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Forbes Africa dédie le numéro de février-mars de son édition spéciale «Africa Undiscovered Series» au Maroc. Dans ce numéro, le magazine indique qu’en «maximisant son potentiel dans les énergies renouvelables et l’industrie automobile, le Maroc est sur le point de consolider sa position de plaque tournante de la durabilité et de l’innovation», faisant de lui une destination privilégiée de l’investissement.
Les auteurs rappellent, par ailleurs, que le Royaume encourage les investissements étrangers à travers ses six zones économiques spéciales, en mettant en œuvre des incitations allant des exonérations fiscales aux subventions pour les dépenses liées aux investissements.
Tout au long de ce numéro, le magazine fait intervenir des responsables marocains pour rappeler les ambitions de développement du Maroc et les actions qu’il a mis en place en faveur de l’investissement. Ainsi, rappellent les auteurs, depuis le début des années 2000, le Maroc a mis en place trois politiques industrielles nationales qui soutiennent le financement des infrastructures physiques dans des secteurs clés et le développement du secteur manufacturier. L’une de ces politiques, le Fonds national de développement industriel et d’investissement, a soutenu la modernisation et le développement de la capacité du secteur industriel à remplacer les produits importés. «Nous avons prouvé en tant que pays africain que nous pouvons transformer, créer et fabriquer une plateforme capable de rivaliser avec d'autres pays dans le monde et de fournir des produits de haute qualité», a déclaré Ryad Mezzour, ministre de l'Industrie et du commerce. Parmi les exemples qu’il est possible de citer, celui de l’automobile, dans lequel le Maroc se positionne aujourd’hui à l’échelle mondiale avec des produits compétitifs et de qualité.
Parallèlement au succès de son industrie automobile, souligne le magazine, le Maroc est en train de devenir un acteur important dans la production d’énergie à faible émission de carbone pour atténuer le changement climatique et renforcer sa résilience face aux prix énergétiques volatils. «En tant que l'un des premiers pays d'Afrique à aligner le développement économique sur la protection de l'environnement, le Maroc est engagé de manière proactive dans la production d'énergie solaire et éolienne, son complexe d'énergie solaire concentrée de Noor-Ouarzazate étant le plus grand au monde», indiquent les auteurs. «Aujourd’hui, l’attention est portée sur la compétitivité de l’énergie verte du Maroc. Dans un monde en transition vers la décarbonation, la production marocaine acquiert un avantage compétitif distinct», assure Mohcine Jazouli, ministre délégué auprès du chef du gouvernement, chargé de l’Investissement, de la convergence et de l’évaluation des politiques publiques. Classé neuvième producteur mondial de cobalt, utilisé dans la production de batteries pour le stockage d'énergie, le Maroc exerce également une influence considérable dans la promotion de la mobilité verte à travers son soutien à la chaîne d'approvisionnement.
Par ailleurs, les auteurs rappellent que le Maroc a démontré son fort engagement en faveur des réformes en cours en matière d'investissement avec l'introduction d'une nouvelle charte de l'investissement en décembre 2022. «Bien que les incitations directes soient cruciales, en particulier dans le contexte d'une concurrence internationale féroce, la nouvelle charte de l'investissement va au-delà de la définition des principaux domaines d'amélioration de l'environnement des affaires et l’incarnation de l'engagement de l'État à accompagner les investisseurs, les considérant comme des agents clés de la relance économique du Royaume. Cela renforce la confiance des investisseurs dans l’État marocain en tant que partenaire économique», explique Jazouli. Pour leur part, soulignent les auteurs, les accords commerciaux préférentiels du pays avec plus de 60 pays profitent aux investisseurs en établissant un cadre juridique pour l’investissement et en réduisant les barrières commerciales.
En fin, fait remarquer le magazine, la sélection du Maroc pour abriter des événements internationaux de grande envergure est également révélatrice de la position favorable du pays et de sa capacité infrastructurelle comparable à celle des pays développés. Les réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale, organisées à Marrakech ou encore la décision du Comité exécutif de la FIFA de confier au Royaume la co-organisation de la Coupe du monde 2030 aux côtés de l'Espagne et du Portugal en sont les principaux exemples.
Les auteurs rappellent, par ailleurs, que le Royaume encourage les investissements étrangers à travers ses six zones économiques spéciales, en mettant en œuvre des incitations allant des exonérations fiscales aux subventions pour les dépenses liées aux investissements.
