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Déployée jusqu’au 21 septembre 2025, cette exposition offre une plongée dans plus de trois décennies de création, mettant en lumière les thèmes et les formes qui traversent l'œuvre de l'artiste franco-marocaine.
Née en 1950 à Paris, Najia Mehadji a bâti une carrière riche, à la croisée des influences occidentales et orientales. Reconnue aussi bien en France qu'au Maroc, elle développe depuis les années 1980 un langage plastique singulier où le geste, la lumière et le mouvement occupent une place essentielle. Son travail est présent dans des collections majeures, à l'instar de celles de l'Institut du monde arabe, du Fonds national d'art contemporain à Paris, du Centre Pompidou, du Musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain à Rabat ou encore du Musée des beaux-arts de Amman en Jordanie.
L'exposition présentée au MAC VAL s'articule autour du symbole de la paix dans l'œuvre de Najia Mehadji : la rose. Plus qu'une simple représentation artistique, cette forme devient sous ses pinceaux un élément évoquant une résistance silencieuse, une quête d’harmonie et de transcendance contre la guerre et la barbarie, la beauté contre l’horreur. L’œuvre de Najia Mehadji témoigne de sa capacité à allier abstraction et spiritualité. Elle ne se limite pas à représenter une rose, mais en extrait une essence universelle, jouant sur les formes et la lumière pour en faire une métaphore du cosmos et de la condition humaine.
L'estampe Rosebud (2024), récemment intégrée à la collection du musée, témoigne de l’intérêt de l’artiste pour la structure des formes et le symbolisme de la rose, «fleur de l’amour et de l’éphémère, mais aussi une étoile du cosmos».
L'exposition, commissariée par Nicolas Surlapierre, assisté de Lahouari Mohammed Bakir et Fati Konaté, invite à une réflexion sur la lumière, le geste et le mouvement dans l’œuvre de Najia Mehadji.
Née en 1950 à Paris, Najia Mehadji est une figure centrale de l'art contemporain, reconnue tant au Maroc qu'en France depuis les années 80. Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections prestigieuses, dont l’Institut du monde arabe (France), le Fonds National d’art contemporain de Paris (France), le Musée d’art moderne et contemporain du Centre Georges Pompidou (France), le Musée des beaux-arts de Amman (Jordanie) et le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (Maroc).
Placée sous le commissariat de Nicolas Surlapierre, assisté de Lahouari Mohammed Bakir et Fati Konaté, «Mon amie la rose» rassemble des œuvres emblématiques produites depuis les années 1990. À travers une sélection de peintures, dessins et oeuvres numériques, l'exposition met en avant la dimension gestuelle de la pratique de Najia Mehadji. Inspirée par la calligraphie orientale et les principes de la danse soufie, l'artiste conçoit chaque tracé comme une onde d'énergie, capturant le mouvement dans sa fluidité.
La question de la lumière traverse également son travail, avec des compositions jouant sur la transparence et les contrastes. Le blanc, souvent omniprésent, dialogue avec des tonalités profondes, renforçant la portée spirituelle de son art. En explorant la dimension sacrée de la matière et du trait, Mehadji inscrit son travail dans une tradition picturale universelle, à la croisée du minimalisme et de l'abstraction lyrique.
En proposant une vision d'ensemble de l'œuvre de Najia Mehadji, le MAC VAL rend hommage à une artiste qui a su faire dialoguer les héritages culturels pour développer une expression contemporaine singulière. «Mon amie la rose» invite les visiteurs à une immersion dans un univers où la matière et le spirituel se rejoignent, révélant la profondeur et la poésie du geste artistique.
Née en 1950 à Paris, Najia Mehadji a bâti une carrière riche, à la croisée des influences occidentales et orientales. Reconnue aussi bien en France qu'au Maroc, elle développe depuis les années 1980 un langage plastique singulier où le geste, la lumière et le mouvement occupent une place essentielle. Son travail est présent dans des collections majeures, à l'instar de celles de l'Institut du monde arabe, du Fonds national d'art contemporain à Paris, du Centre Pompidou, du Musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain à Rabat ou encore du Musée des beaux-arts de Amman en Jordanie.
L'exposition présentée au MAC VAL s'articule autour du symbole de la paix dans l'œuvre de Najia Mehadji : la rose. Plus qu'une simple représentation artistique, cette forme devient sous ses pinceaux un élément évoquant une résistance silencieuse, une quête d’harmonie et de transcendance contre la guerre et la barbarie, la beauté contre l’horreur. L’œuvre de Najia Mehadji témoigne de sa capacité à allier abstraction et spiritualité. Elle ne se limite pas à représenter une rose, mais en extrait une essence universelle, jouant sur les formes et la lumière pour en faire une métaphore du cosmos et de la condition humaine.
L'estampe Rosebud (2024), récemment intégrée à la collection du musée, témoigne de l’intérêt de l’artiste pour la structure des formes et le symbolisme de la rose, «fleur de l’amour et de l’éphémère, mais aussi une étoile du cosmos».
L'exposition, commissariée par Nicolas Surlapierre, assisté de Lahouari Mohammed Bakir et Fati Konaté, invite à une réflexion sur la lumière, le geste et le mouvement dans l’œuvre de Najia Mehadji.
Née en 1950 à Paris, Najia Mehadji est une figure centrale de l'art contemporain, reconnue tant au Maroc qu'en France depuis les années 80. Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections prestigieuses, dont l’Institut du monde arabe (France), le Fonds National d’art contemporain de Paris (France), le Musée d’art moderne et contemporain du Centre Georges Pompidou (France), le Musée des beaux-arts de Amman (Jordanie) et le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (Maroc).
Placée sous le commissariat de Nicolas Surlapierre, assisté de Lahouari Mohammed Bakir et Fati Konaté, «Mon amie la rose» rassemble des œuvres emblématiques produites depuis les années 1990. À travers une sélection de peintures, dessins et oeuvres numériques, l'exposition met en avant la dimension gestuelle de la pratique de Najia Mehadji. Inspirée par la calligraphie orientale et les principes de la danse soufie, l'artiste conçoit chaque tracé comme une onde d'énergie, capturant le mouvement dans sa fluidité.
La question de la lumière traverse également son travail, avec des compositions jouant sur la transparence et les contrastes. Le blanc, souvent omniprésent, dialogue avec des tonalités profondes, renforçant la portée spirituelle de son art. En explorant la dimension sacrée de la matière et du trait, Mehadji inscrit son travail dans une tradition picturale universelle, à la croisée du minimalisme et de l'abstraction lyrique.
En proposant une vision d'ensemble de l'œuvre de Najia Mehadji, le MAC VAL rend hommage à une artiste qui a su faire dialoguer les héritages culturels pour développer une expression contemporaine singulière. «Mon amie la rose» invite les visiteurs à une immersion dans un univers où la matière et le spirituel se rejoignent, révélant la profondeur et la poésie du geste artistique.
