Onze murs de la capitale seront investis par des street-artistes issus de huit pays différents, dans le cadre du festival Jidar cette année. Parmi les têtes d’affiche, on retrouve le Polonais BEZT, le Français Ratur, ou encore le Mexicain Smithe, aux côtés de talents marocains comme Masawi et Azhar.
Pour marquer ses dix ans, le festival innove avec plusieurs projets inédits. Le plus spectaculaire est sans doute "Paysages cubiques", une installation au parc Hassan II où trois artistes, le Japonais Hideyuki Katsumata, l’Espagnol Iván McGill et le Marocain Bluuecrab interviendront sur des cubes de trois mètres de côté. Une manière de sortir des murs traditionnels et d’explorer de nouveaux supports.
Autre temps fort, le Mur Collectif évolue cette année avec un accompagnement renforcé pour les jeunes talents. Du 12 au 18 mai, une dizaine d’apprentis street-artistes, sélectionnés sur dossier, travailleront sous la direction du graffeur marocain Réda Boudina (RDS). Ces jeunes talents réaliseront ensemble une fresque collective qui rejoindra le parcours officiel.
Côté médiation, les visites guidées se déclinent désormais en trois circuits différents permettant aux visiteurs de découvrir les oeuvres sous différents angles et langues. Par ailleurs, les Jidar Talks, organisés au café La Scène du Cinéma Renaissance, offriront l'occasion d'interagir directement avec les artistes.
Le volet pédagogique n’est pas en reste avec Jidar Kids, des ateliers pour enfants (8-12 ans). Répartis en petits groupes, les participants travailleront pendant trois jours sur une fresque murale autour du thème "Dessine mon patrimoine".
Dix ans après sa création, le Jidar – Rabat Street Art Festival confirme ainsi son rôle de locomotive de la scène street art au Maroc, entre ouverture internationale et ancrage local.
Pour marquer ses dix ans, le festival innove avec plusieurs projets inédits. Le plus spectaculaire est sans doute "Paysages cubiques", une installation au parc Hassan II où trois artistes, le Japonais Hideyuki Katsumata, l’Espagnol Iván McGill et le Marocain Bluuecrab interviendront sur des cubes de trois mètres de côté. Une manière de sortir des murs traditionnels et d’explorer de nouveaux supports.
Autre temps fort, le Mur Collectif évolue cette année avec un accompagnement renforcé pour les jeunes talents. Du 12 au 18 mai, une dizaine d’apprentis street-artistes, sélectionnés sur dossier, travailleront sous la direction du graffeur marocain Réda Boudina (RDS). Ces jeunes talents réaliseront ensemble une fresque collective qui rejoindra le parcours officiel.
Côté médiation, les visites guidées se déclinent désormais en trois circuits différents permettant aux visiteurs de découvrir les oeuvres sous différents angles et langues. Par ailleurs, les Jidar Talks, organisés au café La Scène du Cinéma Renaissance, offriront l'occasion d'interagir directement avec les artistes.
Le volet pédagogique n’est pas en reste avec Jidar Kids, des ateliers pour enfants (8-12 ans). Répartis en petits groupes, les participants travailleront pendant trois jours sur une fresque murale autour du thème "Dessine mon patrimoine".
Dix ans après sa création, le Jidar – Rabat Street Art Festival confirme ainsi son rôle de locomotive de la scène street art au Maroc, entre ouverture internationale et ancrage local.