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«Le cinéma est une source intarissable d’inspiration pour Kenza Bennani, créatrice de la marque, qui s’enracine davantage dans son engagement à l’égard des femmes représentant le cinéma marocain contemporain. Des femmes pleines de fantaisie et sans crainte de créer des narratives nouvelles», indique un communiqué de la marque. New Tangier choisit pour égérie, la jeune étoile montante du cinéma marocain, Oumaima Barid, photographiée pour cette dernière campagne dans un lieu culte de la ville du détroit, La Cinémathèque de Tanger. À l’image de la jeune comédienne, New Tangier s’adresse à une femme aux multiples facettes, aux inspirations libres, vives et surtout universelles. C’est en rapport à cette universalité, que la créatrice puise dans un large choix de films qui ont nourri sa jeunesse pour créer une collection 2025 aux coupes traditionnelles et modèles à l’ADN de la maison.
«Un peu comme une déclaration d’amour au cinéma, cette nouvelle collection inaugure des constructions, matières ou encore colorimétries qui font voyager à travers différents univers et prismes cinématographiques», indique la même source. New Tangier nous propose donc des robes sculpturales, tel un Oscar, en lamé de soie or ; de grandes jupes en brocart de soie à la Audrey Hepburn dans «Funny Face» ; ou encore des gandouras muids en Jaouhara de soie et lurex. Des pièces qui nous transportent dans un monde de paillettes, d’audace et de disco, façon «Boogie Nights»...
Les classiques de la marque sont également de retour avec les caftans en pagne de laine, cette fois accompagnés de grandes capes aux tonalités très dramatiques, à dominante rouge vermillon, en clin d’œil aux gammes de couleurs d’un vibrant Almodovar des années 1980 et de toutes ses femmes aux archétypes aussi puissants que fragiles. Puis, il y a le Sarwal – signature de la marque – versatile et adaptable à la taille de chacun. La pièce de mode unisexe se décline en laine rayée façon tailleur masculin et s’accompagne du manteau-djellaba en feutre de laine ceinturé façon gabardine, le tout pensé pour convenir autant à Bonnie qu’à Clyde ! Enfin, le puissant nuancier de verts pour (re)donner vie à plusieurs modèles. Du vert d’eau au vert forêt, en passant par l’émeraude, la marque met à l’honneur une couleur qui occupe une place spéciale dans la garde-robe marocaine, tout en rappelant le film culte «Great Expectations» qui en a fait un usage symbolique, devenu vecteur d’espoir et de renouveau.
«Un peu comme une déclaration d’amour au cinéma, cette nouvelle collection inaugure des constructions, matières ou encore colorimétries qui font voyager à travers différents univers et prismes cinématographiques», indique la même source. New Tangier nous propose donc des robes sculpturales, tel un Oscar, en lamé de soie or ; de grandes jupes en brocart de soie à la Audrey Hepburn dans «Funny Face» ; ou encore des gandouras muids en Jaouhara de soie et lurex. Des pièces qui nous transportent dans un monde de paillettes, d’audace et de disco, façon «Boogie Nights»...
Les classiques de la marque sont également de retour avec les caftans en pagne de laine, cette fois accompagnés de grandes capes aux tonalités très dramatiques, à dominante rouge vermillon, en clin d’œil aux gammes de couleurs d’un vibrant Almodovar des années 1980 et de toutes ses femmes aux archétypes aussi puissants que fragiles. Puis, il y a le Sarwal – signature de la marque – versatile et adaptable à la taille de chacun. La pièce de mode unisexe se décline en laine rayée façon tailleur masculin et s’accompagne du manteau-djellaba en feutre de laine ceinturé façon gabardine, le tout pensé pour convenir autant à Bonnie qu’à Clyde ! Enfin, le puissant nuancier de verts pour (re)donner vie à plusieurs modèles. Du vert d’eau au vert forêt, en passant par l’émeraude, la marque met à l’honneur une couleur qui occupe une place spéciale dans la garde-robe marocaine, tout en rappelant le film culte «Great Expectations» qui en a fait un usage symbolique, devenu vecteur d’espoir et de renouveau.
