L’artiste-plasticien Brahim Ouras organise, jusqu’au 30 mars, son exposition «The Wall» (Le mur) à la galerie de la Fondation Mohammed VI de promotion des œuvres sociales de l’éducation-formation de Rabat. Cet événement vise à redonner aux murs la place qui leur revient en tant que lieu de rencontre, d’expression et d’affichage en plus d’être un lieu de défoulement et de liberté, d’incitation à la haine ou d’appel à l’amour. Usant d’une multitude de couleurs et de plusieurs techniques tout en incorporant des dessins et des symboles faciles à reconnaître, Brahim Ouras met en avant des tableaux qui trouveront un écho chez tous les visiteurs de la galerie.
Cette exposition s’inspire de «la réalité de la rue», qui est un espace scénique et scénographique riche en couleurs, en formes et en mouvements. Créant des toiles édifiantes par leur complexité tout en restant familières, grâce à un langage artistique caractéristique, l’artiste donne un nouveau cadre aux graffitis et aux inscriptions murales en les intégrant à des scènes de vie particulières et à des contextes spécifiques. En essayant de retranscrire sur des tableaux la liberté que se donne les gribouilleurs et les graffiteurs sur des murs, Brahim Ouras fait ressortir la spontanéité artistique qui se dégage des murs des villes marocaines, en tant que partie intégrante du paysage urbain.
Natif de Salé, l’artiste plasticien Brahim Ouras manifeste un intérêt grandissant pour le dessin et la peinture. Au début des années 1970, il fréquente assidument l’émission de télévision de l’artiste-peintre et réalisateur Abdellah Filali «Roussoum al atfal». Licencié en sciences économiques de la Faculté des sciences juridiques économiques et sociales Agdal de Rabat et diplômé de l’École nationale des beaux-arts de Tétouan, il s’initie aux techniques de la scénographie à l’Académie Royale des beaux-arts de Liège, en Belgique, et a bénéficié de deux résidences d’écriture de scénario à l’IRCAM (Institut Royal de la culture amazighe), ce qui témoigne de l’intérêt de l’artiste pour les arts visuels en général. Avec plusieurs expositions collectives et individuelles à son actif, il invite le visiteur à se plonger dans un univers artistique où l’art n’est ni science ni technologie, mais tout simplement liberté.
Cette exposition s’inspire de «la réalité de la rue», qui est un espace scénique et scénographique riche en couleurs, en formes et en mouvements. Créant des toiles édifiantes par leur complexité tout en restant familières, grâce à un langage artistique caractéristique, l’artiste donne un nouveau cadre aux graffitis et aux inscriptions murales en les intégrant à des scènes de vie particulières et à des contextes spécifiques. En essayant de retranscrire sur des tableaux la liberté que se donne les gribouilleurs et les graffiteurs sur des murs, Brahim Ouras fait ressortir la spontanéité artistique qui se dégage des murs des villes marocaines, en tant que partie intégrante du paysage urbain.
Natif de Salé, l’artiste plasticien Brahim Ouras manifeste un intérêt grandissant pour le dessin et la peinture. Au début des années 1970, il fréquente assidument l’émission de télévision de l’artiste-peintre et réalisateur Abdellah Filali «Roussoum al atfal». Licencié en sciences économiques de la Faculté des sciences juridiques économiques et sociales Agdal de Rabat et diplômé de l’École nationale des beaux-arts de Tétouan, il s’initie aux techniques de la scénographie à l’Académie Royale des beaux-arts de Liège, en Belgique, et a bénéficié de deux résidences d’écriture de scénario à l’IRCAM (Institut Royal de la culture amazighe), ce qui témoigne de l’intérêt de l’artiste pour les arts visuels en général. Avec plusieurs expositions collectives et individuelles à son actif, il invite le visiteur à se plonger dans un univers artistique où l’art n’est ni science ni technologie, mais tout simplement liberté.