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L’objectif de Casablanca Finance City (CFC) est d’être la capitale financière africaine et un hub financier vers le reste du monde. C’est ce qu’a partagé son DGA, Lamia Merzouki, lors de la première édition des Casablanca Finance City Breakfasts, organisée aujourd’hui à Casablanca, un rendez-vous trimestriel avec la presse que CFC a décidé d’instaurer. Rappelons à ce propos qu’effectivement, la place financière casablancaise demeure la place financière la plus attractive en Afrique devant l'Île Maurice (68e) et Kigali (81e), selon le dernier classement du GFCI publié fin septembre, et arrive au 3e rang dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (MENA) derrière Dubaï et Abu Dhabi.
Aujourd’hui, révèle Merzouki, CFC compte 202 entreprises membres. Un nombre appelé à augmenter pour atteindre 215 dans les quelques semaines à venir. Ces entreprises, qui travaillent dans une cinquantaine de pays, employaient 6.000 personnes à fin 2022. Autre information partagée lors de cette rencontre : le tout récent bureau de CFC à Dubaï, lors de la crise Covid-19, a contribué directement ou indirectement dans 15 à 20% des décisions d’installation à CFC. Au total, CFC a reçu, pour 2024, 32 demandes de statut CFC dont seulement 20 ont reçu une réponse favorable.
Par ailleurs,15 partenariats ont jusqu’ici été signés avec des places financières internationales, contribuant ainsi à son rayonnement à l’étranger. Ce rayonnement passe aussi par une proposition de valeur majeure de CFC : proposer un talent pool digne des grandes places internationales. C’est pour cette raison qu’il a été décidé de créer un institut dédié aux métiers liés à la finance. L’objectif est de former des talents capables de répondre aux attentes et exigences des entreprises et multinationales ayant le statut CFC.
Le Statut CFC est un label donnant droit à un package attractif d’avantages incluant des facilitations Doing Business, un accès à une communauté de membres actifs et la possibilité de bénéficier d’informations pertinentes sur l’Afrique.
Aujourd’hui, révèle Merzouki, CFC compte 202 entreprises membres. Un nombre appelé à augmenter pour atteindre 215 dans les quelques semaines à venir. Ces entreprises, qui travaillent dans une cinquantaine de pays, employaient 6.000 personnes à fin 2022. Autre information partagée lors de cette rencontre : le tout récent bureau de CFC à Dubaï, lors de la crise Covid-19, a contribué directement ou indirectement dans 15 à 20% des décisions d’installation à CFC. Au total, CFC a reçu, pour 2024, 32 demandes de statut CFC dont seulement 20 ont reçu une réponse favorable.
Par ailleurs,15 partenariats ont jusqu’ici été signés avec des places financières internationales, contribuant ainsi à son rayonnement à l’étranger. Ce rayonnement passe aussi par une proposition de valeur majeure de CFC : proposer un talent pool digne des grandes places internationales. C’est pour cette raison qu’il a été décidé de créer un institut dédié aux métiers liés à la finance. L’objectif est de former des talents capables de répondre aux attentes et exigences des entreprises et multinationales ayant le statut CFC.
Le Statut CFC est un label donnant droit à un package attractif d’avantages incluant des facilitations Doing Business, un accès à une communauté de membres actifs et la possibilité de bénéficier d’informations pertinentes sur l’Afrique.
