Barid Al-Maghrib (BAM) s’apprête à lancer une étude visant à définir et calculer le coût du Service universel postal (SUP). Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’avant-projet de loi n°88-18 sur l’activité postale, destiné à moderniser le paysage postal du fait du caractère stratégique du secteur appelé à connaître une profonde réforme.
Barid Al-Maghrib, en tant qu’acteur multiservices opérant dans les domaines du courrier, de la messagerie, de la logistique, des services numériques et financiers, joue un rôle économique et social crucial dans le pays. Le SUP, pierre angulaire de sa mission, vise à garantir l’accessibilité des services postaux sur l’ensemble du territoire, y compris dans les zones rurales et faiblement peuplées. Cependant, l’évolution des usages, avec la baisse continue du volume de courrier physique et la montée en puissance du e-commerce et des services numériques, impose une refonte des modèles économiques traditionnels.
Dans ce contexte, le projet de loi 88-18 a pour objectif de redéfinir le SUP à travers des critères de prestations, de densité des points de contact et de qualité de service. L’étude qui sera lancée par BAM vise ainsi à adapter ses modèles et mécanismes à ces nouvelles exigences. Elle couvrira les activités courrier et colis de l’institution et de ses filiales qui opèrent dans le secteur postal, au sens de l’avant-projet de loi 88-18, publié par le secrétariat général du gouvernement.
À noter que Barid Al-Maghrib planche sur le recrutement d’un expert, via appel d’offres pour l’accompagner dans ce chantier stratégique. «Cette mission doit permettre à Barid Al-Maghrib de disposer d’un modèle et outil de calcul du coût du Service universel postal selon différents scénarios possibles à la lumière de l’avant-projet de loi 88-18. Elle doit également proposer un dispositif de financement du SUP et fournir des simulations chiffrées à la lumière des résultats obtenus», est-il précisé dans le document de l’appel d’offres.
La mission du prestataire s’articule autour de plusieurs étapes. Il devra, dans un premier temps, effectuer un diagnostic approfondi des pratiques actuelles de BAM et réaliser un benchmark avec des exemples internationaux. Par la suite, il devra développer un modèle analytique permettant de calculer le coût du SUP selon différents scénarios. Le prestataire proposera également un mécanisme de financement durable pour ce service universel et présentera des recommandations concrètes pour déployer ce modèle. L’objectif est de fournir à BAM un outil de calcul dynamique, précis et adaptable aux évolutions du secteur, tout en tenant compte des spécificités du marché marocain, des exigences du projet de loi 88-18 et des engagements du Maroc auprès de l’Union postale universelle (UPU).
Barid Al-Maghrib, en tant qu’acteur multiservices opérant dans les domaines du courrier, de la messagerie, de la logistique, des services numériques et financiers, joue un rôle économique et social crucial dans le pays. Le SUP, pierre angulaire de sa mission, vise à garantir l’accessibilité des services postaux sur l’ensemble du territoire, y compris dans les zones rurales et faiblement peuplées. Cependant, l’évolution des usages, avec la baisse continue du volume de courrier physique et la montée en puissance du e-commerce et des services numériques, impose une refonte des modèles économiques traditionnels.
Dans ce contexte, le projet de loi 88-18 a pour objectif de redéfinir le SUP à travers des critères de prestations, de densité des points de contact et de qualité de service. L’étude qui sera lancée par BAM vise ainsi à adapter ses modèles et mécanismes à ces nouvelles exigences. Elle couvrira les activités courrier et colis de l’institution et de ses filiales qui opèrent dans le secteur postal, au sens de l’avant-projet de loi 88-18, publié par le secrétariat général du gouvernement.
À noter que Barid Al-Maghrib planche sur le recrutement d’un expert, via appel d’offres pour l’accompagner dans ce chantier stratégique. «Cette mission doit permettre à Barid Al-Maghrib de disposer d’un modèle et outil de calcul du coût du Service universel postal selon différents scénarios possibles à la lumière de l’avant-projet de loi 88-18. Elle doit également proposer un dispositif de financement du SUP et fournir des simulations chiffrées à la lumière des résultats obtenus», est-il précisé dans le document de l’appel d’offres.
La mission du prestataire s’articule autour de plusieurs étapes. Il devra, dans un premier temps, effectuer un diagnostic approfondi des pratiques actuelles de BAM et réaliser un benchmark avec des exemples internationaux. Par la suite, il devra développer un modèle analytique permettant de calculer le coût du SUP selon différents scénarios. Le prestataire proposera également un mécanisme de financement durable pour ce service universel et présentera des recommandations concrètes pour déployer ce modèle. L’objectif est de fournir à BAM un outil de calcul dynamique, précis et adaptable aux évolutions du secteur, tout en tenant compte des spécificités du marché marocain, des exigences du projet de loi 88-18 et des engagements du Maroc auprès de l’Union postale universelle (UPU).