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Une nouvelle étape du désengagement de SDX Energy de l’Egypte pour se concentrer sur le Maroc vient d’être franchie. Après avoir révélé, le 19 avril, la cession de ses intérêts à West Gharib en Égypte, la compagnie britannique d’exploration gazière vient d’annoncer la réception des premiers fonds issus de cette transaction.
SDX confirme ainsi avoir encaissé une première tranche de 3,5 millions de dollars qui ont été utilisés pour rembourser intégralement l'encours de la facilité de prêt garanti basé sur les réserves de la BERD qui s’élève à 2,7 millions de dollars américains. Cette étape est importante pour la junior puisqu’elle lui permet de davantage développer «ses actifs marocains et de mettre en œuvre la stratégie de transition énergétique ».
D’ailleurs, et pour financer une partie de ses opérations au Maroc, notamment payer ses prestataires, SDX a dû aussi recourir au financement par crédit en obtenant une prolongation de la période de prélèvement (durée pendant laquelle un crédit est disponible à l’utilisation, ndlr) d’un prêt convertible non garanti syndiqué de 3,25 millions de dollars et dont elle n’avait pas encore utilisé une partie (750.000 dollars).
En effet, la compagnie a démarré, début de ce mois, le forage d’un puits (Beni Melk-2 ou BMK-2) dans le Gharb. Si du gaz en quantité importante est découvert, il alimentera certainement, très probablement, Citic Dicastal, le plus important client de SDX au Maroc en gaz.
D’ailleurs, ce dernier, avait signé en début d’année, à travers sa filiale Dika Morocco Africa, un prolongement de l’accord de prépaiement de gaz avec SDX pour un montant de 2,1 millions de dollars. Ce puits fait partie d’un programme de forage plus vaste qui a permis à la compagnie, au troisième trimestre de l’année dernière, à une découverte de gaz commercialisable selon la compagnie.
Il s’agit du puits KSR-21 (Ksiri-21), dans la même région. Du gaz a été obtenu à une profondeur de moins de 2.000 mètres. Marquant symboliquement le démarrage de la nouvelle feuille de route de la compagnie au Maroc, ce puits est destiné à alimenter les clients existants de la junior.
SDX confirme ainsi avoir encaissé une première tranche de 3,5 millions de dollars qui ont été utilisés pour rembourser intégralement l'encours de la facilité de prêt garanti basé sur les réserves de la BERD qui s’élève à 2,7 millions de dollars américains. Cette étape est importante pour la junior puisqu’elle lui permet de davantage développer «ses actifs marocains et de mettre en œuvre la stratégie de transition énergétique ».
D’ailleurs, et pour financer une partie de ses opérations au Maroc, notamment payer ses prestataires, SDX a dû aussi recourir au financement par crédit en obtenant une prolongation de la période de prélèvement (durée pendant laquelle un crédit est disponible à l’utilisation, ndlr) d’un prêt convertible non garanti syndiqué de 3,25 millions de dollars et dont elle n’avait pas encore utilisé une partie (750.000 dollars).
En effet, la compagnie a démarré, début de ce mois, le forage d’un puits (Beni Melk-2 ou BMK-2) dans le Gharb. Si du gaz en quantité importante est découvert, il alimentera certainement, très probablement, Citic Dicastal, le plus important client de SDX au Maroc en gaz.
D’ailleurs, ce dernier, avait signé en début d’année, à travers sa filiale Dika Morocco Africa, un prolongement de l’accord de prépaiement de gaz avec SDX pour un montant de 2,1 millions de dollars. Ce puits fait partie d’un programme de forage plus vaste qui a permis à la compagnie, au troisième trimestre de l’année dernière, à une découverte de gaz commercialisable selon la compagnie.
Il s’agit du puits KSR-21 (Ksiri-21), dans la même région. Du gaz a été obtenu à une profondeur de moins de 2.000 mètres. Marquant symboliquement le démarrage de la nouvelle feuille de route de la compagnie au Maroc, ce puits est destiné à alimenter les clients existants de la junior.
