Du 15 au 17 juin 2025, la capitale nigériane Abuja a accueilli la 4ᵉ réunion annuelle de l’ASIF, un forum réunissant les principaux fonds souverains africains et des investisseurs internationaux autour de la thématique : « Mettre à profit les fonds souverains africains pour mobiliser les capitaux mondiaux en faveur d’un développement transformateur en Afrique ».
À cette occasion, Ithmar Capital, le fonds stratégique marocain, a été reconduit par acclamation à la présidence de l’organisation pour un nouveau mandat de trois ans. Une marque de confiance renouvelée envers le leadership du Royaume, salué pour sa vision continentale.
Dans la foulée, quatre autres fonds souverains africains – ceux du Sénégal, du Rwanda, de l’Éthiopie et du Ghana – ont exprimé leur adhésion à cette initiative à travers la signature de lettres d’intérêt. Une dynamique collective est ainsi amorcée, avec un premier véhicule d’investissement ciblant les énergies renouvelables, prévu dans les pays membres de l’ASIF.
Par ailleurs, deux nouveaux membres, le Ghana Petroleum Funds et le Mutapa Investment Fund du Zimbabwe, ont rejoint l’ASIF lors de cette édition, confirmant son attractivité croissante. En parallèle, un protocole d’accord a été signé avec l’Alliance for Green Infrastructure in Africa (AGIA), renforçant la coopération sur les infrastructures durables.
À cette occasion, Ithmar Capital, le fonds stratégique marocain, a été reconduit par acclamation à la présidence de l’organisation pour un nouveau mandat de trois ans. Une marque de confiance renouvelée envers le leadership du Royaume, salué pour sa vision continentale.
Une plateforme d'investissement pour combler le déficit en infrastructures
Moment fort du sommet : la signature d’un accord entre Ithmar Capital et la Nigeria Sovereign Investment Authority (NSIA) pour la structuration d’une plateforme d’investissement commune. Ce mécanisme vise à mobiliser à grande échelle des capitaux privés et publics, notamment pour répondre au déficit chronique en infrastructures, estimé entre 130 et 170 milliards de dollars par an sur le continent.Dans la foulée, quatre autres fonds souverains africains – ceux du Sénégal, du Rwanda, de l’Éthiopie et du Ghana – ont exprimé leur adhésion à cette initiative à travers la signature de lettres d’intérêt. Une dynamique collective est ainsi amorcée, avec un premier véhicule d’investissement ciblant les énergies renouvelables, prévu dans les pays membres de l’ASIF.
Par ailleurs, deux nouveaux membres, le Ghana Petroleum Funds et le Mutapa Investment Fund du Zimbabwe, ont rejoint l’ASIF lors de cette édition, confirmant son attractivité croissante. En parallèle, un protocole d’accord a été signé avec l’Alliance for Green Infrastructure in Africa (AGIA), renforçant la coopération sur les infrastructures durables.