Porté par le ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, ce concours, qui en est à sa quatrième édition, célèbre chaque année la force des mots et l’audace de la jeunesse créative.
Dans une salle attentive, rassemblant curieux, éditeurs et passionnés de littérature, les lauréats ont été dévoilés avec fierté.
Répartis en trois catégories linguistiques – amazighe, arabe et langues étrangères –, les poètes récompensés ont su faire vibrer le jury par la richesse et la sincérité de leurs mots.
Dans la catégorie de la poésie en arabe, le premier Prix a été remis à Latifa Benacher, dont le texte a été salué pour sa profondeur et son souffle lyrique. Karim Aït Lhaj et Mohamed Mouden ont décroché les deuxième et troisième places, avec des poèmes à la fois engagés et sensibles.
En langue amazighe, c’est Omar Raji qui s’est vu attribuer le premier Prix, suivi par Naima Mouhtin, puis Jamal Arouch, respectivement deuxième et troisième. Tous trois ont été salués pour la finesse de leur langue poétique et leur capacité à ancrer leur écriture dans les réalités contemporaines.
La catégorie des langues étrangères a, elle aussi, dévoilé de belles surprises. Le premier prix a été attribué ex æquo à Youssef Cherif Hamidi et Nour Bouhouch, qui ont su explorer les frontières de la langue avec subtilité. Le deuxième Prix a également été partagé entre trois jeunes autrices : Nada Srifi (anglais), Yasmine Benamer (français) et Malak Khalfaoui (français).
Ouvert aux jeunes de 18 à 30 ans, ce concours vise à révéler de nouveaux talents poétiques et à encourager la pluralité des expressions littéraires dans toutes les langues parlées au Maroc. Loin d’être une simple remise de prix, la cérémonie a pris des allures de véritable célébration de la jeunesse et de la diversité culturelle. Chaque lauréat est reparti non seulement avec une reconnaissance publique, mais aussi avec l’encouragement sincère d’un public conquis.
Dans une salle attentive, rassemblant curieux, éditeurs et passionnés de littérature, les lauréats ont été dévoilés avec fierté.
Répartis en trois catégories linguistiques – amazighe, arabe et langues étrangères –, les poètes récompensés ont su faire vibrer le jury par la richesse et la sincérité de leurs mots.
Dans la catégorie de la poésie en arabe, le premier Prix a été remis à Latifa Benacher, dont le texte a été salué pour sa profondeur et son souffle lyrique. Karim Aït Lhaj et Mohamed Mouden ont décroché les deuxième et troisième places, avec des poèmes à la fois engagés et sensibles.
En langue amazighe, c’est Omar Raji qui s’est vu attribuer le premier Prix, suivi par Naima Mouhtin, puis Jamal Arouch, respectivement deuxième et troisième. Tous trois ont été salués pour la finesse de leur langue poétique et leur capacité à ancrer leur écriture dans les réalités contemporaines.
La catégorie des langues étrangères a, elle aussi, dévoilé de belles surprises. Le premier prix a été attribué ex æquo à Youssef Cherif Hamidi et Nour Bouhouch, qui ont su explorer les frontières de la langue avec subtilité. Le deuxième Prix a également été partagé entre trois jeunes autrices : Nada Srifi (anglais), Yasmine Benamer (français) et Malak Khalfaoui (français).
Ouvert aux jeunes de 18 à 30 ans, ce concours vise à révéler de nouveaux talents poétiques et à encourager la pluralité des expressions littéraires dans toutes les langues parlées au Maroc. Loin d’être une simple remise de prix, la cérémonie a pris des allures de véritable célébration de la jeunesse et de la diversité culturelle. Chaque lauréat est reparti non seulement avec une reconnaissance publique, mais aussi avec l’encouragement sincère d’un public conquis.