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«Bouchra» promet d’être un film singulier, à l’image de l’univers artistique de Meriem Bennani. Décrit comme un portrait drôle et tendre, le long métrage sonde la relation intime de Bouchra, une coyote cinéaste basée à Brooklyn, avec sa mère, Aicha, cardiologue à Casablanca. À travers un travail documentaire autobiographique, Bouchra réalise l’impact de son identité queer sur sa mère. En ancrant le réel dans une structure narrative et en utilisant ses conversations avec sa propre mère, Meriem Bennani puise dans le personnel pour verser dans l’universel, magnifiant le quotidien par le prisme de l’art.
Tourné en 3D, avec l’esthétique léchée de Bennani, le film s’inscrit dans la continuité du projet «For My Best Family», réalisé en 2024 pour la Fondazione Prada à Milan. Jugé comme le projet le plus ambitieux de l’artiste, «For My Best Family» a compris des installations vidéo, des sculptures et des animations captivantes, dont la vidéo «For Aicha», toujours en partenariat avec Orian Barki.
Sa participation à l’exposition collective «Arabofuturs Science-fiction et nouveaux imaginaires» à l’Institut du monde arabe à Paris, a été particulièrement saluée. Elle y a projeté son film «Party on the caps», qui imagine un monde où la téléportation remplace le transport, mais où les frontières sont toujours fermés face aux migrants indésirables.
À partir d’octobre 2025, l’artiste prépare une installation sonore à Lafayette Anticipations, «Sole Crushing», faite de tongs et de claquettes et explorant les thèmes de la circulation des cultures mondiales en ligne et les hybridations culturelles contemporaines, souvent inspirées de la vie marocaine.
La narration est tout aussi importante et chère à l’artiste, comme en témoignent ses œuvres, souvent construites autour d’histoires qu’elle met en scène avec sensibilité et inventivité.
Engagée, certes, puisque ses travaux recèlent toujours une dimension sociale et politique universelle, tout en restant imprégnée par les références culturelles marocaines.
Les œuvres de Meriem Bennani ont été exposées dans de prestigieuses manifestations internationales, parmi lesquelles la Whitney Biennial et le Guggenheim à New York, la Biennale de Shanghai, la Fondazione Prada à Milan, le Centre Pompidou à Metz, le Palais de Tokyo et l’Institut du Monde Arabe à Paris, ainsi que le Maxxi à Rome. Ses créations figurent également dans des collections majeures telles que le MoMA, le Guggenheim et le Whitney Museum à New York, le Musée d’art moderne de la Ville de Paris, la Fondazione Prada à Milan, ainsi que plusieurs fondations et musées internationaux renommés.
Tourné en 3D, avec l’esthétique léchée de Bennani, le film s’inscrit dans la continuité du projet «For My Best Family», réalisé en 2024 pour la Fondazione Prada à Milan. Jugé comme le projet le plus ambitieux de l’artiste, «For My Best Family» a compris des installations vidéo, des sculptures et des animations captivantes, dont la vidéo «For Aicha», toujours en partenariat avec Orian Barki.
Distinctions en série
Dans l’attente impatiente de sa conquête du cinéma, Meriem Bennani multiplie les consécrations et les succès sur la scène de l’art contemporain. Récemment médaillée du tout premier Art Basel Award 2025, l’artiste a d’abord vu son œuvre «Umbrella Twist» (2022) remarquée à Art Basel 2024 Unlimited, consolidant sa place sur les grandes manifestations artistiques.Sa participation à l’exposition collective «Arabofuturs Science-fiction et nouveaux imaginaires» à l’Institut du monde arabe à Paris, a été particulièrement saluée. Elle y a projeté son film «Party on the caps», qui imagine un monde où la téléportation remplace le transport, mais où les frontières sont toujours fermés face aux migrants indésirables.
À partir d’octobre 2025, l’artiste prépare une installation sonore à Lafayette Anticipations, «Sole Crushing», faite de tongs et de claquettes et explorant les thèmes de la circulation des cultures mondiales en ligne et les hybridations culturelles contemporaines, souvent inspirées de la vie marocaine.
Une signature artistique inimitable 2/2
Basée à Brooklyn, New York, Meriem Bennani est un nom qui claque ! Cette jeune artiste pluridisciplinaire a réussi à gagner une reconnaissance mondiale pour son talent à fusionner les médiums et créer des univers cohérents faits de vidéos, d’animations, de sculptures, de dessins et d’installations. Omniprésent dans ses œuvres, le dialogue avec le numérique porte le réalisme à une dimension supérieure, aux allures futuristes.La narration est tout aussi importante et chère à l’artiste, comme en témoignent ses œuvres, souvent construites autour d’histoires qu’elle met en scène avec sensibilité et inventivité.
Engagée, certes, puisque ses travaux recèlent toujours une dimension sociale et politique universelle, tout en restant imprégnée par les références culturelles marocaines.
Les œuvres de Meriem Bennani ont été exposées dans de prestigieuses manifestations internationales, parmi lesquelles la Whitney Biennial et le Guggenheim à New York, la Biennale de Shanghai, la Fondazione Prada à Milan, le Centre Pompidou à Metz, le Palais de Tokyo et l’Institut du Monde Arabe à Paris, ainsi que le Maxxi à Rome. Ses créations figurent également dans des collections majeures telles que le MoMA, le Guggenheim et le Whitney Museum à New York, le Musée d’art moderne de la Ville de Paris, la Fondazione Prada à Milan, ainsi que plusieurs fondations et musées internationaux renommés.
