Predator Oil & Gas Holdings Plc (PRD), spécialisée dans les opérations d’extraction d’hydrocarbures au Maroc et à Trinité-et-Tobago, a officiellement lancé les travaux d’ingénierie civile pour le site de forage MOU-5 dans la région de Guercif, au Maroc. Ces travaux comprennent l’amélioration des routes d’accès et la préparation de la plateforme de forage.
Selon le calendrier annoncé, les opérations de forage devraient commencer autour du 25 février 2025, conformément aux prévisions initiales.
Paul Griffiths, PDG de Predator Oil & Gas, a exprimé son optimisme quant à cette nouvelle campagne de forage, entièrement financée et respectant les objectifs budgétaires. Il a décrit la structure géologique de Titanosaurus, cible principale du projet, comme une opportunité rare de forer une structure à fort impact à proximité d’une infrastructure gazière existante, dans un cadre fiscal attractif.
>>Lire aussi : Predator Oil : en plus du gaz combustible, le sous-sol de Guercif livre de l’Hélium !
Griffiths a également souligné les enjeux stratégiques liés au gaz naturel dans un contexte mondial marqué par une baisse des réserves de stockage en Europe, des préoccupations géopolitiques sur la sécurité des approvisionnements, et une demande croissante pour des énergies moins polluantes. « Nous sommes potentiellement à l’aube d’un âge d’or pour l’exploration et la production de gaz », a-t-il affirmé, mettant en avant le rôle du gaz naturel dans la transition énergétique et la stabilisation des prix de l’énergie.
Predator Oil & Gas vise à capitaliser sur cette conjoncture favorable en développant son projet de Guercif, qui pourrait renforcer la sécurité énergétique tout en réduisant les émissions de CO2 grâce à une substitution progressive du charbon et du pétrole par le gaz naturel. L’entreprise espère ainsi tirer parti de ce moment où les facteurs géopolitiques et économiques convergent pour favoriser une stratégie de développement gazier ambitieuse.
Ce projet, situé au Maroc, témoigne de l’intérêt croissant pour les hydrocarbures dans des régions en dehors du Royaume-Uni et de l’Europe, à l’instar des initiatives en cours aux États-Unis, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie.
Selon le calendrier annoncé, les opérations de forage devraient commencer autour du 25 février 2025, conformément aux prévisions initiales.
Paul Griffiths, PDG de Predator Oil & Gas, a exprimé son optimisme quant à cette nouvelle campagne de forage, entièrement financée et respectant les objectifs budgétaires. Il a décrit la structure géologique de Titanosaurus, cible principale du projet, comme une opportunité rare de forer une structure à fort impact à proximité d’une infrastructure gazière existante, dans un cadre fiscal attractif.
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Griffiths a également souligné les enjeux stratégiques liés au gaz naturel dans un contexte mondial marqué par une baisse des réserves de stockage en Europe, des préoccupations géopolitiques sur la sécurité des approvisionnements, et une demande croissante pour des énergies moins polluantes. « Nous sommes potentiellement à l’aube d’un âge d’or pour l’exploration et la production de gaz », a-t-il affirmé, mettant en avant le rôle du gaz naturel dans la transition énergétique et la stabilisation des prix de l’énergie.
Predator Oil & Gas vise à capitaliser sur cette conjoncture favorable en développant son projet de Guercif, qui pourrait renforcer la sécurité énergétique tout en réduisant les émissions de CO2 grâce à une substitution progressive du charbon et du pétrole par le gaz naturel. L’entreprise espère ainsi tirer parti de ce moment où les facteurs géopolitiques et économiques convergent pour favoriser une stratégie de développement gazier ambitieuse.
Ce projet, situé au Maroc, témoigne de l’intérêt croissant pour les hydrocarbures dans des régions en dehors du Royaume-Uni et de l’Europe, à l’instar des initiatives en cours aux États-Unis, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie.