Les perspectives sont solides quant au potentiel en offshore atlantique. Le contexte géologique y est favorable selon l’office, et les compagnies pétrolières multiplient les campagnes au large du Royaume. Au Nord, c’est le gisement Anchois qui est en ligne de mire. Le succès est venu de Chariot, avec la confirmation du potentiel gazier du gisement Anchois, initialement foré par Repsol. Après plusieurs études de faisabilité, un nouveau puits (Anchois-3), foré en 2024 avec Energean, a de nouveau révélé la présence de gaz. Les volumes restent à préciser et l’exploration se poursuit.
Le Sud du Royaume regorge, pour sa part, d’indices gaziers qui demandent à être creusés. Dans le bassin de Boujdour, un forage de 2014 a permis d’identifier du gaz et du condensat. La zone reste sous surveillance précise l’ONHYM, indiquant par ailleurs qu’à ce jour, ce sont sept sociétés – des géants dans leur domaine – qui sont attirées par l’offshore marocain : Exxon Mobil, Hunt Oil ou encore NewMed en plus de Chariot Oil & Gas. Une dynamique qui sera profitable au Maroc qui compte dessus pour attirer les investisseurs, ajoute l’Office.
Le bassin de Tendrara dans le Nord-Est du Royaume est considéré comme le nouvel eldorado gazier. Grâce aux campagnes menées par l’ONHYM et Sound Energy, un permis d’exploitation a été accordé. Le champ gazier de Tendrara devrait entrer en production à la fin de cette année 2025 via une solution Micro-GNL (ndlr : Gaz Naturel Liquéfié) destinée à l’approvisionnement industriel.
Le territoire national regorge par ailleurs d’autres bassins en veille active, précise l’ONHYM qui cite Zag, Boudenib, Missour, Doukkala, Tadla et Guercif. Dans cette dernière localité, c’est la société Predator qui pilote les forages d’exploration. La cartographie des ressources s’affine, en attente de confirmations commerciales. Selon l’Office, si le secteur gazier national est capitalistique et à fort risque, il est crucial pour la souveraineté énergétique. L’organisme multiplie les partenariats pour attirer davantage d’investissements dans l’exploration.
Le Sud du Royaume regorge, pour sa part, d’indices gaziers qui demandent à être creusés. Dans le bassin de Boujdour, un forage de 2014 a permis d’identifier du gaz et du condensat. La zone reste sous surveillance précise l’ONHYM, indiquant par ailleurs qu’à ce jour, ce sont sept sociétés – des géants dans leur domaine – qui sont attirées par l’offshore marocain : Exxon Mobil, Hunt Oil ou encore NewMed en plus de Chariot Oil & Gas. Une dynamique qui sera profitable au Maroc qui compte dessus pour attirer les investisseurs, ajoute l’Office.
Une diversité de bassins onshore prometteurs
Dans les terres intérieures, le Gharb fait office de pionnier. Il est le premier site gazier découvert en Afrique du Nord. Le bassin, toujours en activité, continue de séduire les compagnies pétrolières internationales. Si les gisements y sont modestes et peu profonds, leur rentabilité est assurée par un réseau de distribution solide et une demande locale soutenue, notamment dans l’industrie. Autre bassin historique, celui d’Essaouira. Considéré comme étant à fort potentiel, il est actif depuis les années 1980. Il fournit du gaz et du condensat au Groupe OCP pour ses activités à Youssoufia. Si plusieurs découvertes y ont été faites, l’ONHYM assure que les travaux en cours pourraient encore confirmer un potentiel sous-évalué.Le bassin de Tendrara dans le Nord-Est du Royaume est considéré comme le nouvel eldorado gazier. Grâce aux campagnes menées par l’ONHYM et Sound Energy, un permis d’exploitation a été accordé. Le champ gazier de Tendrara devrait entrer en production à la fin de cette année 2025 via une solution Micro-GNL (ndlr : Gaz Naturel Liquéfié) destinée à l’approvisionnement industriel.
Le territoire national regorge par ailleurs d’autres bassins en veille active, précise l’ONHYM qui cite Zag, Boudenib, Missour, Doukkala, Tadla et Guercif. Dans cette dernière localité, c’est la société Predator qui pilote les forages d’exploration. La cartographie des ressources s’affine, en attente de confirmations commerciales. Selon l’Office, si le secteur gazier national est capitalistique et à fort risque, il est crucial pour la souveraineté énergétique. L’organisme multiplie les partenariats pour attirer davantage d’investissements dans l’exploration.