«Ya Lyam» est bien plus qu’une simple chanson. C’est une ode à l’innocence perdue et à la résilience qui en émerge. Jihane Bougrine évoque avec sincérité comment les blessures de l’enfance nous rattrapent au fil de nos vies. Cette chanson résonne avec tous ceux qui ont traversé les hauts et les bas de l’enfance, et elle nous rappelle la puissance de la musique pour exprimer les émotions les plus profondes. «L’enfance nous poursuit, elle trace le présent et le futur malgré nous. Elle explique bien des choses. Ce qui m’a sauvé la vie, je pense, c’est que grâce à la musique, je suis restée connectée à l’enfant en moi, je l’ai écouté. Ça m’a aidé à devenir la femme que je suis aujourd’hui», confie la chanteuse qui a écrit cette chance comme un cri à la vie. Une revanche sur le passé. «Écrire “Lyam” est une thérapie en soi, comme l’a été l’écriture dans ma vie».
Le clip de «Ya Lyam», réalisé par Julien Fouré, témoigne d’une collaboration continue et loyale entre l’artiste et le réalisateur. Julien Fouré a déjà mis en scène les trois clips précédents de Jihane Bougrine.
Le réalisateur et scénariste, pour ce clip, a puisé son inspiration dans des souvenirs d’enfance, tout comme Jihane Bougrine. Il évoque comment l’idée du clip est née d’un souvenir personnel, un moment enregistré sur une VHS par sa jeune sœur lors d’un dîner familial.
Le clip est porté par les performances débordantes d’humanité et d’humilité de Ghassan El Hakim, Stéphanie Leonard et May Chaouni, qui ont apporté leur talent et leurs émotions pour donner vie aux personnages et à l’atmosphère familiale.
La direction de la photographie, confiée à Ayoub Lamrani, mérite une mention spéciale. Ses compétences visuelles ont ajouté une dimension visuelle unique à la chanson, créant une expérience cinématographique immersive qui complète parfaitement la musique de Jihane Bougrine. Le mariage de la musique, de la mise en scène et de la direction de la photographie donne naissance à un clip sobre, sincère et émouvant. Le montage fluide et habité est signé Asmae Ziati.
Le clip de «Ya Lyam», réalisé par Julien Fouré, témoigne d’une collaboration continue et loyale entre l’artiste et le réalisateur. Julien Fouré a déjà mis en scène les trois clips précédents de Jihane Bougrine.
Le réalisateur et scénariste, pour ce clip, a puisé son inspiration dans des souvenirs d’enfance, tout comme Jihane Bougrine. Il évoque comment l’idée du clip est née d’un souvenir personnel, un moment enregistré sur une VHS par sa jeune sœur lors d’un dîner familial.
Le clip est porté par les performances débordantes d’humanité et d’humilité de Ghassan El Hakim, Stéphanie Leonard et May Chaouni, qui ont apporté leur talent et leurs émotions pour donner vie aux personnages et à l’atmosphère familiale.
La direction de la photographie, confiée à Ayoub Lamrani, mérite une mention spéciale. Ses compétences visuelles ont ajouté une dimension visuelle unique à la chanson, créant une expérience cinématographique immersive qui complète parfaitement la musique de Jihane Bougrine. Le mariage de la musique, de la mise en scène et de la direction de la photographie donne naissance à un clip sobre, sincère et émouvant. Le montage fluide et habité est signé Asmae Ziati.