libanaise de photographie Jocelyn Abi Gabriel.
Les projections de la Caravane des femmes cinéastes ambitionnent de promouvoir le cinéma féminin indépendant au niveau de la région arabe et dans le monde et de renforcer le dialogue culturel et l'échange d'expériences entre les cinéastes femmes issues de cultures diverses, selon les organisateurs.
Le Festival sera aussi marqué par la projection d'une sélection de films narratifs et de courts métrages explorant divers thèmes liés à la société, la culture et l’environnement, à l’instar du film indonésien «Avant, maintenant et après» de la réalisatrice Kamila Andini, qui raconte l'histoire de Nana, une femme des années 1960 qui s'efforce de surmonter un passé douloureux marqué par la perte de sa famille en raison de la guerre. Malgré son mariage avec un homme riche, la solitude ne la quitte pas, jusqu’au jour où sa rencontre avec l'une des maîtresses de son mari bouleverse sa vie.
La clôture du Festival sera marquée par la projection de deux films palestiniens, «Rêves d'exil» de sa réalisatrice Mai Masri, qui raconte l'histoire de deux jeunes filles palestiniennes vivant dans des camps de réfugiés, l'une à Beyrouth, l'autre à Bethléem, et qui parviennent à nouer une amitié solide en dépit des obstacles qui les séparent, grâce aux rencontres émouvantes aux frontières palestino-libanaises.
Le second film, «Raconte ton histoire, petit oiseau» de Arab Loutfi, narre l'histoire de sept résistantes palestiniennes de la génération des années 1970, qui relatent l'histoire de la Palestine.
En plus des projections cinématographiques, un atelier de deux semaines sur les fondamentaux de la réalisation du film créatif sera animé par la réalisatrice égypto-espagnole Amal Ramses et la directrice libanaise de photographie Jocelyn Abi Gabriel.
Les projections de la Caravane des femmes cinéastes ambitionnent de promouvoir le cinéma féminin indépendant au niveau de la région arabe et dans le monde et de renforcer le dialogue culturel et l'échange d'expériences entre les cinéastes femmes issues de cultures diverses, selon les organisateurs.