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Ce lundi 15 juillet 2024, la Banque africaine de développement (BAD) dévoilera à Rabat la solution «RASME», une technologie de pointe conçue pour améliorer la supervision et la coordination de ses projets de développement au Maroc. Cette initiative stratégique vise à optimiser la collecte de données et à renforcer la coopération entre la Banque et les autorités marocaines, consolidant ainsi l'efficacité des investissements de l'institution au Maroc, où plus de 12 milliards d’euros ont été accordés depuis 1978.
La cérémonie de lancement, présidée par Achraf Tarsim, responsable du bureau pays de la BAD au Maroc, réunira plusieurs décideurs, dont Abdelkrim Achir, directeur adjoint du Trésor et des finances extérieures au ministère de l’Économie et des finances, ainsi que les coordonnateurs de projets et des dirigeants et partenaires nationaux. Cet événement marquera le début d'une formation intensive de quatre jours destinée aux futurs utilisateurs de cette solution informatique innovante.
Environ 80 participants, incluant des représentants de la Banque et des partenaires marocains, bénéficieront de cette formation.
Lancée en 2021 avec l’objectif d’être déployée dans tous les pays africains, la solution «RASME» (Remote Appraisal Supervision Monitoring and Evaluation) permet de collecter des données précises et fiables en temps réel sur l’avancement des projets dans des formats numériques (données, photos, vidéos, audios, cartes, supports papier scannés, etc.), directement depuis le terrain, à l’aide d’appareils mobiles ou d’ordinateurs personnels.
«L'initiative s'inscrit dans le cadre des efforts de numérisation des processus opérationnels relatifs au portefeuille de projets de la Banque au Maroc. Elle vise également à renforcer la collaboration entre les gestionnaires de projets de la Banque africaine de développement et les unités de gestion de projets du gouvernement marocain. L’objectif est de garantir la réalisation efficace et conforme aux standards de qualité des projets financés par l’institution au Maroc», Souligne la BAD.
Pour rappel, le Maroc est un membre fondateur de la Banque africaine de développement. Depuis 1978, la Banque y a investi plus de 12 milliards d’euros dans près de 190 projets. Son portefeuille actuel compte 40 opérations totalisant 3,5 milliards d’euros.
La cérémonie de lancement, présidée par Achraf Tarsim, responsable du bureau pays de la BAD au Maroc, réunira plusieurs décideurs, dont Abdelkrim Achir, directeur adjoint du Trésor et des finances extérieures au ministère de l’Économie et des finances, ainsi que les coordonnateurs de projets et des dirigeants et partenaires nationaux. Cet événement marquera le début d'une formation intensive de quatre jours destinée aux futurs utilisateurs de cette solution informatique innovante.
Environ 80 participants, incluant des représentants de la Banque et des partenaires marocains, bénéficieront de cette formation.
Lancée en 2021 avec l’objectif d’être déployée dans tous les pays africains, la solution «RASME» (Remote Appraisal Supervision Monitoring and Evaluation) permet de collecter des données précises et fiables en temps réel sur l’avancement des projets dans des formats numériques (données, photos, vidéos, audios, cartes, supports papier scannés, etc.), directement depuis le terrain, à l’aide d’appareils mobiles ou d’ordinateurs personnels.
«L'initiative s'inscrit dans le cadre des efforts de numérisation des processus opérationnels relatifs au portefeuille de projets de la Banque au Maroc. Elle vise également à renforcer la collaboration entre les gestionnaires de projets de la Banque africaine de développement et les unités de gestion de projets du gouvernement marocain. L’objectif est de garantir la réalisation efficace et conforme aux standards de qualité des projets financés par l’institution au Maroc», Souligne la BAD.
Pour rappel, le Maroc est un membre fondateur de la Banque africaine de développement. Depuis 1978, la Banque y a investi plus de 12 milliards d’euros dans près de 190 projets. Son portefeuille actuel compte 40 opérations totalisant 3,5 milliards d’euros.
