Au fil des années, Essaouira a été le théâtre de rencontres mémorables entre les maîtres Gnaoua et des géants du jazz et des musiques du monde, tels que Pat Metheny, Joe Zawinul, Marcus Miller ou encore Oumou Sangaré, Salif Keita et Youssou N’Dour.
Cette année encore, le festival invite les spectateurs à vivre des fusions inédites et envoûtantes. Le concert d’ouverture sera confié au Maâlem Hamid El Kasri, la compagnie Bakalama, Abir El Abed et Kya Loum. Figure emblématique du répertoire gnaoui, Maâlem Hamid El Kasri s’associera à la puissance rythmique de la compagnie sénégalaise Bakalama, l’une des grandes références des danses et percussions traditionnelles d’Afrique de l’Ouest, accompagnée des voix singulières de Abir El Abed (Maroc) et Kya Loum (Sénégal). Ensemble, ils tisseront un pont musical vibrant entre les rives de l’Atlantique, mêlant les traditions de transe marocaine aux polyrythmies complexes des sabars sénégalais. Une ouverture sous le signe de l’Afrique vivante, de la ferveur spirituelle et de l’énergie partagée.
Maâlem Houssam Gania avec Marcus Gilmore viennent à leur tour s'ajouter aux premières têtes d'affiche. Héritier de la grande tradition gnaoua par son père l’inoubliable Mahmoud Gania, Maâlem Houssam Gania incarne la nouvelle génération d’une musique ancestrale en perpétuel mouvement. Face à lui, Marcus Gilmore, prodige américain et l’un des batteurs les plus inventifs du jazz contemporain, apportera la finesse rythmique et la modernité de ses compositions. Collaborateur de géants tels que Chick Corea, Esperanza Spalding ou encore Steve Coleman, Marcus Gilmore allie virtuosité technique, audace rythmique et ouverture stylistique. Leur rencontre promet une conversation libre et inspirée, entre les percussions profondes du guembri et la sophistication des métriques jazz.
Pour sa part, le Maâlem Mohamed Boumezzough explorera de nouveaux horizons en s’entourant de jeunes talents marocains et de musiciens internationaux de renom. À ses côtés, Aly Keïta, maître du balafon venu du Mali, Anas Chlih à la guitare, Tao Ehrlich à la batterie, Martin Guerpin au saxophone, Quentin Ghomari à la trompette et Hajar Alaoui au chant, composeront un orchestre hybride et audacieux. Ensemble, ils réinventeront les codes de la transe gnaoua, mêlant pulsations africaines, envolées jazz et grooves modernes, dans une création placée sous le signe de la fête, de la liberté musicale et de la rencontre.
Les festivaliers auront également rendez-vous avec le phénomène mondial de l'Afrobeats : Ckay. Originaire du Nigéria, CKay est l’auteur du tube planétaire "Love Nwantiti", qui totalise plus de 6 milliards de streams. Chanteur, compositeur et producteur, il incarne un nouveau souffle de la musique africaine, avec un style unique baptisé Afro-Emo, fusionnant rythmes africains, soul et paroles intimistes. Avec ses albums "Sad Romance" et "Emotions", CKay s’est imposé comme une voix incontournable de sa génération, nommé aux BRIT Awards, aux BET Awards, et double lauréat des BMI Awards.
Cette année encore, le festival invite les spectateurs à vivre des fusions inédites et envoûtantes. Le concert d’ouverture sera confié au Maâlem Hamid El Kasri, la compagnie Bakalama, Abir El Abed et Kya Loum. Figure emblématique du répertoire gnaoui, Maâlem Hamid El Kasri s’associera à la puissance rythmique de la compagnie sénégalaise Bakalama, l’une des grandes références des danses et percussions traditionnelles d’Afrique de l’Ouest, accompagnée des voix singulières de Abir El Abed (Maroc) et Kya Loum (Sénégal). Ensemble, ils tisseront un pont musical vibrant entre les rives de l’Atlantique, mêlant les traditions de transe marocaine aux polyrythmies complexes des sabars sénégalais. Une ouverture sous le signe de l’Afrique vivante, de la ferveur spirituelle et de l’énergie partagée.
Maâlem Houssam Gania avec Marcus Gilmore viennent à leur tour s'ajouter aux premières têtes d'affiche. Héritier de la grande tradition gnaoua par son père l’inoubliable Mahmoud Gania, Maâlem Houssam Gania incarne la nouvelle génération d’une musique ancestrale en perpétuel mouvement. Face à lui, Marcus Gilmore, prodige américain et l’un des batteurs les plus inventifs du jazz contemporain, apportera la finesse rythmique et la modernité de ses compositions. Collaborateur de géants tels que Chick Corea, Esperanza Spalding ou encore Steve Coleman, Marcus Gilmore allie virtuosité technique, audace rythmique et ouverture stylistique. Leur rencontre promet une conversation libre et inspirée, entre les percussions profondes du guembri et la sophistication des métriques jazz.
Pour sa part, le Maâlem Mohamed Boumezzough explorera de nouveaux horizons en s’entourant de jeunes talents marocains et de musiciens internationaux de renom. À ses côtés, Aly Keïta, maître du balafon venu du Mali, Anas Chlih à la guitare, Tao Ehrlich à la batterie, Martin Guerpin au saxophone, Quentin Ghomari à la trompette et Hajar Alaoui au chant, composeront un orchestre hybride et audacieux. Ensemble, ils réinventeront les codes de la transe gnaoua, mêlant pulsations africaines, envolées jazz et grooves modernes, dans une création placée sous le signe de la fête, de la liberté musicale et de la rencontre.
Les festivaliers auront également rendez-vous avec le phénomène mondial de l'Afrobeats : Ckay. Originaire du Nigéria, CKay est l’auteur du tube planétaire "Love Nwantiti", qui totalise plus de 6 milliards de streams. Chanteur, compositeur et producteur, il incarne un nouveau souffle de la musique africaine, avec un style unique baptisé Afro-Emo, fusionnant rythmes africains, soul et paroles intimistes. Avec ses albums "Sad Romance" et "Emotions", CKay s’est imposé comme une voix incontournable de sa génération, nommé aux BRIT Awards, aux BET Awards, et double lauréat des BMI Awards.