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Un nouveau projet industriel chinois vient renforcer l’attractivité du Maroc dans le secteur de l’automobile. Le groupe Shandong Yongsheng Rubber, spécialisé dans la fabrication de pneus sous les marques Tracmax et Road King, prévoit de construire une usine de production à Kénitra Automotive City, dans le nord-ouest du Royaume, lit-on dans le site spécialisé Tyrpress le 29 mai, cité par Ecofin Agency.
La future unité industrielle affichera une capacité initiale de production de 6 millions de pneus par an, avec un objectif d’atteindre les 12 millions d’unités annuelles à terme, au fur et à mesure du développement des capacités locales. Les travaux de construction devraient démarrer d’ici six mois, selon la demande d’implantation déjà déposée par le groupe chinois.
Deux visites de terrain ont été effectuées en janvier et février à la Cité des Métiers et des Compétences (CMC) de Kénitra, afin d’évaluer le potentiel local en matière de formation et de main-d’œuvre qualifiée. Cette approche illustre l’attention croissante portée par les investisseurs asiatiques à l'écosystème marocain de la formation technique et industrielle.
Ce projet s’inscrit dans une vague plus large d’investissements chinois dans le secteur automobile marocain, notamment dans les composants pour véhicules électriques. Ces dernières années, des acteurs comme Sentury Tire, Shandong Daye, Hunan Zhongke Shinzoom ou encore CNGR Advanced Material Company ont tous annoncé des implantations industrielles au Maroc, tirant parti de la stabilité du pays, de ses infrastructures et de ses accords de libre-échange avec l’Union européenne et les États-Unis.
La future unité industrielle affichera une capacité initiale de production de 6 millions de pneus par an, avec un objectif d’atteindre les 12 millions d’unités annuelles à terme, au fur et à mesure du développement des capacités locales. Les travaux de construction devraient démarrer d’ici six mois, selon la demande d’implantation déjà déposée par le groupe chinois.
Deux visites de terrain ont été effectuées en janvier et février à la Cité des Métiers et des Compétences (CMC) de Kénitra, afin d’évaluer le potentiel local en matière de formation et de main-d’œuvre qualifiée. Cette approche illustre l’attention croissante portée par les investisseurs asiatiques à l'écosystème marocain de la formation technique et industrielle.
Ce projet s’inscrit dans une vague plus large d’investissements chinois dans le secteur automobile marocain, notamment dans les composants pour véhicules électriques. Ces dernières années, des acteurs comme Sentury Tire, Shandong Daye, Hunan Zhongke Shinzoom ou encore CNGR Advanced Material Company ont tous annoncé des implantations industrielles au Maroc, tirant parti de la stabilité du pays, de ses infrastructures et de ses accords de libre-échange avec l’Union européenne et les États-Unis.
