La valeur ajoutée du secteur secondaire a bondi de 7,4%, contre 3,1% un an plus tôt. Cette performance reflète la vigueur du bâtiment et travaux publics (+6,7%), la nette reprise de la branche électricité et eau (+8,9% après -5,2%) et le dynamisme des industries de transformation (+6,9%). Seule l’industrie d’extraction a montré un ralentissement, avec une croissance ramenée à 10,9% contre 20% l’année précédente.
Du côté du secteur tertiaire, la valeur ajoutée a progressé de 4,8% au lieu de 4,2% un an plus tôt. L’amélioration provient principalement de l’hébergement et restauration (+10,5%), des services publics et sécurité sociale (+4,8%), du commerce et réparation de véhicules (+4,4%) et des services aux entreprises (+4,2%). Certains segments ont toutefois ralenti, notamment l’éducation, santé et action sociale (5,7% contre 6,4%) et le transport et entreposage (4,3% contre 7,9%).
Dans l’ensemble, la valeur ajoutée du secteur non agricole a ainsi progressé de 5,5%, contre 3,8% à la même période de 2024.
Aux prix courants, le PIB a crû de 7,8%, traduisant un ralentissement du niveau général des prix à 2,3%, contre 3,9% un an plus tôt.
Du côté du secteur tertiaire, la valeur ajoutée a progressé de 4,8% au lieu de 4,2% un an plus tôt. L’amélioration provient principalement de l’hébergement et restauration (+10,5%), des services publics et sécurité sociale (+4,8%), du commerce et réparation de véhicules (+4,4%) et des services aux entreprises (+4,2%). Certains segments ont toutefois ralenti, notamment l’éducation, santé et action sociale (5,7% contre 6,4%) et le transport et entreposage (4,3% contre 7,9%).
Dans l’ensemble, la valeur ajoutée du secteur non agricole a ainsi progressé de 5,5%, contre 3,8% à la même période de 2024.
Agriculture en reprise, pêche en baisse
Après une année 2024 difficile, le secteur primaire repasse dans le vert avec une croissance de 4,2% au deuxième trimestre 2025, après une contraction de 4,8% un an auparavant. Cette évolution est principalement due à la hausse de l’activité agricole de 4,7% contre une baisse de 4,4% en 2024. En revanche, la pêche maritime continue de reculer, avec une baisse de 7,7%, certes moins marquée que le -12,4% enregistré un an plus tôt.Croissance tirée par la demande intérieure
Le principal moteur de la croissance reste la demande intérieure, en progression de 9,2% contre 6,6% un an auparavant. Elle a contribué pour 9,9 points à la croissance du PIB. L’investissement brut affiche une hausse marquée de 18,9%, contribuant à hauteur de 5,6 points, tandis que la consommation publique progresse de 6,5%, apportant 1,2 point. La consommation des ménages, en hausse de 5,1%, a contribué à hauteur de 3 points.Aux prix courants, le PIB a crû de 7,8%, traduisant un ralentissement du niveau général des prix à 2,3%, contre 3,9% un an plus tôt.
