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Les ateliers pour enfants font partie de l’ADN du Moussem culturel international d’Assilah. Chaque année, des dizaines de jeunes bénéficient d’un encadrement professionnel en art plastique et en littérature. Pour cette 44e édition, organisée jusqu’au 26 octobre, le Moussem réunit à la Bibliothèque Bandar bin Sultan des dizaines d’élèves pour encourager l’expression de leurs plumes dans des situations variées de lecture et d’écriture.
L’atelier invite les stagiaires à jouer avec le langage à travers différents outils d’expression littéraire. Selon Mustapha Baalich, enseignant d’arabe et d’éducation islamique, qui dirige cet atelier, les jeunes apprennent à exprimer leurs idées, à communiquer avec de grands noms de la scène littéraire et à écrire des textes cohérents, publiables. Cette année, les participants à l’atelier d’écriture et d’expression littéraire pour les enfants du Moussem ont écrit une lettre à feu Hani Nakchabandi, auteur et journaliste saoudien habitué de l’événement zaylachi et de ses ateliers littéraires. Selon Baalich, feu Hani Nakchabandi avait pour habitude de visiter l’atelier et d’échanger avec les élèves, nouant ainsi de bonnes relations avec eux. Cette lettre permet aux enfants d’exprimer leurs sentiments vis-à-vis de la perte d’un grand ami du Moussem et de s’entraîner sur l’écriture. L’atelier a également proposé aux stagiaires l’exercice d’écrire un portrait à partir du roman «Le passé enterré» du grand écrivain marocain feu Abdelkrim Ghallab.
Les enfants ont ainsi rédigé des portraits de plusieurs personnages en utilisant différentes techniques de description tout en mettant en valeur le côté humain. Les participants à l’atelier littéraire du 44e Moussem (édition d’automne) ont pu aussi travailler sur des textes de théâtre. Ils assistent, par ailleurs, aux colloques de la 37e Université ouverte Al Moutamid Ibn Abbad autour de l’art et la littérature. Cette action leur permet de rencontrer de grands noms de la scène culturelle arabe et internationale et d’enrichir le débat au sein de leur atelier.Grâce à cette initiative du Moussem, plus de 50 élèves ont l’opportunité de développer leurs compétences en écriture et de découvrir différents genres littéraires.
Dans une ambiance détendue, ils lisent avec fierté leurs écrits et partagent leurs idées. Cet atelier littéraire appuie leur sens de la créativité, mais renforce surtout leur confiance en soi. À partir d’une histoire, d’un film, d’un poème, ou d’un autre support, des propositions sont faites aux écrivains en herbe pour écrire à leur tour puis lire leurs textes à voix haute et échanger. Au fil des séances, qui sont toutes différentes, les textes s’allongent peu à peu tandis que se développent en eux l’écoute des mots et une attention au texte qui s’écrit. L’atelier d’écriture et d’expression littéraire pour les enfants organisé chaque année à Assilah favorise le geste spontané, développe la créativité et aide à transmettre le savoir-faire professionnel.
L’atelier invite les stagiaires à jouer avec le langage à travers différents outils d’expression littéraire. Selon Mustapha Baalich, enseignant d’arabe et d’éducation islamique, qui dirige cet atelier, les jeunes apprennent à exprimer leurs idées, à communiquer avec de grands noms de la scène littéraire et à écrire des textes cohérents, publiables. Cette année, les participants à l’atelier d’écriture et d’expression littéraire pour les enfants du Moussem ont écrit une lettre à feu Hani Nakchabandi, auteur et journaliste saoudien habitué de l’événement zaylachi et de ses ateliers littéraires. Selon Baalich, feu Hani Nakchabandi avait pour habitude de visiter l’atelier et d’échanger avec les élèves, nouant ainsi de bonnes relations avec eux. Cette lettre permet aux enfants d’exprimer leurs sentiments vis-à-vis de la perte d’un grand ami du Moussem et de s’entraîner sur l’écriture. L’atelier a également proposé aux stagiaires l’exercice d’écrire un portrait à partir du roman «Le passé enterré» du grand écrivain marocain feu Abdelkrim Ghallab.
Les enfants ont ainsi rédigé des portraits de plusieurs personnages en utilisant différentes techniques de description tout en mettant en valeur le côté humain. Les participants à l’atelier littéraire du 44e Moussem (édition d’automne) ont pu aussi travailler sur des textes de théâtre. Ils assistent, par ailleurs, aux colloques de la 37e Université ouverte Al Moutamid Ibn Abbad autour de l’art et la littérature. Cette action leur permet de rencontrer de grands noms de la scène culturelle arabe et internationale et d’enrichir le débat au sein de leur atelier.Grâce à cette initiative du Moussem, plus de 50 élèves ont l’opportunité de développer leurs compétences en écriture et de découvrir différents genres littéraires.
Dans une ambiance détendue, ils lisent avec fierté leurs écrits et partagent leurs idées. Cet atelier littéraire appuie leur sens de la créativité, mais renforce surtout leur confiance en soi. À partir d’une histoire, d’un film, d’un poème, ou d’un autre support, des propositions sont faites aux écrivains en herbe pour écrire à leur tour puis lire leurs textes à voix haute et échanger. Au fil des séances, qui sont toutes différentes, les textes s’allongent peu à peu tandis que se développent en eux l’écoute des mots et une attention au texte qui s’écrit. L’atelier d’écriture et d’expression littéraire pour les enfants organisé chaque année à Assilah favorise le geste spontané, développe la créativité et aide à transmettre le savoir-faire professionnel.
