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EmergingTech Ventures, organisme de gestion d’OPCC listé auprès de l’AMMC, a démarré une deuxième levée de fonds dont l’objectif est d’atteindre 40 millions de dollars d’ici septembre prochain, destinés à financer des startups.
Basée à Casablanca, la société s’en tiendra à sa thèse d’investissement axée sur l’impact, mais s’étendra géographiquement pour soutenir des entreprises en phase de démarrage dans d’autres pays francophones en plus du Maroc, rapporte Venture Capital Journal.
EmergingTech Venture s’intéresse principalement au soutien des fondateurs originaires d’Afrique francophone qui ont émigré en Europe. Contrairement à d’autres régions du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, «nous avons une diaspora très active basée en Europe qui est de plus en plus disposée à revenir et à contribuer à l’émergence de leurs pays mères », a déclaré Sidi Mohammed Zakraoui, associé général d’EmergingTech, à Venture Capital Journal.
Et d’ajouter, «du conseil stratégique au soutien opérationnel, nous les aidons à débloquer les aspects complexes de la dynamique du marché de la région et à construire des modèles commerciaux efficaces qui alignent les intérêts des parties prenantes».
Parmi les investisseurs qui se sont engagés à ce jour dans le Fonds II, figurent la Société financière internationale (IFC), la branche d’investissement de la Banque mondiale, qui a promis 4 millions de dollars, et une institution financière de développement européenne bien connue, ayant une expérience dans l’investissement en Afrique francophone, qui n’a pas encore annoncé son engagement.
Le premier fonds d’EmergingTech, qui a clôturé à 24,1 millions de dollars en 2020, a investi dans huit start-ups en phase de pré-amorçage et d’amorçage dans les secteurs de la fintech, de l’agritech, de la technologie de la santé, de la biotechnologie et de la cybersécurité, avec un ticket moyen d’environ 1,5 million de dollars.
Venture Capital Journal rappelle qu’EmergingTech a été l’un des trois nouveaux gestionnaires de fonds sélectionnés pour lever des capitaux afin de correspondre aux subventions du programme Innov Invest.
Basée à Casablanca, la société s’en tiendra à sa thèse d’investissement axée sur l’impact, mais s’étendra géographiquement pour soutenir des entreprises en phase de démarrage dans d’autres pays francophones en plus du Maroc, rapporte Venture Capital Journal.
EmergingTech Venture s’intéresse principalement au soutien des fondateurs originaires d’Afrique francophone qui ont émigré en Europe. Contrairement à d’autres régions du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, «nous avons une diaspora très active basée en Europe qui est de plus en plus disposée à revenir et à contribuer à l’émergence de leurs pays mères », a déclaré Sidi Mohammed Zakraoui, associé général d’EmergingTech, à Venture Capital Journal.
Et d’ajouter, «du conseil stratégique au soutien opérationnel, nous les aidons à débloquer les aspects complexes de la dynamique du marché de la région et à construire des modèles commerciaux efficaces qui alignent les intérêts des parties prenantes».
Parmi les investisseurs qui se sont engagés à ce jour dans le Fonds II, figurent la Société financière internationale (IFC), la branche d’investissement de la Banque mondiale, qui a promis 4 millions de dollars, et une institution financière de développement européenne bien connue, ayant une expérience dans l’investissement en Afrique francophone, qui n’a pas encore annoncé son engagement.
Le premier fonds d’EmergingTech, qui a clôturé à 24,1 millions de dollars en 2020, a investi dans huit start-ups en phase de pré-amorçage et d’amorçage dans les secteurs de la fintech, de l’agritech, de la technologie de la santé, de la biotechnologie et de la cybersécurité, avec un ticket moyen d’environ 1,5 million de dollars.
Venture Capital Journal rappelle qu’EmergingTech a été l’un des trois nouveaux gestionnaires de fonds sélectionnés pour lever des capitaux afin de correspondre aux subventions du programme Innov Invest.
