La Croisée des chemins vient de publier l’ouvrage collectif «Violences faites aux femmes dans le monde arabo-muslman».
Ce livre aborde un sujet cruellement d’actualité dans le monde entier. Mais c’est sur le monde arabo-musulman que s’est penché le collectif de chercheurs et de chercheuses, qui y ont contribué afin d’aborder quelques formes et facettes des violences faites aux femmes. Un regard croisé et interdisciplinaire nécessaire.
La violence faite aux femmes est un phénomène socioculturel, observé dans la majorité des sociétés du globe. «C’était un objet d’étude de plusieurs approches et disciplines. Pourtant, nous pensons qu’il mérite d’être étudié suivant la spécificité de chacune des sociétés, vu les dissemblances de son enracinement, de ses démonstrations et de sa transmission. Notre collectif tente de soulever le débat et la réflexion autour du phénomène dans certains pays faisant partie du monde arabo-musulman, où la spécificité du commun est apparente», indique un communiqué de la Croisée des chemins.
Et de préciser que le patriarcat perdure dans cette partie du globe à travers un processus socio-culturel légitimé religieusement et enraciné via des transmissions tacites entre les générations. «Afin de combattre les violences qui touchent aux femmes et se répercutent négativement sur plusieurs autres domaines sociaux, nous avons intérêt à dévoiler ostensiblement les tabous qui garantissent le maintien de l’ordre patriarcal établi et sacralisé», écrit Kanza Kassimi, coordinatrice du collectif.
Outre cette professeure de sociologie et d’anthropologie à l’université Ibn Zohr, FLSH Agadir, ont participé également à cet ouvrage Nadia Ait-Zai, Katia Aribi, Hanane El Majidi, Soundoss Sabri, Imèn Moussa, Laila Benhessou, Abdelaadim Tahiri, Sabah Attab et Rodrigue Boulingui.
Ce livre aborde un sujet cruellement d’actualité dans le monde entier. Mais c’est sur le monde arabo-musulman que s’est penché le collectif de chercheurs et de chercheuses, qui y ont contribué afin d’aborder quelques formes et facettes des violences faites aux femmes. Un regard croisé et interdisciplinaire nécessaire.
La violence faite aux femmes est un phénomène socioculturel, observé dans la majorité des sociétés du globe. «C’était un objet d’étude de plusieurs approches et disciplines. Pourtant, nous pensons qu’il mérite d’être étudié suivant la spécificité de chacune des sociétés, vu les dissemblances de son enracinement, de ses démonstrations et de sa transmission. Notre collectif tente de soulever le débat et la réflexion autour du phénomène dans certains pays faisant partie du monde arabo-musulman, où la spécificité du commun est apparente», indique un communiqué de la Croisée des chemins.
Et de préciser que le patriarcat perdure dans cette partie du globe à travers un processus socio-culturel légitimé religieusement et enraciné via des transmissions tacites entre les générations. «Afin de combattre les violences qui touchent aux femmes et se répercutent négativement sur plusieurs autres domaines sociaux, nous avons intérêt à dévoiler ostensiblement les tabous qui garantissent le maintien de l’ordre patriarcal établi et sacralisé», écrit Kanza Kassimi, coordinatrice du collectif.
Outre cette professeure de sociologie et d’anthropologie à l’université Ibn Zohr, FLSH Agadir, ont participé également à cet ouvrage Nadia Ait-Zai, Katia Aribi, Hanane El Majidi, Soundoss Sabri, Imèn Moussa, Laila Benhessou, Abdelaadim Tahiri, Sabah Attab et Rodrigue Boulingui.