L’Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis entend promouvoir le potentiel de la filière du cannabis licite à l’international. L’objectif étant de séduire les investisseurs internationaux afin qu’ils puissent venir réaliser leurs projets au Maroc. L’Agence prévoit en effet de participer à trois grands événements à l’étranger dédiés à la filière.
Il s’agit des Salon Cannabis Europa qui se déroulera à Londres les 25 et 26 juin prochain, Montréal Cannabis Expos qui aura lieu les 18 et 19 septembre au Québec et Cannafest qui se tiendra à Prague, en Tchéquie, du 1er au 3 novembre prochain. Lors des missions programmées dans le cadre de ces événements, l’ANRAC prévoit de promouvoir le secteur en mettant en avant les atouts et le potentiel de l’offre marocaine. L’institution entend également prendre connaissance de la réglementation et du contrôle de la filière du cannabis licite et du développement du secteur allant de la production de la semence à la commercialisation du produit fini en plus du soutien à la recherche scientifique.
Les opérations de promotion de l’ANRAC porteront également sur l’attrait des opérateurs d’envergure internationale de l’industrie de transformation et de la fabrication du cannabis et l’encouragement des investissements étrangers dans les activités de transformation et de fabrication des produits à base de cannabis. Il s’agit également de contribuer à convertir les activités illicites actuelles en des activités licites, durables et génératrices de revenus. Pour rappel, l’ANRAC est chargée de la mise en œuvre de la stratégie de l’État dans le domaine de la culture, la production, la fabrication, la transformation, la commercialisation et l’exportation du cannabis.
Notons que la première récolte de cannabis légal au Maroc, destiné à des fins médicales et industrielles, a été réalisée par 32 coopératives regroupant 430 agriculteurs couvrant 277 hectares dans les régions montagneuses du nord du Rif, à Al Hoceïma, Taounate et Chefchaouen. Cette année, l’agence examine les demandes de 1.500 agriculteurs qui se sont organisés en 130 coopératives. La culture de la variété locale résistant à la sécheresse, connue sous le nom de «Beldia», a commencé en mars dernier. Jusqu’à présent, deux unités légales de transformation du cannabis sont opérationnelles et deux autres sont en attente de matériel. De même, quinze produits à base de cannabis sont en cours d’autorisation pour un usage médical. Le Royaume cherche également à exploiter un marché mondial en pleine croissance pour le cannabis légal et a obtenu 54 permis d’exportation en 2023.
Il s’agit des Salon Cannabis Europa qui se déroulera à Londres les 25 et 26 juin prochain, Montréal Cannabis Expos qui aura lieu les 18 et 19 septembre au Québec et Cannafest qui se tiendra à Prague, en Tchéquie, du 1er au 3 novembre prochain. Lors des missions programmées dans le cadre de ces événements, l’ANRAC prévoit de promouvoir le secteur en mettant en avant les atouts et le potentiel de l’offre marocaine. L’institution entend également prendre connaissance de la réglementation et du contrôle de la filière du cannabis licite et du développement du secteur allant de la production de la semence à la commercialisation du produit fini en plus du soutien à la recherche scientifique.
Les opérations de promotion de l’ANRAC porteront également sur l’attrait des opérateurs d’envergure internationale de l’industrie de transformation et de la fabrication du cannabis et l’encouragement des investissements étrangers dans les activités de transformation et de fabrication des produits à base de cannabis. Il s’agit également de contribuer à convertir les activités illicites actuelles en des activités licites, durables et génératrices de revenus. Pour rappel, l’ANRAC est chargée de la mise en œuvre de la stratégie de l’État dans le domaine de la culture, la production, la fabrication, la transformation, la commercialisation et l’exportation du cannabis.
Notons que la première récolte de cannabis légal au Maroc, destiné à des fins médicales et industrielles, a été réalisée par 32 coopératives regroupant 430 agriculteurs couvrant 277 hectares dans les régions montagneuses du nord du Rif, à Al Hoceïma, Taounate et Chefchaouen. Cette année, l’agence examine les demandes de 1.500 agriculteurs qui se sont organisés en 130 coopératives. La culture de la variété locale résistant à la sécheresse, connue sous le nom de «Beldia», a commencé en mars dernier. Jusqu’à présent, deux unités légales de transformation du cannabis sont opérationnelles et deux autres sont en attente de matériel. De même, quinze produits à base de cannabis sont en cours d’autorisation pour un usage médical. Le Royaume cherche également à exploiter un marché mondial en pleine croissance pour le cannabis légal et a obtenu 54 permis d’exportation en 2023.