Tout au long de ce numéro, le magazine fait intervenir des responsables marocains pour rappeler les ambitions de développement du Maroc et les actions qu’il a mis en place en faveur de l’investissement. Ainsi, rappellent les auteurs, depuis le début des années 2000, le Maroc a mis en place trois politiques industrielles nationales qui soutiennent le financement des infrastructures physiques dans des secteurs clés et le développement du secteur manufacturier. L’une de ces politiques, le Fonds national de développement industriel et d’investissement, a soutenu la modernisation et le développement de la capacité du secteur industriel à remplacer les produits importés. «Nous avons prouvé en tant que pays africain que nous pouvons transformer, créer et fabriquer une plateforme capable de rivaliser avec d'autres pays dans le monde et de fournir des produits de haute qualité», a déclaré Ryad Mezzour, ministre de l'Industrie et du commerce. Parmi les exemples qu’il est possible de citer, celui de l’automobile, dans lequel le Maroc se positionne aujourd’hui à l’échelle mondiale avec des produits compétitifs et de qualité.
Parallèlement au succès de son industrie automobile, souligne le magazine, le Maroc est en train de devenir un acteur important dans la production d’énergie à faible émission de carbone pour atténuer le changement climatique et renforcer sa résilience face aux prix énergétiques volatils. «En tant que l'un des premiers pays d'Afrique à aligner le développement économique sur la protection de l'environnement, le Maroc est engagé de manière proactive dans la production d'énergie solaire et éolienne, son complexe d'énergie solaire concentrée de Noor-Ouarzazate étant le plus grand au monde», indiquent les auteurs. «Aujourd’hui, l’attention est portée sur la compétitivité de l’énergie verte du Maroc. Dans un monde en transition vers la décarbonation, la production marocaine acquiert un avantage compétitif distinct», assure Mohcine Jazouli, ministre délégué auprès du chef du gouvernement, chargé de l’Investissement, de la convergence et de l’évaluation des politiques publiques. Classé neuvième producteur mondial de cobalt, utilisé dans la production de batteries pour le stockage d'énergie, le Maroc exerce également une influence considérable dans la promotion de la mobilité verte à travers son soutien à la chaîne d'approvisionnement.
Reconfiguration des chaînes de valeur : Le Maroc profite de sa proximité avec l’Europe
Sur le plan international, le Maroc bénéficie des opportunités offertes par la reconfiguration des chaînes de valeur mondiales. Les fabricants européens élargissent leur base de fournisseurs pour réduire les risques liés à la chaîne d’approvisionnement. Le Royaume, lui, profite de sa proximité de ce continent et de ses performances macroéconomiques pour devenir une destination de choix pour de nombreuses multinationales qui envisagent d’ouvrir de nouvelles usines. «Nous sommes très bien connectés aux différents continents, nous avons un système bancaire solide, nous avons la stabilité, nous avons une population jeune et le secteur privé est le principal acteur au Maroc», déclare Mohamed Laghrari, PDG d'Al Hoceinia Holding.Par ailleurs, les auteurs rappellent que le Maroc a démontré son fort engagement en faveur des réformes en cours en matière d'investissement avec l'introduction d'une nouvelle charte de l'investissement en décembre 2022. «Bien que les incitations directes soient cruciales, en particulier dans le contexte d'une concurrence internationale féroce, la nouvelle charte de l'investissement va au-delà de la définition des principaux domaines d'amélioration de l'environnement des affaires et l’incarnation de l'engagement de l'État à accompagner les investisseurs, les considérant comme des agents clés de la relance économique du Royaume. Cela renforce la confiance des investisseurs dans l’État marocain en tant que partenaire économique», explique Jazouli. Pour leur part, soulignent les auteurs, les accords commerciaux préférentiels du pays avec plus de 60 pays profitent aux investisseurs en établissant un cadre juridique pour l’investissement et en réduisant les barrières commerciales.
En fin, fait remarquer le magazine, la sélection du Maroc pour abriter des événements internationaux de grande envergure est également révélatrice de la position favorable du pays et de sa capacité infrastructurelle comparable à celle des pays développés. Les réunions annuelles du FMI et de la Banque mondiale, organisées à Marrakech ou encore la décision du Comité exécutif de la FIFA de confier au Royaume la co-organisation de la Coupe du monde 2030 aux côtés de l'Espagne et du Portugal en sont les principaux exemples.
