Connexion
Les thèmes principaux de cet artiste autodidacte sont la femme, le cheval, le cirque et les évènements de la vie. Sa recherche va vers la suggestion et non le réalisme. Son style unique est un mélange alchimique de choses réelles et d'autres inventées.
Né au fond d'une contrée reculée de l'Oubangui-Chari dans d’Afrique centrale, Alain Brandebourger découvre sa passion pour le dessin dès son jeune âge. Malgré un univers rude, il a vécu une enfance heureuse pleine de créativité. À cinq ans, il commence à dessiner sur le sable, à même le sol. À l'école, il réalise ses cartes en cours de géographie.
Encouragé par sa mère, il développe son talent en autodidacte inspiré par les paysages, personnages et légendes de l’Afrique. Jusqu'à l'âge de 19 ans il continue à gorger son imaginaire et à remplir ses carnets de fleurs exotiques, d'oiseaux et de papillons multicolores se nourrissant de la faune et de la flore environnantes. Au décès de son père, Alain Brandebourger doit renoncer à des études de vétérinaire et rentrer en France. Il commence à travailler dans le milieu hippique.
Installé en Normandie, il fréquente l'acteur Jean Gabin et son cercle d'amis, ainsi que nombre de célébrités, d'armateurs grecs, de milliardaires amoureux des chevaux, etc. C'est une période où Alain continue à créer en parallèle de son activité professionnelle. Sa connaissance intime des chevaux nourrit sa peinture au style inimitable, il excelle également dans la peinture des femmes, son autre thème de prédilection, et bien souvent leurs courbes fusionnent avec celles des chevaux pour évoquer de modernes centaures. Ses expositions connaissent un grand succès.
«L'ensemble de ma vie m'a appris la psychologie humaine et animale. J’ai vécu 20 ans en Afrique où je suis né et le peuple africain vous apprend la psychologie, l'instinct, la philosophie qui nous fait voir, admirer d'où naissent des émotions, des rencontres, des moments uniques, ce que j'ai trouvé dans ce beau pays qui est le Maroc», affirme l’artiste.
À l'automne de sa vie, Alain se consacre entièrement à son art. Libéré par les hasards de la vie, de ses devoirs et contingences antérieurs, il explore dorénavant de nouvelles techniques et développe ses recherches picturales, fruits de réflexions qui peuvent enfin pleinement mûrir. L'œuvre d'Alain Brandebourger évolue désormais vers une maturité nouvelle, au gré de son imaginaire.
Né au fond d'une contrée reculée de l'Oubangui-Chari dans d’Afrique centrale, Alain Brandebourger découvre sa passion pour le dessin dès son jeune âge. Malgré un univers rude, il a vécu une enfance heureuse pleine de créativité. À cinq ans, il commence à dessiner sur le sable, à même le sol. À l'école, il réalise ses cartes en cours de géographie.
Encouragé par sa mère, il développe son talent en autodidacte inspiré par les paysages, personnages et légendes de l’Afrique. Jusqu'à l'âge de 19 ans il continue à gorger son imaginaire et à remplir ses carnets de fleurs exotiques, d'oiseaux et de papillons multicolores se nourrissant de la faune et de la flore environnantes. Au décès de son père, Alain Brandebourger doit renoncer à des études de vétérinaire et rentrer en France. Il commence à travailler dans le milieu hippique.
Installé en Normandie, il fréquente l'acteur Jean Gabin et son cercle d'amis, ainsi que nombre de célébrités, d'armateurs grecs, de milliardaires amoureux des chevaux, etc. C'est une période où Alain continue à créer en parallèle de son activité professionnelle. Sa connaissance intime des chevaux nourrit sa peinture au style inimitable, il excelle également dans la peinture des femmes, son autre thème de prédilection, et bien souvent leurs courbes fusionnent avec celles des chevaux pour évoquer de modernes centaures. Ses expositions connaissent un grand succès.
«L'ensemble de ma vie m'a appris la psychologie humaine et animale. J’ai vécu 20 ans en Afrique où je suis né et le peuple africain vous apprend la psychologie, l'instinct, la philosophie qui nous fait voir, admirer d'où naissent des émotions, des rencontres, des moments uniques, ce que j'ai trouvé dans ce beau pays qui est le Maroc», affirme l’artiste.
À l'automne de sa vie, Alain se consacre entièrement à son art. Libéré par les hasards de la vie, de ses devoirs et contingences antérieurs, il explore dorénavant de nouvelles techniques et développe ses recherches picturales, fruits de réflexions qui peuvent enfin pleinement mûrir. L'œuvre d'Alain Brandebourger évolue désormais vers une maturité nouvelle, au gré de son imaginaire.
